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4 | Tom
La semaine n'était pas particulièrement éprouvante d'un point de vue studieux. On avait commencé doucement toutes les matières et les premiers devoirs ne tomberaient que dans deux semaines.
Mais bien sûr il en était bien différemment quant à l'intégration chez les Alphas. Cette semaine n'avait rien de banal pour moi. Depuis la surprenante soirée d'introduction à l'intégration où j'avais fait le choix d'obéir sexuellement à un groupe de magnifique mecs plus vieux d'un an, et plus particulièrement à leur meneur Mathieu, je devais m'acquitter de mon devoir sexuel tous les jours. Cette première soirée avait été assez éprouvante et avait fait naître en moi une détermination comme je n'en avais jamais connu jusque-là. Je n'étais pas déterminé à me venger ou à me rebeller bien sûr, c'était un choix et que je ne regrette pas finalement, mais plutôt à rendre les choses les plus intéressants possibles pour moi et je comptais bien me servir de la situation.
Je veux devenir le prochain dirigeant de la fraternité.
Comme tous les soirs de la semaine je retrouve Mathieu après les cours, chez lui. Il m'accueille à l'entrée avec un grand sourire et, le pouce sur son téléphone, augmente l'intensité de la vibration et des 18 cm que j'avais pris le soin de m'enfoncer conformément à nos consignes en tant que futurs Alphas. Mon visage se crispe légèrement et la bite se tend, ce truc me fait un effet pas possible et Mathieu le sait et pose une main sur mon engin tendu, un air satisfait sur le visage. Il m'invite à entrer et je dis bonjour à ses parents assis dans l'immense salon de sa maison, sans se douter ce que leur fils faisait dans sa chambre et leur salle de bain.
On monte les escaliers et, entrés dans sa chambre, je me déshabille directement comme il m'a dit de le faire. J'adore cette sensation de me retrouver totalement nu devant ce mec tellement beau qu'il pourrait faire du mannequinat, lui tout habillé et, à défaut de pouvoir me déshabiller du regard, me fixe sous toutes les coutures en variant l'intensité du jouet sexuel planté dans mon cul. Il finit par m'ordonner de m'accroupir pour maximiser l'ouverture de mes fesses et actionne toutes les fonctionnalités du gode à tel point que je tremble comme une feuille, de plaisir et d'excitation. Depuis le premier jour où j'avais goûté aux plaisirs du sexe entre mecs je me rendais compte que j'adorais ça. Bon bien sûr, ne m'étant pas vraiment préparé à ça, la première pipe que j'ai faite à Mathieu n'avait pas été très agréable mais à la sensation que me procura sa bite en silicone sur ma prostate je voulu absolument lui rendre la pareille, lui faire goûter à autant de jouissance qu'il m'en a offert depuis.
• Alors beau gosse on n'arrive pas à tenir en place ? C'est ma bite qui te fait cet effet ? Non t'inquiète pas besoin de répondre, ton engin prêt à exploser le fait pour toi. Aller approche et viens prendre sa jumelle par ton autre trou, je sais que tu n'attends que ça.
Je me relève difficilement pour m'approcher vers lui et me remettre en position, cette fois au niveau de sa braguette. J'entreprends de laisser sortir sa magnifique bite, trop à l'étroit dans son boxer blanc. Je lui descends le tout jusqu'à ses chevilles et fait passer ses pieds pour jeter ses vêtements un peu plus loin. Je sais qu'il aime pouvoir écarter les jambes comme il veut quand je le suce. Il ne lui reste que son t-shirt qui sépare mon état du sien.
Toujours accroupi, le cul maltraité par le gode qui ne cesse de s'agiter, comme pour me retourner les entrailles de plaisir, je prends sa bite dans ma main, ses couilles dans l'autre et je l'enfonce le plus possible au fond de ma gorge. Me lèvres font des aller-retours et ma langue parcours son sexe avec ardeur, tantôt titillant son frein, tantôt jouant avec son gland ou encore léchant toute l'étendue de sa longue verge.
Il écarte plus les jambes pour m'enjoindre à avaler ses couilles aussi et d'expérience au son de ses gémissements je sais qu'il à mis ses mains derrières sa tête en profitant de mon travail. Il pose ses fesses nues sur son bureau et écarte un peu plus les jambes, il va éjaculer. Une fois son sperme projeté dans ma bouche, sa main me saisit par le menton et il me roule une pelle sensationnelle où nos salives et son sperme se mélangent dans la danse qu'entament nos langues. Il me repousse un peu en arrière.
