C'est dans un bar de nuit que j'ai rencontré ce jeune mec. Pas très grand, mais des muscles finement dessinés sous un débardeur. Un jean qui semble une taille en dessous de la sienne tellement il lui moule le bassin. Brun cheveux courts, des yeux bleus et un beau sourire. Une vraie petite gueule d'hétéro. Enfin, je croyais, d'ailleurs, il drague une amie.
Dans la soirée ; il m'a offert un verre et nous avons un peu discuté. Il a 15 ans de moins que moi, donc je ne m'imagine rien.
Pourtant : il m'a demandé mon 06 et quelques jours plus tard, il me téléphone, il veut e voir, pas de soucis. Chez moi, très vite, il m'explique qu'il aime tellement le sexe, que quand il n'a pas de copine, un cul de mec ne le dérange pas. J'étais OK pour un plan cul. Je suis célibataire, des comptes à rendre à personne et on ne va pas bouder son plaisir.
C'est comme ça que notre " relation " a commencé et il vient régulièrement me voir pour baiser. Je ne m'en plains pas ; c'est un très bon coup. Après, il n'embrasse pas, ne suce pas. Moi, je le suce pour bien l'exciter et après, il adore me baisser, surtout à quatre pattes sur le lit, ou debout dans la salle de bain. Il kiffe se regarder en train de me baiser.
Il est bien membré 20 cm et sait très bien s'en servir, de plus, il est infatigable et met longtemps à jouir. Parfois, j'ai le cul qui chauffe.
Mais une chose qui m'excite, c'est son petit cul. Mais il refuse de se laisser prendre. Il l'a déjà fait, mais à chaque fois, le mec lui a fait mal.
Aujourd'hui, il fait chaud, il passe me voir. Arrivé, je lui offre une bière et il se met à l'aise retire son débardeur et s'assoit sur le canapé. J'aime son torse délicatement musclé totalement imberbe... J'adore.
Puis, bien installé, comme à mon habitude, je me place à genoux entre ses jambes. Lui dégrafe son pantalon qui se retrouve, avec le boxer, rapidement sur ses chevilles. Immédiatement, je passe un grand coup de langue, de la base jusqu'au gland, sur sa queue déjà bien dressée.
Je la gobe et lui inflige une fellation qu'il affectionne particulièrement. J'aime le regarder dans les yeux quand il me dit :
- j'adore quand tu me suces, continue, c'est bon !
Du coup, j'y mets encore plus d'ardeur. Puis, après plusieurs minutes de suçage intensif, je lui demande :
- tu veux me prendre ?
Lui - non cette fois-ci, je veux ta queue en moi.
Surpris, mais ravi, je l'emmène dans la chambre et on se déshabille très vite. Nu, il s'allonge sur le ventre. Je peux admirer son dos magnifique, le beau cambré de ses reins et le bombé de son petit cul. Je me place entre ses jambes et je rapproche presque timidement mes mains de ses fesses que je caresse délicatement. Puis doucement, je les écarte, pour enfin voir l'objet de tous mes fantasmes. Je découvre enfin son petit trou bien fermé.
Lui - doucement ça fait longtemps.
Moi - ne t'inquiète pas.
Ce n'est pas le moment de le brusquer ou de le forcer.
Maintenant, j'approche mon visage de son cul et alors que j'écarte ses fesses, je sors ma langue pour lui lécher subtilement l'anus. Il frémit de plaisir. Je vais mettre tout mon savoir-faire, jusqu'au moment où il me dit :
- va s'y prends moi !
J'attrape une capote que je glisse sur ma bite bandée à mort. Je place mes jambes entre ses cuisses que j'écarte un peu plus. D'une main, je guide mon gland vers son trou. Ça y est, je touche le point sensible, ma tige presse son anus. Il souffle fort, mais ses muscles anaux se relâchent et enfin mon gland se fraye un passage. Je ne suis pas avare, je lui mets toute la longueur de ma bite bien au fond. Allongé sur son dos, je lui souffle à l'oreille :
- ça va ?
- oui, baise-moi.
Je commence mes va-et-vient lentement. Que c'est exquis d'aller et venir dans son petit cul si serré, mais si bon. Si serré que l'excitation se fait plus forte. Ma sodomie devient plus impétueuse. Il gémit, de douleur ou de plaisir ? Mais il commence à m'encourager, je ne me fais pas prier. Maintenant, je le lime durement, je prends énormément de plaisir. Puis dans quelques derniers coups de reins violents et profonds, je pousse un cri de jouissance. Je largue une grande quantité de sperme brûlant qui se repend dans la capote. Je reste quelques secondes inerte sur son dos, puis je le libère en retirent ma bite de son trou et j m'écroule à ses côtés.
Nous reprenons doucement nos esprits.
Lui - Salop, tu m'as défoncé !
Moi - tu le voulais ? Alors, assume !
(rires)
On revient au salon.
Lui - la prochaine fois, tu vas prendre cher !
Puis il part en me donnant le premier petit bisou sur les lèvres.
Seithan
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