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3 | Théo
Non je peux pas y croire, ça peut pas m'arriver. Pas à moi. C'est un cauchemar putain ! Non, t'inquiète pas Théo, tu vas te réveiller, tu seras dans ton lit et tu vas reprendre ta vie comme avant. Mais non mais sérieux c'est vraiment n'importe quoi cette histoire ! Moi je suis censé être le gros dur, celui qui se fou de la gueule des tapettes, des efféminés, des pédales quoi ! Je suis pas un putain de suceur qui se met des godes de plus de 20 cm dans le cul. Et puis c'est quoi ce monstre avec un engin pareil ?!
Ça fait maintenant trois jours que je dois me trimballer avec un appareil en silicone qui me donne littéralement l'impression d'avoir continuellement une buche coincée dans l'anus. Comment j'ai pu en arriver là ?! C'était la chance dont je rêvais, entrer dans le groupe le plus populaire dès le début de mon entrée en prépa pour assoir la même domination qu'au lycée, continuer à être le beau gosse populaire du bahut.
Elle avait l'air normal au début leur inté même si j'ai commencé à me poser des questions quand ils nous ont demandé de nous foutre à poils… Mais après tout c'est fait pour ça les intégrations, nous montrer où est notre place pour ensuite nous mettre en haut de l'échelle. C'est le prix à payer et ça le vaut bien… non ? Mais quand ils nous ont dit de les sucer et que ce malade de black s'est approché de moi et m'a saisi la tête à deux mains pour m'enfoncer sa queue dans la gorge… J'ai fait ce choix, j'aurais pu refuser mais je ne l'ai pas fait parce que je suis trop accroché à ma popularité pour ça. Et puis c'était pas si désagréable… non, non je peux pas penser ça quand même ?
Non mais le summum c'est quand même leurs foutus godes ! Comment ils ont pu avoir l'idée tordue de les mouler sur leurs propres queues sérieux ?! Et pourquoi je suis tombé sur le mec qui a la plus grosse ? Ce foutu sadique ! Ah oui t'as kiffé ça toi Marc hein, foutre ton putain de gode au fond de mon cul sans prendre la peine de le lubrifier ! Mon trou se rappelle encore de la douleur… Mais aussi du plaisir. Je n'arrive pas à croire que je suis devenu ce que j'ai toujours méprisé. Pire encore, je suis à la limite d'avoir perdu ma virilité… d'être devenu la chienne de ce taré. J'ai toujours en mémoire son sourire sadique qui me pétrifie encore. Sa queue, j'en rêve la nuit.
Maintenant je me retrouve en cours d'économie, avec une poutre de 21 cm dans le cul qui n'arrête pas de vibrer et de gesticuler. Au début de la semaine je devais prétexter presque toutes les heures un malaise pour pouvoir aller le retirer aux toilettes et avoir une pause… Ce timbré ne s'arrête vraiment jamais. Au moins, maintenant, même si c'est samedi dans seulement deux jours, j'arrive à contrôler l'effet que ça me fait même si je ne peux pas m'empêcher de bander en continue…
Bzz. Je regarde mon téléphone. C'est Marc… Non, pas encore ? Je peux toujours prétendre que je n'ai pas vu son message. Je range mon téléphone dans ma poche de manteau et continue à suivre le cours. Deux minutes plus tard, je sens le sextoy vibrer plus fort et mon téléphone reçoit un nouveau message. Je ne regarde pas. Je sais très bien ce qu'il va m'arriver pour l'avoir déjà vécu tous les jours depuis le début de la semaine, parfois plusieurs fois la même journée. Il ne s'est pas écoulé une minute de plus que la queue électronique se met à vibrer encore plus fort et à effectuer des rotations à l'intérieur de mon corps. Non là c'est au-dessus de mes forces ! Et merde ! Je sors mon téléphone et regarde les trois messages que je viens de recevoir. « Rejoins-moi tout de suite dans les vestiaires. » « Dépêche-toi si tu veux pas que je m'énerve » « Ok t'as gagné ma petite chienne ! Tu vas ramener ton petit cul immédiatement ! Je peux te dire que tu m'as mis d'humeur très imaginative là. »
Pourquoi j'ai fait ça ? Pourquoi je continue à croire que j'ai une chance de lui résister ? Pourquoi je continue à vouloir lui résister alors qu'il ne fait que ce que je lui permets de faire ? Que ce que je veux bien qu'il me fasse finalement… Maintenant je peux m'attendre à prendre vraiment cher… Je lève la main non sans trembler légèrement de peur de ce qu'il allait m'arriver… et peut-être aussi un peu sous l'effet que me fait le jouet enfoncé dans mon cul qui n'arrête pas de jouer avec ma prostate, humm. Je prétexte un faux mal de ventre et la professeur m'autorise à sortir de classe.