• Pas mal du tout, tu t'améliores ! il me dit avec un sourire en coin et des yeux pleins de désirs.
Il attrape ensuite ma bite et commence à me branler comme il sait si bien le faire. J'ai conscience que je me retrouve absolument nu devant un mec magnifique qui à dans sa main ma bite tendue à son maximum et dans mon cul sa bite artificielle tout autant excitée que moi. J'ai les jambes écartées et les genoux pliés essayant désespérément de rapprocher mon paquet le plus près de Mathieu. Tout mon corps était tendu vers lui et je ne peux réfréner mes tremblements et mes gémissements. Je ne tarde pas à venir et il prend tout le liquide dans sa main pour ensuite me la faire lécher avec ses doigts.
• Aller mets-toi à quatre pattes sur le lit je vais te soulager.
Un sourire s'affiche sur mon visage parce que le moment que j'attends systématiquement avec impatience arrive. Je lui obéis et me mets à quatre pattes, les genoux écartés pour espacer mes fesses et mon dos cambré pour faciliter leur accès. Je tourne la tête vers mon magnifique maître et je le vois enlever son t-shirt en prenant son temps pour faire monter le désir en moi. Il sait que je ne peux pas résister à ses sublimes abdominaux dessinés et se termine en bas pour laisser la place au V qui entoure son pubis, remarquant que son engin est tout aussi en forme que le mien à nouveau.
Il s'avance vers moi et saisit la base de l'énorme gode qui est logé en moi. Sans prendre la peine de baisser l'intensité de l'objet, il commence à me le retirer le plus lentement possible pour que je puisse apprécier cheque centimètres parcourus avec le plus de force. Il me donne une claque sur les fesses pour me signifier de me redresser et je suis à genoux le torse à la verticale pour embrasser ses agréables lèvres. Il termine de retirer le gode dans un gémissement profond de ma part et me laissant à peine le temps de savourer ce moment, il me pousse le dos pour écraser ma joue contre son matelas, relève mes jambes et m'enfonce la bite siliconée d'un coup. Là c'est trop ! J'éjacule comme un possédé sur son lit et pousse un cri qui le force à mettre sa main sur ma bouche pour ne pas alerter ses parents.
• Ça va en haut les garçons ? J'ai entendu crier !
• Oui t'inquiète maman je me suis juste cogné le pieds ! et moins fort il chuchote à mon oreille de me contrôler, tout en sachant pertinemment qu'il l'avait fait exprès.
• Oui excuse-moi.
Il retire une nouvelle fois le sex-toy de mon cul pour pouvoir mettre à sa place son propre engin cette fois. Avec l'ouverture provoquée avant, il ne prend pas la peine de lubrifier mon entrée et me baise comme ça, dans plusieurs positions pendants une bonne demi-heure avant de se vider dans mon trou.
On reste ensuite sans parler pendant un petit moment, allongés, totalement nus, sur le lit de Mathieu. Nos corps luisent à la lumière à cause de la sueur qu'à causé cet… exercice, alors Mathieu se lève et je pense qu'il va m'inviter à prendre une douche comme chaque fois mais ne le fait pas.
• Tom je dois te parler.
• Ah bon ? Pourquoi ? Ça a l'air important. J'avais du mal à me concentrer avec son corps terriblement excitant dressé devant moi, les mains sur les hanches.
• Je sais que tu as de l'ambition, c'est pour ça que je t'ai choisi personnellement, ça et ton corps bien sûr.
• Oui tu n'as pas tort mais ce n'est pas ton problème.
• En fait tu me plais bien et je peux t'aider à parvenir à ton objectif.
• Ah bon !? C'est-à-dire ?
• Vous ne le savez pas mais on n'a pas seulement prévu de vous soumettre pendant cette intégration. Pour que vous fassiez vraiment partie des nôtres il faut aussi que vous sachiez dominer, c'est comme ça que se choisit le leader de la fraternité.
• Tu veux me mettre l'eau à la bouche c'est ça ?
• Non mais je pense que je peux te donner une place de choix parmi votre groupe de nouveaux.
• Comment ?
• En faisant semblant que c'est toi-même qui nous a soumis.
• Mais comment on va faire ça ? Les autres Alphas aussi ont leur rôle à jouer !
