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Petit résumé des épisodes précédents : Je passe des vacances estivales chez un ami, Yann, en Bretagne. Et petit à petit, une complicité sensuelle, faite de caresses et de massages, s'est instaurée entre nous deux… Cette histoire, bien que romancée, est inspirée de faits réels. À l'époque, Yann n'avait eu que des expériences avec des filles. Quant à moi, je n'avais encore jamais concrétisé mon amour des garçons.
Le lendemain, nous avons du renoncer à aller à la plage, en raison d'un temps pluvieux.
Cherchant à nous occuper, je proposais à Yann de jouer au Trivial Poursuit (un jeu de questions-réponses et de culture générale, très à la mode dans les années 90).
Yann me répondit alors :
– Pourquoi pas, mais ce serait plus intéressant si on augmentait les enjeux ?
– Que proposes-tu ?
– Si la personne questionnée sait répondre à la question, il passe son tour. Sinon, il perd un vêtement. Ça te va ?
– OK. Si c'est la personne qui a posé la question qui lui enlève un vêtement.
– Ça marche…
Nous avions chacun 4 vêtements sur nous : des chaussettes, une chemise, un jean, et un sous-vêtement.
Je pose une première question à Yann. Il perd. Il se met debout devant moi, et je m'accroupis. Il porte un jean très serré, et j'ai la tête juste devant son entrejambes. Je ne peux que remarquer une belle bosse. Il bande déjà, le cochon ! Le jeu a à peine commencé qu'il y a une forte tension sexuelle entre nous.
Je lui enlève rapidement ses chaussettes, pour masquer mon trouble.
À mon tour, Yann me pose une question, je perds, et il m'enlève également mes chaussettes.
Au second tour de jeu, nous trouvons tous les deux les bonnes réponses.
Au troisième tour, Yann perd à nouveau. Pourtant j'étais sûr qu'il connaissait la réponse. Ferait-il exprès de perdre ?
Nous nous mettons debout, face à face. Je défais un à un les boutons de sa chemise, en commençant par ceux du bas. Je découvre donc progressivement quelques poils pubiens, son nombril, ses abdos, et ses tétons, qui sont bien durs… Puis, je pose mes mains sur ses hanches, et je les fais remonter, tout en douceur vers ses épaules, en profitant bien du contact avec sa peau. Arrivé à ses épaules, je fais glisser le tissu vers l'arrière, et sa chemise tombe au sol. Yann est maintenant torse nu.
Je trouve la réponse à la question qu'il me pose, et on passe au quatrième tour de jeu.
À nouveau, Yann perd.
Je pose directement ma main sur le paquet de mon ami et lui dit :
– Je vais en savoir plus sur ce qui se cache là-dedans !
Comme je le pressentais, sa bite est déjà bien dure. Il a envie de sexe ! Tant mieux…
Je défais donc les boutons de son jean. Il est très serré, et je ne peux que tâter à nouveau sa queue au travers du tissu.
Je vois, dans l'ouverture de sa braguette, son caleçon blanc, comme on en portait encore à l'époque.
Puis, je descends doucement son pantalon. Ce faisant, ce dernier entraîne un petit peu avec lui le caleçon, découvrant de fait son pubis, et la racine de sa queue. Quelle sensualité ! J'étais aux anges !
Je lui réajuste son sous-vêtement, et fini de lui enlever son pantalon.
Yann est maintenant en caleçon devant moi. Sa queue tendue soulève et tend le tissu vers l'avant. Je vois distinctement la forme de son gland…
– Et bien, Yann, notre petit jeu te fait de l'effet, je vois !
– Je crois qu'effectivement, je peux difficilement le cacher !
Mon tour vient. Yann me pose une question. J'y réponds correctement.
J'ai encore presque tous mes vêtements.
Nouveau tour de jeu.
À nouveau, Yann perd.
– Ça y est ! Tu as perdu ! Je vais de foutre à poils.
– Non, attends. Je n'ai pas envie de perdre (mentit-il).
– Trop tard pour ça.
– Je te propose un quitte ou double.
– C'est-à-dire ?
– Tu me reposes une question, et si je gagne, c'est toi qui perds la partie, et c'est moi qui te déshabille complètement.
– Et si tu perds ?
– Je ne sais pas…
– Si tu perds, tu me laisseras te faire tout ce que j'aurai envie de te faire. Tu devras t'abandonner à moi. Je te promets juste de ne rien faire contre ton gré.
– OK. C'est parti… Mais je ne suis pas inquiet, je vais gagner !
Évidemment, Yann perdit…
Le moment est venu, Je vais te foutre à poils.
Je fis glisser mes mains dans les ouvertures de son caleçon, le long de ses jambes.
En guise d'apéritif, je commençais par attraper ses couilles. Je jouais un peu avec elles. En serrant, mais pas trop fort. Ceci fit tressaillir mon ami…
Puis, je glissais un doigt le long de sa raie, sans insister trop. Enfin, j'attrapais le tissu et fis glisser son caleçon tout doucement.
Je vis à nouveau ses poils pubiens, la base de sa queue, ses belles couilles.
Plus le caleçon descendait, plus sa queue se faisait visible.
Quand l'élastique franchit les limites de son gland, sa tige rebondit vers le haut dans un joli mouvement, et se retrouva juste au niveau de ma bouche. J'y déposais un simple baiser pour l'instant.
Yann était nu. Soumis. Offert.
J'étais habillé. En contrôle de la situation.
Les choses sérieuses allaient pouvoir commencer…
Kiwis
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