Céline 18 ans 1/2 et moi 19 ans, partageons notre quotient et nos Loisirs. Nous nous sommes connus sur les bancs du lycée. Comme moi, elle est amoureuse de la nature sauvage et de randonnée. Depuis un an nous cultivons parallèlement à nos études un terrain pour réaliser du maraichage bio.
Nous sommes assez libres dans nos relations, mais les caresses les baisers, les câlins nous suffisent souvent. Une dizaine de fois seulement nous avons véritablement pratiqué la pénétration, naturellement protégée. La masturbation, tant pour elle que pour moi est complètement décomplexé et se prête à des moments de fou rire et de douceur. Il y a 3 mois nous avons même utilisé avec plaisir des godes tant pour elle que pour moi. Nous avons découvert mutuellement nos zones érogènes sans tabou même lorsque nos doigts ont glissé vers nos petits trous que nous avons admis comme jouissifs et pas crades… Nos loisirs sont des rencontres avec de jeunes agriculteurs bio, nos amis assez nombreux, les marchés collectifs et dès que nous pouvons des concerts de groupe métal. Je vis normalement avec ma mère, psychologue, séparée depuis 9 ans. Elle comprend et soutient nos modes de relation, sans connaître bien sur nos activités sexuelles que je viens de vous décrire. Céline vit seul avec son père, sa mère est décédée il y a 7 ans. Il est aussi très cool, travailleur social il comprend bien les hauts et les bas des ados. Je tutoie le papa de Céline que je dénomme papa2 et lui me répond que je suis son fils 2.
Nous nous sommes engagées en septembre de cette année pour une année sabbatique. Céline souhaitant faire une expérience humanitaire et moi participer localement à la mise en place d'une AMAP. Fin septembre Céline a reçu une proposition pour le Bénin et a quitté la France. La rupture fut extrêmement difficile. Mais soutenue par ma mère et le père à Céline j'ai absorbé le manque. En raison de l'emplacement de mon lieu d'activité, nous avons décidé que je logerais chez papa2 (le père à Céline). L'ambiance est cool et l'écoute parfaite. Le soir, soit lui soit moi préparons le repas suivant nos envies, le repas de midi est systématiquement pris avec nos connaissances sur nos lieux de travail. Chaque jeudi à 20 h Céline et nous, nous connectons sur skype pour un échange vidéo. Céline nous expose son quotidien, elle avait trouvé un logement composé d'une seule pièce de 40 m² en plein centre du village. Les mois passaient et nos vies communes se déroulaient bien. Papa2 était très affectueux avec moi. Début octobre alors que j'étais avec des compagnons de travail à tailler des haies pour dégager le champ d'exploitation, je chutais dans les branchages coupés. Dans l'aventure, je m'entaillais le front, par chance à quelque centimètre de l'œil. Je me suis enfoncé une autre branche dans la poitrine juste au-dessous du sein gauche, une autre dans l'aine et la dernière dans la cuisse. Je saignais de partout. Le responsable de chantier me conduisit directement chez le médecin local. Le toubib me fit mettre à poil pour observer mes blessures. Il enleva tous les éclats de bois dans les plaies et il jugeait qu'il n'était pas nécessaire de faire des points de suture sauf sur le front. Mon responsable me ramena chez papa2. Le père à Céline arriva comme d'habitude vers 18 h 30 et constatait les dégâts. « Mon pauvre tu t'es bien arrangé il va falloir bien s'occuper des plaies, Céline n'est pas là je sens que je vais me transformer en infirmier. » Nous étions jeudi soir et bien sûr à 20 h Céline se connectait sur Skype. Après avoir écouté mes aventures, papa2 annonçait qu'il ne travaillait pas jusqu'à mardi et qu'il pourrait me cajoler. Céline nous apprit qu'un coopérant belge de 20 ans venait de débarquer et que rien n'était prévu pour l'héberger. Elle nous dit qu'elle avait décidé de l'accueillir quelques jours pour qu'il puisse s'organiser. Elle nous montra en vidéo l'aménagement d'un lit dans un coin de la pièce avec un paravent donné par des amis. « Je transforme ma pièce en F2 » dit-elle. Ma nuit ne fut pas de tout repos les plaies me rappelaient à leur bon souvenir.