• Pas vraiment, les autres sont là parce qu'on est un groupe de potes très… disons proches et que toute cette intégration c'est un trip à moi. Eux, ils veulent juste me faire plaisir et prendre leur pied le plus possible.
• Alors ils accepteront ?
• Oui et c'est même déjà fait.
• Waw je sais pas comment te remercier.
• En étant le meilleur meneur que la fraternité ait connu.
• Compte sur moi.
• Bon eh bien on va prendre une douche alors, tu viens ?
• Oui j'arrive.
J'étais à la fois déçu et excité. Moi qui cherchais désespérément un moyen de lui rendre la pareille, il m'annonce qu'en fait c'était prévu depuis le début. Mais ce n'est pas le plus important, il faut que je me concentre sur la façon dont je vais m'y prendre pour que les autres croient à un plan de ma part et j'avais une petite idée en tête.
Je rejoins Mathieu dans la salle de bain sans prendre la peine de me couvrir en passant dans le couloir. Je le vois déjà en train de mettre l'eau à la bonne température, penché sur le robinet de la baignoire, son cul musclé en l'air. Je m'approche et il me dit de le rejoindre.
Après s'être rincés on se savonne mutuellement et c'est à ce moment que, tourné vers la porte quand Mathieu, lui, lui fait dos, je vois qu'elle est entre-ouverte et qu'un œil nous observe. Je reconnais le père de Mathieu mais ne dis rien et même ça m'excite. Alors que je suis en train de parcourir le corps de Mathieu avec mes mains savonneuses, j'écarte ses fesses, je me saisis de sa bite et commence à le branler tout en me décalant un peu sur le côté pour offrir une meilleure vue à notre spectateur. Je vois ce dernier se mordre la lèvre et sa frotter l'entrejambe. J'embrasse alors fougueusement Mathieu pendant qu'il éjacule en gémissant et met un doigt plein de sperme dans ma bouche en regardant dans la direction de la porte.
On finit de se doucher et Mathieu sort en premier, se sèche rapidement et retourne dans sa chambre en me disant de le rejoindre juste après. J'attends un peu et son père entre dans la salle de bain. Il a la braguette ouverte et son sexe tendu est sorti de l'ouverture de son pantalon. Je comprends d'où Mathieu tient son patrimoine génétique généreux.
Il s'avance vers moi. Je suis toujours debout et nu et je ne cherche pas à cacher ma trique d'enfer. Il s'arrête et je saisi brusquement et fermement sa bite, ce qui le fait sursauter et lâcher un petit cri. Je me mets à genoux, enrobe sa bite de ma bouche en prenant soin de le lécher partout puis le fait s'assoir sur le bord de la baignoire. D'un air de défit je me retourne et m'assoit sans l'avertir sur sa queue que je viens de lubrifier avec ma salive. Je fais quelques va et viens ne tarde pas à me relever. Je savais qu'il allait éjaculer et ça ne manqua pas, son sperme se déversa sur le carrelage. Je lui jette un regard narquois et le laisse comme ça, déboussolé.
Je rejoins Mathieu qui est déjà habillé et je l'imite puis ne tarde pas à partir en lançant un chaleureux sourire plein de sous-entendu au père de Mathieu. Puis je rentre chez moi à pied, j'étais nu sous mon jean parce que j'avais laissé mon boxer dans le tiroir à sous-vêtements de l'homme qui m'avait pénétré dans la salle de bain en souvenir. Le gode avait déjà recommencé à vibrer et à m'exciter sur le retour.
Quand je rentre chez moi, j'envoie directement un message à Pierre pour lui dire de m'appeler quand il pourrait. Je lui annonce mon plan pour renverser la situation et soumettre les Alphas et il me semble particulièrement emballé. Etonnamment il ne s'oppose pas et ne me prends pas pour un débile, comme si on lui donnait ce qu'il recherchait depuis le début… On raccroche et je me mets sur mon lit pour réfléchir. Quelque chose me chiffonnait encore, je ne comprends pas d'où leurs viennent tous leurs privilèges aux Alphas et aussi comment ils avaient eu nos numéros de téléphones sans qu'on ne leur ait jamais parlé auparavant. C'est vraiment bizarre.
Le lendemain, la journée de cours se passe normalement. On est jeudi et comme les jours précédents le gode dans mon cul s'agite plus ou moins fortement, j'essaie d'opposer une peu de résistance à Mathieu pendant la journée pour l'exciter et que le soir il prenne d'autant plus de plaisir. Pierre est tout excité à l'idée de ce qu'on va faire, je ne l'ai jamais vu comme ça.