En me dirigeant vers le gymnase, j'envoie précipitamment un message à Marc pour lui dire que je suis en route. Il ne répond rien et les mouvements de sa queue mécanique redoublent d'intensité. Il est décidé à me faire payer mon insolence.
En m'approchant de ma destination je sens le stress monter progressivement. Je ne suis pas une putain de chienne bordel ! Et encore moins celle d'un sale pédé comme lui ! Mais finalement c'est ce que j'ai accepté de devenir. J'arrive dans l'encadrement de la porte. Il m'attend, assis sur le banc en face de moi.
- T'en a mis du temps.
- J'avais pas vu ton message.
- Et tu te fous de ma gueule en plus. Mets-toi tout de suite à poils !
Je pose mon sac sur le sol et me dirige vers la porte pour la fermer.
- Non ! Tu laisses la porte ouverte ! T'avais qu'à pas jouer au plus malin avec moi.
Je renonce et commence à me déshabiller. Je retire mon T-shirt moulant pour laisser apparents mes abdos et mes pecs développés à force d'entraînements de foot et de séances passées à la salle. Tous ces efforts pour finir par ne faire qu'exciter encore plus ce malade au lieu de meufs super bonnes. Je baisse ensuite mon pantalon sous lequel je ne portais rien, conformément aux ordres de ce pervers. Je me retrouve donc totalement nu dans le vestiaire, la porte ouverte derrière mon cul, un pervers assis les jambes écartées prêt à m'en faire baver devant moi.
- A genoux et suce moi !
Je viens me positionner à genoux entre ses jambes écartées et lui baisse son jean moulant et son boxer, son énorme engin à moitié dressé trônant fièrement devant moi. Je n'attends pas et le prend en bouche. J'avais fini par me faire au goût et ne trouvait pas ça si désagréable. Sa queue ne tarde pas à être totalement dressée, 21 cm à déguster. Marc ne met pas beaucoup de temps avant de me prendre la tête, comme à chaque fois, et à m'enfoncer son engin au plus profond de ma gorge. Ça me donne la gerbe mais je me retiens. Alors que je me trouve à ses pieds en train de le sucer, il en profite pour sortir son téléphone de la poche de sa veste et pousse les fonctionnalités de sa bite électronique à leur maximum. La sensation est tellement forte !
Après dix minutes d'allers-retours, il finit par bloquer ma tête au plus proche de son pubis et à m'envoyer de puissants jets de spermes directement au fond de la gorge. Je sens encore l'objets s'agiter et vibrer dans mon cul et je m'allonge les jambes écartées, la bouche ouverte à ne plus savoir quoi faire pour arrêter ça. C'était tellement bon ! Son regard sadique était posé sur moi quand je finis par me vider de mon sperme sur mon torse. Cependant, la sensation ne s'arrête pas !
- Je t'en supplie, arrête !
- Tu me donnes des ordres maintenant ?
- Non je t'en supplie, s'il te plaît !
- Pourtant tu as l'air d'aimer ça.
- … hum
- Regarde-toi, tu adores cette sensation. En fait, ce que tu veux, c'est en avoir plus c'est ça hein ?
Non je déteste cette sensation ! Je la déteste ! Oui, je la dét… Non… non.... Je ne sais plus.
Je le vois ce lever, me regarder de haut, un air un peu méprisant mais surtout amusé devant cette scène : moi, nu, allongé sur le sol, les cuisses écartées, ayant totalement oublié que n'importe qui pouvait passer par là et me voir, la porte étant restée grande ouverte. Il enlève alors ces habits, les uns après les autres, en prenant tout son temps pour faire durer le plaisir de ce spectacle. Il se met alors debout à la hauteur de ma tête, de sorte que je ne puisse faire autrement que de regarder ses énormes couilles et sa queue immense, de nouveau bandée (presque autant que la mienne).
- Je vais te donner ce que tu veux ma.
- Non arrête fais pas ça !
Il se penche, me retourne sur le ventre et retire l'objet enfoncé dans mon trou. Putain que ça fait du bien un peu de répit. Allez, vas-y prends-moi je sais que t'en as envie bordel ! Vas-y allez, alleeez !