Le lendemain matin, papa2 avait préparé un petit déjeuner de fête et vint me l'apporter au lit. C'était une grande première, « salut petit prince un service à domicile, tu as de la chance que je sois ici pour 4 jours. » Je tentais de me m'assoir dans le lit avec beaucoup de difficulté en faisant attention de ne pas me découvrir, car je dors a poil et je ne voulais pas jouer les exhibitionnistes devant papa2.Vers 11 h un infirmier vint constater les blessures pour étudier les soins à donner. Il dégageait les couvertures et je me retrouvais allongé nu comme un vers devant lui. IL enlevait les pansements provisoires pour vérifier l'état des plaies celle sur l'aine était le plus difficile à atteindre. L'infirmier me dit-il fallait nettoyer tout cela tous les jours. Tout à coup papa2 entrait dans la chambre pour discuter avec l'infirmier. Je voyais ses yeux sur mon corps et ma bitte offerte à sa vue. L 'infirmier posait sa question » voulez-vous que je passe chaque jour ou pouvez-vous faire les soins pour votre fils. Ni papa2 ni moi ne le reprenions que je n'étais pas le fils de papa2, mais à quoi bon. Le père à Céline me regarda « qu'en penses-tu Yannick je peux commencer les soins et si je n'y arrive pas bien nous recontacterons Monsieur, » « OK je pense que ça doit être jouable d'autant que tu es là jusqu'à mardi » l'infirmier fit la liste des produits à acheter et expliqua à papa2 la méthode faire pour soigner le front, la poitrine et l'aine. Bizarrement je ne me sentais pas gêné le moins du monde d'être à poil non seulement devant l'infirmier, mais aussi devant papa2. Je descendais dans le salon et m'installais sur le canapé avec un tee-shirt et un bermuda de bain très large pour ne pas compresser la plaie à mon aine. La journée se déroulait doucement. Arriva enfin le moment des soins. Papa2 ne semblait pas du tout stressé. » Écoute Yannick le mieux c'est que tu te déshabilles tu t'allonges sur le canapé pour que je puisse nettoyer les plaies. » Papa2 enlevait son tee-shirt pour ne pas le salir et il était en short de sport comme souvent. Je détaillais ses longues jambes muscles presque sans pilosité et son corps imberbe bien entretenu. Je me surpris à détailler papa2 comme je ne l'avais jamais fait. Il m'aida à enlever mon tee-shirt et mon bermuda Je me retrouvai nu devant lui. Papa2 s'assit sur le canapé et me fit allonger et posant ma tête sur ses cuisses. Doucement il me soignait le front, le torse. Naturellement complètement décomplexé nous avons partage des fous rires et trouve que l'infirmier était doué. J'angoissais tout de même pour la plaie de l'aine ou il fallait que je tienne ma queue contre mon ventre pour que papa2 puisse accéder à l'espace à soigner. Il se débrouillait très bien, mais à la fin me dit qu'il trouvait pas terrible les poils autour de la cicatrice et qu'il ne comprenait pas pourquoi l'infirmier ne les avait pas enlevés comme on le fait d'habitude dans ce cas je lui rappelais que nous nous étions engagés à réaliser nous même les soins et que peux être s'il était intervenu il l'aurait réalisé. Finalement nous décrochions le téléphone pour questionner le soignant. Celui-ci nous confirma que pour éviter toute infection il était préférable de raser. Il nous proposa de passer si nous voulions ou de le faire nous-mêmes. Comme j'entendais la communication je regardais papa2 « qu'en penses-tu ? Papa2 tu peux le faire ? » » naturellement OK, merci Monsieur »et nous raccrochions la communication. « Nouvelle épreuve fils2, tu ne me lâches plus ! » je réalisais que depuis bientôt 1 heure j'étais toujours à poil et que cela ne me dérangeait pas même aux yeux de papa2.