Juste après les cours, on décide d'attendre les autres nouveaux Alphas pour leur soumettre mon idée. En tout, on est 7 recrues et toutes semblent emballées. Bien qu'on ait découvert des plaisirs insoupçonnés, soumettre nos maîtres est une idée alléchante pour tout le monde, sauf peut-être pour Théo. Je pensais pourtant qu'il sauterait sur l'occasion de se venger du l'humiliation d'être soumis et de reprendre sa place de macho dominateur. Pourtant, il exprime une hésitation, très brève certes, mais tout de même. Le macho serait-il devenu une salope qui aime ça ? Enfin bref ça ne m'intéresse pas et ça m'arrange presque parce que je lui considérais comme une menace pour ma prise de pouvoir.
• Je vous écoute.
• On veut inverser la tendance.
• Comment ça ?
• On s'est dit que pour être vraiment intégrés faudrait avoir tout tester si tu vois ce que je veux dire…
• Ça m'a l'air foireux votre truc.
• Mais non, ils vont adorer.
• Bon… j'ai peut-être quelque chose qui pourrait vous intéresser alors.
Je n'en reviens pas, tout s'explique. Comment ils ont eu nos noms et nos numéros de téléphone, comment ils peuvent avoir des avantages pour les voyages et les financements, comment, tout simplement, la fraternité peut être la plus influente. Ce n'était pas qu'à cause du physique de ses membres mais aussi le fait que M. Dubois, le professeur le plus apprécié et le plus canon de tout le bahut est en fait leur mécène, voire presque un membre en fait.
Il fallait que je me serve de cette information, peut-être que je vais réellement pouvoir rendre à Mathieu tout ce qu'il m'a apporté.
• Tu peux m'envoyer la photo ?
• Ouais pas de soucis. Du coup vous voulez faire quoi ?
• Pierre va t'expliquer, moi j'ai un rendez-vous.
Et comme tous les soirs de la semaine, je me dirige vers la maison de Mathieu mais cette fois avec beaucoup plus de choses en tête que d'habitude. Mathieu, tu m'as fait découvrir un le sexe, la jouissance, tu m'as initié au plaisir, le vrai et je vais te le rendre. Je vois bien que ce que tu aimes c'est peut-être aussi te faire dominer mais que tu aimes aussi dominer. Cette vidéo est sans équivoque, M. Dubois, tu l'aimes vraiment et moi, je vais te permettre de t'amuser avec lui, de prendre avec lui du plaisir comme tu n'en as jamais pris et même de changer à jamais tes parties de baise avec cet homme. Je vais te rendre la pareille.
J'arrive chez lui et je fais discrètement un clin d'œil à son père assis dans le canapé. On monte, je me déshabille, écarte les fesses et on reprend notre petit rituel accompagné des petites surprises que me fait subir, pour mon plus grand plaisir (au sens propre) mon Appolon personnel.
Cette fois encore, son père nous matte pendant notre douche et cette fois encore je le chauffe au maximum mais je ne le rejoins pas après la douche. Ça sera pour plus tard.
Je rentre chez moi fatigué du sport que Mathieu m'a fait faire et ne retire pas mon gode de mon cul. Je réfléchis au plan que je vais mettre en place et je suis tellement excité que je me branle avec l'objet entre les fesses. Demain sera une journée intéressante.
Le lendemain je me lève et je commence ma journée tout à fait normalement, à ceci près que je suis beaucoup plus excité que d'habitude. Je me mets le gode moulé sur le modèle de la bite de Mathieu dans le cul sans aucun problème et vais me branler parce que je sens que je ne pourrais pas tenir sinon.
Comme je veux être le plus excitant possible mais que je n'ai pas de jockstrap, je prend un de mes boxers, une paire de ciseaux et je dessine un trou conséquent pour laisser passer beaucoup de chose par ce trou situé au niveau de mon cul. Je me regarde de dos dans le miroir et aime le résultat.
J'enfile un pantalon et un t-shirt moulant et je pars pour les cours à la prépa.
Le cours se passe normalement. Mathieu s'amuse bien à me torturer pendant que je fais semblant d'écouter M. Dupuis. Je me tortille un peu sur ma chaise pendant tout le cours, Mathieu n'y va pas de main morte, c'est peut-être parce que c'est demain la fin de l'intégration. Mais cette fois j'essaie beaucoup moins de dissimuler mon excitation et même quand je vois qu'il me regarde je m'amuse à écarter mes jambes pour qu'il voit la forme que dessine ma bite bandée sur mon pantalon.
