Aujourd’hui, c’est dimanche. Rien d’urgent à la maison. Le déjeuner est passé. Les enfants sont calés devant la télé, ma femme n’a pas envie de sortir. Il fait beau. Le soleil d’Avril m’attire vers la plage. Pour me baigner ? Pourquoi pas ? Je ne suis pas frileux, je me baigne de Février à Novembre. Mais surtout une irrésistible envie de me mettre nu au soleil et, si l’occasion se présente, de faire des rencontres intéressantes. Ma queue me démange, il faut que je me vide les couilles. Comme beaucoup d’hommes mariés à des mères de famille, toujours une bonne excuse pour ne pas baiser. Seule ma main me soulage. Alors, ni une ni deux, je prépare mes affaires, une livre, outil indispensable de camouflage en cas de visite impromptue de personnes de haute moralité…, une bouteille d’eau et je prends la route.
Personne sur le parking. Il est encore un peu tôt dans l’après-midi. L’heure de pointe des mecs aux couilles pleines et en mal d’aventure n’est pas encore arrivée. Quelques minutes de marche et arrêt sur une plateforme rocheuse en bord de mer à l’abri des regards de ceux qui passeraient là par hasard. Pas un bruit, si ce n’est le bruit des vagues. Un léger vent, encore un peu frais en cette saison, balaie le lieu. Comme d’habitude, je me débarrasse des mes fringues et je m’allonge sur le dos, à la vue d’éventuels aventuriers du sexe. Ma queue repose sur mes couilles fraichement rasées. Un naturiste, là, pour prendre le soleil…. Ou plus si affinité.
Plongé dans mon livre, je guette tout de même le touriste du coin de l’œil et l’oreille aux aguets. Avec ce calme, il est facile de repérer un bruit de pas. Justement, j’entends quelqu’un approcher au-dessus de moi. Même si je ne le vois pas encore, puisqu’il arrive par l’arrière, je sais qu’il fait le tour des zones de drague avant de s’installer. J’écarte donc les jambes pour qu’il puisse avoir une vue plongeante sur ma bite. Il comprend mon intention. Lecteur, oui, mais baiseur, aussi. Il descend à ma hauteur, me salue. Je le salue en retour avec un grand sourire. Il me demande s’il peut s’installer là, à l’abri du vent. Bien sûr, avec plaisir. Je fais mine de me replonger dans mon livre, mais il n’est pas dupe. Il sait que je le mate. C’est sûrement un habitué du lieu. Il porte un t-shirt et un short, qu’il enlève très vite. Il ne porte rien dessous. Il est sec, un peu de poils sur le torse et les jambes. Pubis et couilles rasées. Il s’installe en face de moi, la bite bien visible. Quelques minutes passent. Il attend. Rien ne presse. De mon côté, j’ai toujours très envie de baiser. S’il ne fait pas le premier pas, nous allons passer l’après-midi à nous regarder et rien ne se passera. Complètement inconcevable pour moi. Je prends donc l’initiative. Je commence à me caresser la queue, en lui jetant un coup d’œil. Le message est clair, il fait pareil de son côté. On s’est compris. Je lui demande de se rapprocher et de venir sur ma serviette. Il arrive. Je prends sa queue en main, elle se tend rapidement, la mienne est aussi raide. Il commence à jouer avec mon gland, la partie la plus sensible chez moi. Impossible de résister, je prends sa bite en bouche. J’aime trop sucer une bite pour jouer uniquement à touche pipi. Lui continue à jouer avec mon gland et me propose un massage gland-anus pendant que je le suce, me garantissant une extase incomparable. Je ne connais pas, je veux donc découvrir cette sensation. Il met de la salive sur ses mains, d’une part pour me masser le gland, d’autre part pour m’ouvrir la rondelle. Jamais rien n’est entré dans mon cul. Encore complètement vierge de ce côté-là. D’abord une phalange, puis 2, puis le doigt en entier. Ma littérature érotique m’avait bien prévenu du plaisir éprouvé par l’anus, mais jamais je n’aurais soupçonné un tel plaisir, surtout couplé à un massage du gland.