Je sens son gland se coller à ma raie et faire quelques aller-retours, sans me pénétrer, encore une fois pour se faire désirer. Et ça marche ! Quand il finit enfin par me pénétrer, j'effectue un mouvement de hanche pour qu'il s'enfonce encore plus vite en moi, mais lui aussi en fait un en même temps, sa queue me transperçant littéralement en moins d'une seconde ! Oui c'est ça ! Il me baise, encore et encore, me soulève par les hanches pour me faire me mettre à quatre pattes pour qu'il puisse me prendre en levrette. Au bout de dix minutes à me faire bouriner dans cette position, il se retire et s'allonge sur le dos, sa queue dressée comme un pieu et me regarde d'un air de défi. Je sais quoi faire, n'hésite pas une seconde et m'accroupis pour empaler mon cul sur son engin ! Mes mains parcourent son torse super musclé (autant que moi) alors que les siennes son calées derrière sa tête. J'intensifie mes gestes de plus en plus, tout en effectuant des mouvements du bassin.
Alors que je suis en train de chevaucher Marc, j'entends des pas se rapprocher. Je me lève précipitamment et me dirige vers mes habits. Je commence à esquisser un geste pour me rhabiller mais Marc m'arrête.
- On n'a pas fini de s'amuser tous les deux.
- Mais t'es malade y a des lycéens qui arrivent !
- Et alors ? Suis-moi.
Il me tire par le bras, prend nos affaires et m'emmène vers les douches qui étaient ouvertes sur les vestiaires malgré un mur qui nous permet de nous cacher. On entend des lycéens rentrer. Ils se mettent à discuter tout en se déshabillant pour enfiler leur tenue de sport. Je ne peux pas m'empêcher de jeter un coup d'œil à leurs corps et apparemment la situation n'excite pas que moi car je sens la main de Marc m'appuyer sur l'épaules, m'intimant de me mettre à genoux et je commence à sucer son engin déjà tout dur. Il se retire assez rapidement de ma bouche et me retourne pour commencer à me pénétrer, debout, nus, à quelques mètres de plus d'une dizaine de beaux mecs qui viennent juste de devenir majeurs. Il me plaque sa main sur ma bouche pour m'empêcher de gémir.
Quand les lycéens sortent du vestiaire, Marc retire sa main mais ne s'arrête pas de me baiser.
- Mais t'es malade !
- Peut-être …
- Ah ! Je savais que j'avais aperçut quelqu'un nu en rentrant !
Se tient devant nous un des lycéens qui n'était pas sorti avec les autres. Il était assez grand mais plus petit que Marc et moi, et moins musclé aussi mais ça ne l'empêchait pas d'être plutôt mignon. J'apprendrais plus tard qu'il était majeur depuis le début de l'année comme ses camarades parfois plus vieux.
Sans prévenir, il se met à genoux devant moi et commence à me sucer. Je me retrouve entre deux mecs canons, s'occupant chacun d'un de mes centres du plaisir. J'arrive pas à y croire, loin de me dégouter, ça m'excite encore plus et je pousse l'arrière de la tête de mon jeune suceur pour profiter au maximum de ses… compétences. Là je commence vraiment à aimer ça et le pire c'est que je m'en rends compte à présent. Cependant, Marc tenait à me punir.
- Retire ta bouche de là toi c'est bon !
- Quoi ? Déjà ? Mais pourquoi ?
- Parce qu'ici c'est lui la pute qui doit être soumise et pas toi !
- Mais…
- Ne t'inquiète pas, je n'ai pas dit que tu ne pourrais pas t'amuser aussi. Retire tous tes habits.
Il s'exécute et dévoile une queue plus longue que ce à quoi je m'attendais, et plus épaisse aussi… de quoi me faire vraiment saliver.
- Mets-toi là et occupe-toi bien de lui. Et ne le ménage pas !
Marc m'avait fait mettre à quatre pattes et notre nouvel amant vient se mettre derrière moi. Il hésite d'abord puis un regard menaçant de la part de Marc le décide à m'enfoncer 18 cm de chaire durcie. Oh putain, c'est bon ! Ce lycéen, il me fait tellement de bien ! Un mélange de tendresse et de puissance qui ne cesse de me faire gémir d'un plaisir intense. Oui, ce petit jeune me fait me rendre compte de ces plaisirs. Pendant ce temps, Marc vient s'occuper de ma bouche. Rien que le fait de me faire prendre par un petit jeune c'est tellement excitant ! Je me fais baiser alternativement par Marc et son… apprenti, et je ne tarde pas à jouir tout ce que j'étais capable de jouir. Mon nouvel ami ne tarda pas lui aussi après moi, bien au fond de mon trou, cette sensation était excise et je n'attendais qu'une chose, la ressentir de la part de Marc. Alors que je me trouve sur le dos, nu, en train de me faire défoncer par mon tortionnaire black, on entend quelqu'un entrer.
- Lucas, qu'est ce que tu foutais, on fait les équipes là bordel !
- Oui pardon j'avais… une envie pressante. J'arrive.