« Et bien mon petit Yannick nous allons diner maintenant et nous attaquerons le rasage après »
Je dis à papa2 que sans mon bermuda j'étais mieux. Nous convenions qu'il me prêtait un grand tee-shirt qui m'arrivait à mi-cuisse et qu'ainsi je pouvais me passer de caleçon et de bermuda. Voilà enfin le moment tant redouté du rasage. Papa 2 me fit coucher sur la table de la cuisine pour qu'il soit à bonne hauteur. Nu sur la table en bois c'était trop drôle. » Je prends une photo Yannick pour envoyer à Céline ce sera trop fun. » « Pas cap allez au moins elle me reconnaitra » ce qu'il fit avec son téléphone papa2 avait sorti le gel de rasage un rasoir a main a 4 lames des serviettes un gant de toilette enfin tout ce qui est nécessaire. « Tient ta bitte sur ton ventre Yannick que je puisse étendre le gel. » C'était la première fois que j'entendais papa2 parler de cette façon des organes sexuels. IL me badigeonnait l'aine presque jusqu'à mon petit trou. J'avais confiance en lui je me laissais faire. Le rasage commençait avec délicatesse et je trouvais ça jouissif. D'ailleurs je sentais ma bitte devenir demie molle, putain j'allais bander qu'allais penser papa2 ? Trop tard c'était fait mes 18 cm se déroulais Cette fois je ne pouvais plus plaquer mon sexe sur mon venter il était levé comme un étendard.
« Lâche ta queue Yannick ! bandée comme ça tu ne peux ne rien faire laisse-moi. Il saisit ma bitte de sa main gauche pour pouvoir accéder à la zone à raser. Je constatais que sa main douce me donnait beaucoup de plaisir. Enfin le travail était terminé et papa2 me lâcha la queue, mais me fit remarquer « tu mouilles mon salaud j'ai la main toute poisseuse ! Elle te manque ta Céline ? Ça se voit » je ne savais comment prendre cette remarque, car j'étais assez gêné. Était-ce la main de papa2 qui m'avait fait bander ? Où était ce naturel ? Je peux vous dire que le même soir une fois couché je me suis branlé et j'ai joui pour évacuer le stress. Le lendemain je descendais pour le petit déjeuner toujours avec le grand tee-shirt, mais aussi avec une fin de Gaule matinale que chacun connaît. Papa2 était assis à la table et naturellement avait son regard au niveau de mon sexe bien que cache par le tissu tendait tout de même un peu vers le ciel « salut Yannick bien dormit ? Tu as rêvé à Céline ? Il te reste une trace en désignant ma bitte encore 1/2 molle. À vous les jeunes la testostérone ne vous manque pas ! » La journée se déroula tranquillement et papa2 fit la proposition de brancher skype pour informer Céline de la situation et lui envoyer la photo de mon supplice. Ce fut un grand moment de rigolade, mais, je trouvais Céline bien réservée et tournais la tête de temps en temps derrière elle. IL est vrai que nous n'étions pas jeudi et que nous n'avions pas l'habitude de déroger au rythme. Tout en discutant tout à coup en arrière palan avec papa2 nous vîmes passer le jeune belge dans le plus simple appareil. Il s'approchait de l'ordinateur. Nous avions sa belle queue rasée en gros plan. Nous vîmes la main du mec sur l'épaule de Céline « tu es en contact avec qui Céline ? » tout à coup la communication se coupa. Céline avait débranché. Papa2 posa sa main sur mon épaule tendrement. Je tremblais et compris que le jeune mec et Céline n'étaient pas que des colocataires. Les larmes me venaient aux yeux, Céline m'avait abandonné. Je quittais l'ordinateur et montais dans ma chambre terrassée par une peine profonde. Je m'allongeais nu sur mon lit les mains sur le visage pour couvrir mes pleurs. Je restais à sangloter un grand moment ? Bientôt je sentis la