Il me demande de lâcher sa queue pour qu’il puisse se placer entre mes jambes et continuer ses caresses. Comment refuser ? Il m’invite à me laisser faire et à me détendre. Je me remets entièrement à ses mains. Mon corps lui est complètement offert et aussi offert à tous les regards qui pourraient passer par là. On s’en fout, il n’y a personne encore. Et même s’il y avait quelqu’un, ça ne me dérangerait pas. Mon côté exhibitionniste serait alors comblé.
Il suffit d’y penser pour que mon désir se concrétise. Un super beau mec, imberbe, torse nu montrant des abdos de statue grecque, avec simplement un short, étonnement déformé par une queue à l’horizontale, manifestement à l’étroit, se rapproche de nous. Sans hésitation, il retire son short, sa queue se place naturellement devant lui. Aucun poil autour de sa queue. Un homme bien entretenu. Sa bite mesure facilement 20 cm. Je n’ai pas un moyen de mesure à portée de main, mais je sais juger d’un ordre de grandeur. Elle est plus longue que la mienne, c’est indéniable. Il avance fièrement, comme guidé pas son gland, qui se décalotte au fur et à mesure. Il ne demande aucune autorisation. Il voit 2 mecs baiser et il a envie de participer. Je le regarde en me passant la langue sur les lèvres. Pas besoin d’explication supplémentaire, je veux goûter cette queue, mais je ne peux pas bouger. Il s’agenouille donc à côté de moi de façon à ce que je puisse le sucer. Sa queue est magnifique et son gland me remplit la bouche. De ma main droite, je le branle doucement et de la gauche, je joue avec ses couilles et titille sa rondelle. Il apprécie. Pendant ce temps, je m’envole grâce aux caresses de mon 1er partenaire.
Quelques minutes suffisent pour que mon dieu grec donne des signes avant-coureurs de jouissance. Je sors son gland de ma bouche, continue à le branler et lui enfonce entièrement mon doigt dans le cul, avant de commencer un va et vient rapide. Il se libère sur moi et me couvre de sperme. A la vue de cette éjaculation puissante, je libère mon sperme dans la main de mon branleur, qui avait lui aussi intensifié le massage de mon trou.
Je continue à branler mon éphèbe, pour qu’il libère ses dernières gouttes. Il ne débande pas, mais ses couilles semblent un peu moins pleines. Un rapide merci, il se rhabille et disparait.
Mon partenaire retire son doigt de mon anus, lâche mon gland gluant de sperme et va se rincer dans la mer. Il se rhabille, me sourit. Salut et Bon après-midi. Je le remercie pour cette découverte et lui souhaite aussi une bonne fin de journée. Je suis encore sonné par le plaisir que j’ai pris. Je viens de vivre un moment surréaliste. 2 mecs que je ne connais pas m’ont procuré un plaisir extraordinaire. L’un par ses mains, l’autre par sa queue. Moi qui étais venu pour baiser, je suis comblé.
Je retrouve progressivement mes esprits. Je me lève pour me rincer dans la mer. Elle est encore froide, mais ce n’est pas important. Il faut que je nettoie tout le sperme que j’ai sur moi. J’en profite pour plonger. L’eau est très claire. Ca aurait été dommage de ne pas en profiter.
Une fois propre, je me remets sur ma serviette, offert aux rayons du soleil, et je reprends mon livre, là où je l’avais lâchement abandonné. Aucune trace de ce qui vient de se passer. Je suis un naturiste, là, pour prendre le soleil, en ce dimanche après-midi….
Aucun autre touriste à l’horizon. Vers 16h, le soleil commence à être un peu moins chaud. Je me lève et me rhabille. En partant, je remarque en contre bas un couple de mecs en train de se sucer. Je les laisse tranquilles. J’ai le sourire aux lèvres. Je rentre à la maison. Je peux reprendre ma vie officielle.
Erox
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