Je n'avais pas vu que le lycéen avait eu le temps de s'habillait. Pendant tout le temps de cet échange Marc ne s'arrêta pas de faire des aller-retours avec sa bite en me levant les jambes. Je les entends partir et peu de temps suffit à Marc pour enfin jouir. J'en eu pour mon compte, exactement ce qu'il me fallait. Il se dirige vers ses affaires pour se rhabiller pendant que je vais aux toilettes pour essuyer le sperme qui avait atterri dans mon cul. Il sort en me laissant là.
- Bon travail ma pute.
Je ne relève pas, je n'en avais pas intérêt et puis je ne pouvais nier que j'avais adoré ça, que j'adorais ça depuis le début de la semaine et que je ne faisais que fuir ce plaisir. Je remets pour mon plus grand plaisir le jouet sexuel dans mon cul. Hum. Il vibre déjà, Marc ne s'arrête vraiment jamais…
Putain finalement je suis vraiment une pédale aussi… Et ce lycéen, il m'a fait me rendre compte de quelque chose de nouveau. Lucas hein… j'espère qu'on se reverra.
Je pars, mon sac sur le dos et mon gode dans le cul, pour retourner en cours. Alors que je traverse un couloir, j'entends des sons étranges provenant d'une des salles. Par curiosité, je me dirige vers la deuxième porte située à l'arrière de la salle et je l'ouvre discrètement. La scène que je surprends alors dépasse toutes mes espérances.
Penché sur le bureau, le pantalon et le caleçon baissés jusqu'aux chevilles, Mathieu est en train de gémir pendant qu'il se fait baiser. Mais le plus étonnant, c'est celui qui se trouve derrière Mathieu, torse nu et sous-vêtements baissés. M. Dubois, pas de doute ! Je reconnaîtrais entre mille cette magnifique paire de fesses musclées et bien rondes, ses cheveux, son corps tout entier que j'avais tant de fois contempler sans vraiment m'en rendre compte. Il était de dos, occupé à labourer l'intérieur de notre cher bourreau, c'est quand il se met à parler :
- Ah ça faisait trop longtemps ! T'aime ça hein ?
- Oui Monsieur !
- Supplie-moi de continuer !
- Je vous en supplie Monsieur continuez à me défoncer !
- C'est bien ! Je vais te donner ce que tu demandes.
Alors il se retire et retourne Mathieu pour qu'il se retrouve sur le dos, la bite dressée et les jambes en l'air maintenues par les mains épaisses de notre professeur.
- Bon je dois me dépêcher, je dois faire cours aux première année moi.
Au son qu'il émet ensuite, je comprends qu'il ne s'est pas retenu et a abrégé son plaisir en jouissant à l'intérieur de son élève. Il se rhabille ensuite laissant Mathieu, le souffle court, toujours allongé sans sous-vêtement sur le bureau. M. Dubois se retourne dans ma direction, ce qui me force à reculer un peu, puis s'en va. Mathieu se lève et prend un objet long et épais posé sur le bureau. Mais putain c'est un gode comme les nôtres ! Il se l'enfonce dans le cul en gémissant de plaisir, remonte son pantalon, prend son sac et sort lui aussi.
J'arrive pas à croire ce à quoi je viens d'assister ! Putain le kiff total ! Mathieu, le bourreau des Alphas se fait en fait baisé par notre professeur ! Je l'envierais presque à présent.
Je retourne rapidement en classe pour suivre le cours de celui que je venais de voir, quelques minutes plus tôt, enculer un élève sauvagement sur un bureau de classe. Je ne pouvais plus m'empêcher de le mater avec un sourire en coin. Ah tu le caches bien ton jeu ! Moi aussi j'aimerais me prendre ton énorme engin dans le cul ! Je suis sûr que tu pourrais assouvir mon appétit…
Après les cours, je me dirige vers la sortie de l'établissement et je vois deux gars de ma classe, Tom et Pierre (je crois qu'ils font partie des bizutés), qui attendent à la sortie, me fixant du regard. Quand j'arrive à leur niveau, ils m'interpellent et m'emmènent un peu plus loin pour me parler.
- Mec, il faut qu'on parle.
- Qu'est-ce que vous me voulez ?
C'est Tom qui prenait les devants. Je savais qu'ils n'allaient pas me laisser tranquille, il voudrait parler de l'intégration. Mais moi je l'aime cette inté maintenant ! Mais je ne peux pas leur dire ça, j'ai encore une réputation à tenir.
- Je vous écoute.
- On veut inverser la tendance.
- Comment ça ?
- On s'est dit que pour être vraiment intégrés faudrait avoir tout tester si tu vois ce que je veux dire…
- Ça m'a l'air foireux votre truc.
- Mais non, ils vont adorer.
- Bon… j'ai peut-être quelque chose qui pourrait vous intéresser alors.
NathanOst
Autres histoires de l'auteur : Chez les "Alphas"