présence de papa2 qui s'était assise sur le bord de mon lit Il me caressait les cheveux tendrement « ne pleurent pas petit mec ce n'est peut-être pas si grave que ça » « Céline m'a abandonnée et tu ne trouves pas que c'est grave ? » papa2 continuait à me caresser les cheveux, puis les épaules. Je me couchais sur le côté en lui tournant le dos. Papa2 s'allongeait à côté de moi. Je sentais son torse contre mon dos. Papa2 me caressait tendrement les cheveux, les épaules et le torse, en me parlant doucement pour me calmer. La chaleur de son corps, la tendresse de ses paroles, les caresses presque filiales apaisaient mon angoisse. Papa2 s'allongea sur le dos à côté de moi les bras le long de son corps. Je compris qu'il partageait ma peine de toute son âme. Je me retournais dans sa direction mes larmes se tarissaient. Je ne peux m'expliquer pourquoi, mais une grande confiance s'était établie entre papa2 et moi. Je posais ma tête sur son épaule sans un mot Papa2 de sa main droite me caressait les cheveux « calme-toi mon petit demain tu verras les choses autrement et peut être auras tu une explication. Peut-être y at il un malentendu ; » je ne répondais pas à ses paroles ? Enfin, épuisé je m'endormais la tête posée dans le creux de l'épaule de papa2.les choses cependant tournaient dans ma tête et mon sommeil était perturbé. Je consultais le réveil électronique lumineux je lisais 3 heures et j'étais éveillée constatais que j'étais toujours appuyé sur son épaule, ma main gauche posée sur son torse et ma queue était bandée à mort. La pointe de ma bitte touchait le bassin de papa2 et elle était posée sur le dos de sa main gauche. Papa2 semblait dormir. Et s'il était éveillé ? Que devait-il penser ? Mais une envie irrésistible de lui prouver ma tendresse me prit. Simulant le sommeil, je grognais un peu et dans un mouvement vif je glissais ma main sur ses abdos fermes. Je sentais sous mes doigts la ceinture de son caleçon. Papa2 n'avait aucune réaction. Il semblait dormir paisiblement, son souffle était régulier. Ma bitte toujours tendue depuis longtemps devenait douloureuse. Qu'est-ce qu'il me passait dans ma tête ? Renouvelant la même stratégie que tout à l'heure dans un mouvement simulant le sommeil, ma main vint se poser sur la bitte de papa2. Surprise, elle était aussi en érection. Elle me semblait beaucoup plus longue que la mienne, mais pas plus épaisse. Je sentais au bout de mes doigts ses couilles qui me paraissaient petites. Je restais ainsi sans bouger un grand moment, Ma queue était toujours posée sur le dessus de la main de papa2.Voyant qu'aucune réaction ne se présentait je considérais que le sommeil de mon voisin de lit était profond. Je m'enhardissais à bouger mes doigts autour du sexe tendu du père à Céline. Sa bitte était droite et je sentais sous mes doigts une légère tache humide papa2 mouillait. Ma surprise vint de sa réaction. La main gauche sur laquelle était posée ma bitte se mit en mouvement. Bientôt ses doigts se soulevaient et se resserraient autour de ma hampe ? Il me caressait les couilles doucement, sans geste brusque, tout en douceur. Je n'avais pas d'angoisse, je profitais de l'instant sans me poser de question. Enfin, papa2 se retourna et son visage vint face au mien. Sa bouche était face à la mienne son souffle était plus rapide que dans le moment précédant. Enfin, il approchait ses lèvres des miennes, passait sa main droite derrière ma nuque et m'attirait vers lui. Sa langue cherchait à rentrer dans mes lèvres. Je n'en pouvais plus, je lui offrais le passage. Toujours dans la tendresse, sans un mot, nous