A la fin du cours, je dis à Pierre d'aller manger sans moi et je fais bien attention à me lever en dernier. Je vois Théo qui me lance un regard interrogateur mais il ne pose pas de question et s'en va comme les autres. Une fois tout le monde sorti, je me dirige vers la porte pendant que le prof range ses affaires à son bureau et au lieu de sortir je ferme la porte. Je me dirige ensuite vers son bureau.
• Monsieur est-ce que je peux vous parler ?
• Oui bien sûr Tom. Il y a quelque chose qui ne va pas ? Tu avais l'air distrait pendant le cours.
• En fait non mais je voudrais vous demandez un avis d'expert sur quelque chose.
Je sors alors mon téléphone et lui montre la vidéo de lui en train de baiser sauvagement Mathieu sur son bureau. Il devient alors tout pâle et son visage se crispe.
• Où tu as eu ça ?
• Ce n'est pas ce qui compte Monsieur. Non, la question que vous devriez me poser c'est plutôt ce que je veux en faire. Mais ne vous inquiétez pas, je ne suis pas un maître chanteur. Non, en fait je suis plutôt admiratif de la façon dont vous participez secrètement à notre intégration.
• Je ne vois pas de quoi tu parles.
• Arrêtez de faire l'imbécile voyons, c'est vous qui permettez l'accès à nos numéros de téléphones et je pense même que c'est vous qui avez eu l'idée de ces magnifiques engins moulés, vue celui que Mathieu s'enfile à la fin de la vidéo, ça ne m'étonnerait pas que celui-là est fait sur mesure pour vous. Je suis même sûr que vous avez accès aux photos et vidéos de nous nus.
• Pourquoi tu me dis tout ça ?
• Mais parce que je voudrais que vous me rendiez un service.
• Ah oui ? Et quel service ?
• Je veux que demain soir, pendant notre soirée d'intégration, vous vous soumettiez à nous tous.
• Ahahah ! Et pourquoi j'accepterais de faire ça dis-moi ? Ici c'est moi qui dirige d'accord ? Je te prierai donc de sortir de ma salle de cours.
• Ne le prenez pas comme ça. Je vais vous dire pourquoi vous allez le faire, vous allez le faire pour trois raisons. La première, c'est que vous devez participer à l'initiation comme tous les membres de la fraternité, c'est logique et légitime. La deuxième, c'est que vous ferez par la même occasion plaisir à Mathieu et que je sais que vous tenez à lui, ça lui fera une surprise que vous n'oublierez pas de sitôt, ni l'un ni l'autre, et moi j'ai une dette envers lui. Et enfin, tout simplement parce que vous rêvez de vous faire baiser par nous tous, vous êtes terriblement excités par nos corps, ce que vous pourriez nous faire et ce qu'on pourrait vous faire. Et pour prouver ma bonne foi, je suis ici pour vous donner un avant-goût.
Je le saisi alors par le paquet le malaxe, constatant que ce que je viens de lui dire ne le rend pas indifférent. J'ouvre sa braguette et mets son énorme membre à l'air libre, puis je me recule, me retourne et descends mon pantalon, offrant mon cul apparaissant par le trou que j'avais fait ce matin.
Je m'approche de lui, le pousse sur le bureau sans qu'il n'oppose de résistance et je retire la bite en silicone de Mathieu de mon cul, lui caresse le visage avec et m'empale sur le sexe tendu de mon professeur que j'entends gémir. Je lui baisse totalement le pantalon et sans autre cérémonie lui enfonce mon jouet dans son cul. Il lâche un cri et éjacule dans mon trou. Je me retire et l'embrasse puis lui retire mon jouet de son cul pour le renfoncer dans le mien.
Je remets mon pantalon, prends mon sac et, tout en le prenant par la bite et en le caressant lui demande :
• Alors ? Marché conclut hein ?
Il ne répond pas et hoche la tête.
Le lendemain soir je m'habille élégamment. Tout est prêt et je pars pour la maison de Mathieu où aura lieu l'intégration finale. J'arrive et sonne.
• Salut Tom.
• Salut Mathieu, j'aime toujours autant ta cape.
• Aller entre, ça va commencer.
NathanOst
Autres histoires de l'auteur : Chez les "Alphas"