partagions un long baisé fougueux. Tout en m'embrassant, papa2me caressait les épaules, le dos, et descendait jusqu'à mes fesses. Je sentais sa bitte contre la mienne et la présence visqueuse de présperme traduisait notre excitation à tous les deux. Papa2 me repoussa pour que je me couche sur le dos. Sa bouche lâcha la mienne. Ses baisées passèrent dans mon cou puis sur ma poitrine, il me mordillait un sein ce qui me procura un plaisir incontrôlé. Doucement, toujours sans mouvement brusque, sa bouche continuait à distribuer des baisers sur mes abdos et bientôt sur la pointe de mon sexe. Je sentis sa langue lécher la mouille que je produisais. Je ne pus retenir un soupir de plaisir. L'apothéose arrivait je sentis ma queue être entourée de la chaleur de son palais. Papa2 commençait à me faire une fellation, alternant la pointe de ma bitte avec une gorge profonde. Sa main gauche pendant ce temps me caressait le corps tout en évitant les plaies qu'il connaissait. Pour lui signifier que j'appréciais, je faisais des mouvements de bassin comme pour lui baiser la bouche. IL ne fallut pas 5 min avant que je sente la jouissance arrivée « Papa je vais jouir ! » contrairement à ce que je pensais, papa2 me fit une nouvelle gorge profonde et je déchargeais ma réserve de sperme en lui. Mes soubresauts de jouissance furent accompagnés par sa main qui me compressait les couilles. Je me détendais, épuisé. Papa2 délicatement me décalotta le gland et me nettoya soigneusement. Lorsqu'il eut estimé avoir terminé la toilette de mon sexe, il me remit le prépuce en place. Toujours sans un mot, il posa sa main sur mon torse, sa tête dans mon cou et nous nous sommes rendormis. Le lendemain matin je me réveillais seul dans le lit. Je sentais l'odeur du café, papa2 avait préparé le petit déjeuner. Je descendais et nous nous sommes salués comme si notre aventure n'avait pas existé. Mais papa2 me regarda dans les yeux, les siens plein de buée
« Je m'excuse Yannick pour hier et cette nuit, je te voyais tellement triste et je voulais tellement te consoler que j'ai passé le pas. Désolé ça ne se reproduire plus. » « Tu sais papa pour moi aussi c'était de la tendresse. J'aurais pu résister, tu ne m'as pas forcé, mais j'ai pris beaucoup de plaisir et je me suis laissé aller, de plus la masturbation avec Céline nous l'avons pratiqué. » « Il faut que je te dise lorsque ma fille préparait ses affaires pour partir je l'ai aidé à faires ses sacs. Je suis tombé sur le carton ou elle range ses photos et j'ai vu tous les jeux que vous avez pratiqués même celui où tu as le gode jaune dans le cul. » Je ne savais plus comment réagir, j'avais honte. Papa2 poursuivait « vous étiez très beaux tous les 2. Ma fille qui, tu le sais, n'est pas pudique m'a détaillé vos expériences. J'ai pris cela pour un acte de confiance. » Une larme coulait le long de sa joue. Je me levais et l'embrassais sur le front. Tu es mon papa2 je ne pouvais pas mieux choisir » un sourire illuminait son visage et il poursuivait « si je comprends bien même sans Céline tu te branles souvent » « oui presque chaque jour et je pense à elle » « Puisque nous sommes dans les confidences, fils, il faut que nous attaquions la vérité, j'ai 42 ans et ma vie sexuelle n'est pas terminée. Par contre, plutôt qu'un gode jaune ou d'une autre couleur je préfère le vivant » Ma mine étonnée le fit sourire. « Et bien fils tu connais Cédric mon Co- équipier éducateur, il a fêté ses 28 ans la semaine dernière et par la même occasion nos 5 ans de baise ensemble, puisque nous avons bricolé ensemble le jour anniversaire de ses 23 ans. Tu sais Céline est au courant depuis le premier jour et j'ai de l'admiration pour elle de ne pas t'en avoir parlé alors que vous êtes fusionnel. » Bizarrement je n'étais même pas choqué de ces aveux que je prenais comme une confiance absolue. « Puisque nous parlons de Cédric lundi prochain il arrive ici, car il a 3 semaines de formation dans la ville et ça lui évitera de faire la route » Je connaissais bien Cédric un jeune rugbyman blond, yeux bleus, charmants et très espiègles, je ne mettais jamais douter qu'il pouvait être gay. Je comprenais que papa2 puisse l'avoir choisi. » La vie reprit son rythme normal. L'arrivée de Cédric bouscula nos emplois du temps. Sa formation se terminait chaque jour à 16 h et papa2 devait compléter une partie du temps de travail de son équipier. Papa2 restait à la maison le matin et était sur le terrain de 14 heures à 22 h, il rentrait vers 23 h/23 h 30 après avoir diné sur place avec son équipe. Aussi Cédric et moi passions les soirées ensemble souvent devant des DVD. Notre complicité était réelle puisque notre écart d'âge était réduit. Un après-midi, je rentrais du sport en short. Je me débarrassais de mon tee-shirt trempé et m'installais avec une bière à côté de Cédric lui aussi torse nu et en caleçon, c'était presque sa tenue habituelle. « Tiens Yannick si tu veux je me suis fait prêter un film que je dois rendre demain si ça t'intéresse, lis avant le résumé sur la boite. C'était le film « call me bye your nome » traitant des relations affectives puis sexuelles entre un ado et un jeune adulte. Je me suis Installé sur le canapé pour visionner le film. Rapidement, je me mis à bander, mais je voyais aussi Cédric dans le même état. Donnant des coups d'œil à la bosse de son caleçon, il me semblait qu'il avait une bitte géante. Pendant le film Cédric posait sa main sur ma queue tendue. « Dit petit, ça te fait de l'effet le film. Moi je vais enlever mon caleçon il me gêne fait de même » je ne me fis pas prier et découvrais enfin la queue de Cédric visiblement 18/19 d'une grosse circonférence, mais entièrement rasée. C'était la première fois que je voyais une grosse queue imberbe. La mienne ne fait que 18 avec un petit diamètre et des poils entretenus par une taille régulière. Bientôt, les images du film n'étaient plus dans notre actualité et Cédric vint absorber ma bitte dans une fellation délicate. Ce mec était super beau sa peau était douce et ses gestes précis. Ses mains se promenaient sur mon corps et mes fesses. Il se dirigeait vers ma rondelle dans laquelle il introduisit un doigt puis deux. À un moment, il sortit un tube de gel pour que ses doigts glissent mieux. Il me fit poser mon buste sur l'accoudoir, de ce fait, j'étais à genoux sur le canapé, Il se positionna derrière moi pour poursuivre l'introduction de ses doigts. Bientôt je sentais son troisième doigt rentrer entièrement dans mon anus. Il m'écartait et j'aimais. « Dis Yannick ton gode jaune était de quelle taille ?" « Comment tu sais ça toi Cédric ? » « C'est ton beau-père qui me la dit, nous ne nous cachons rien » « mon gode est de la dimension de mon sexe pas du tien il est beaucoup plus gros. » "Tu inquiètes j'irais doucement » je compris alors que, par toute cette préparation, il avait l'intention de m'enculer. Si cela se passait, j'allais perdre mon pucelage, car je n'avais jamais pratiqué la sodomie autrement qu'avec des sexe-toys. Cédric approcha sa langue de mon trou et me lécha, c'était une sensation érotique torride. IL présentait son gland contre mon trou. J'avais la tête dans le coton, j'étais incapable de raisonner seul l'attente de l'introduction de son sexe m'importait « Cédric si c'est douloureux tu arrêteras ? « Ce ne sera pas douloureux mon beau, ouvert comme tu l'es tu ne sentiras rien, que du plaisir' en effet sa queue s'enfonçait dans mes entrailles et je sentais mon sphincter s'ouvrir sous la poussée. Ses couilles arrivèrent contre mes fesses. Cédric ne faisait aucun mouvement, la totalité de sa queue était en moi. « Alors Yannick, ça va ? » Dès ma réponse affirmative il commença à me limer d'abord doucement puis de plus en plus vite. En quelques minutes je le sentis se raidir et sa queue se contracter. Cédric jouissait. Mais avait-il mis une capote ? Cédric se retira de mon cul. Je vérifiais qu'il s'était protégé. En effet une grosse poche de foutre pendait à l'intérieur du latex. 'Waouh Yannick c'était génial ! Je sais que c'était la première fois pour toi. Pas déçu ? » oh que non je n'étais pas déçu et pas non plus culpabilise de m'être offert sans résistance. « Yannick tu sais notre acte ne se renouvellera pas, j'aime ton beau-père comme toi tu aimes toujours Céline, aussi terminons ensemble l'apprentissage, je te prête mon œillet » Il se leva plaque son torse sur la table du salon m'offrant à la vue son trou rose parfaitement rasé. Ma bitte à la main comme dans un rêve je posais mon gland sur sa rondelle qu'il avait soigneusement lubrifiée « tu as une capote Cédric ? » « Non, mais je ne veux pas je veux que tu me fasses un bébé » « un bébé ? » « Oui tu me donnes ta semence » Sans hésiter je plongeai ma queue dans son cul. Celle-ci rentrait très facilement jusqu'à 'a que je sois au fond de lui-même. Cédric bougeait son cul me signalant qu'il voulait que je le pilonne. Ce que je fis. Bizarrement en même temps que je prenais du plaisir je me retenais pour ne pas jouir et que l'instant soit le plus long possible. Cédric m'encourageait « oui mon petit ange, encore, plus fort, plus vite ! » 'Cédric, je jouis ! » « donne-moi ton sperme' Je ne me souvenais pas d'avoir eu un tel orgasme. Je voulais me retirer, mais Cédric passa ses mains derrière mes fesses » reste en moi jusqu'à ce que tu débandes. Je sentais mon sperme couler le long de ses fesses et sur mes couilles. Le feu vert fut donné après de longues minutes « Allez Yannick a la douche ! » et tous les deux sous l'eau nous nous sommes savonnés copieusement. Nous avons enfilé seulement nos shorts et nous sommes réinstallés sur le canapé. Cédric posa sa main sur ma cuisse, approcha ses lèvres de ma joue et me fit une bise. 'Voilà Yannick c'était la première fois pour toi et tu as pris ton pied, je crois. Pour moi, c'était la première, mais la dernière fois avec toi. Je garderais un souvenir inoubliable. Je ne dirais jamais rien, ni à ton beau-père ni à Céline. Je te demande le même secret. Tu es un gamin adorable ! longue route pour toi Nous nous reverrons souvent puisque, tu as compris que je vais partager ma vie avec ton beau-père, je ne sais pas si tu comprends, mais je l'aime. Suite à notre expérience d'aujourd'hui j'ai passé un pacte de confiance avec toi. » Bien sûr que je comprenais et j'approuvais ! Le soir même j'avais Céline en ligne qui me certifiât que le malentendu existait, son locataire était très nature ce qui ne la dérangeait pas, mais qu'à aucun moment elle n'avait couché avec lui. Je la croyais et mon cœur battait fort. Dans mes pensées ensuite après qu'elle eut raccrochée je me posais la question je suis sûr qu'elle n'a pas couchée avec son locataire, mais l'avait-elle masturbé ? Je verrais ça au retour de ma copine.
Yannick
Autres histoires de l'auteur :
