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En sortant de la douche, Florian n'avait eu qu'une serviette à enrouler autour de ses hanches avant de me saisir la queue et de me lâcher : " et maintenant, baise-moi ! "
À le voir me regarder droit dans les yeux, un large sourire dévoilant ses dents régulières, bras tendu pour tenir ma queue à pleine main, je le considérais quelques instants. Pas très grand, il avait une belle carrure de sportif avec des pecs bien dessinés et une jolie toison dorée qui descendait en filet jusqu'au nombril et s'épanouissait plus bas où sa serviette formait déjà une bosse. Son téton était percé d'un anneau avec lequel j'avais joué au premier round. Devant mon immobilité, il s'étonna : " je ne te plais pas ? " dit-il avec un froncement de sourcils. Son inquiétude me fit sourire intérieurement : les gays, trop souvent moqués, sont prompts à retrouver des positions prudentes face au jugement redouté.
Je m'empressais de le rassurer : ma queue avait retrouvé sa forme et je lui signifiais qu'elle lui était toute entière dévouée, pour peu qu'il la mérite, car, " jeune homme, ça se mérite ! " " Est-ce que ce morceau vous ira ? C'est le seul qui reste ici ! Vous devriez le gouter, le sentir avant de vous décider. " Son sourire revenait et j'attrapais l'anneau de son téton percé en ajoutant : " mais comment allez-vous l'accommoder ? Dans quel pot ? " et il se retourna, arrachant sa serviette pour me montrer ses belles fesses rondes. Je ne résistai pas à faire courir ma main sur les poils frisés et je le vis frissonner lorsque mon doigt glissant dans la raie retrouva l'anneau charnu et humide que j'avais visité juste auparavant. Je lui mordillais alors l'oreille en lui murmurant qu'avant de le mettre au four, j'aurais aimé le voir parer le rôti dont il allait se régaler. Florian me fit un rapide smack avant de se pencher bouche ouverte, mais je le retins d'une main au cou : pas de bisou à la volée ! je lui enfonçais une grosse langue charnue entre les lèvres pour un résultat attendu : il avait la bouche fraiche et savait rendre des baisers profonds et entrelacer les langues voluptueusement.
Je lui proposais de me lécher la queue et le mis à califourchon sur moi pour avoir son cul devant les yeux. Je saisis ses couilles serrées pour tendre ses bourses et les faire rosir avant de les gober une par une. Et bientôt, un dialogue s'installa : tantôt j'étais à l'initiative à lui dévorer le cul et lui cambré s'offrait en soupirant ; tantôt c'était lui qui me dévorait la queue en essayant de la faire raidir encore pendant que je le doigtais doucement. Il me léchait la tige qu'il tenait à pleine main puis remontait au gland qu'il entourait de sa langue avant de l'avaler avec des succions et des aspirations veloutées, sa barbe blonde se mêlant à ma toison brune et chatouillant mon pieu. Moi je massais son intérieur avec la pulpe de mon pouce et je le sentais se détendre et palpiter du cul.
Alors en se redressant à demi à la faveur d'un soupir de jouissance, Florian saisit le tube de gel et me le tendit. Quand je l'appliquais copieusement, c'est d'abord le froid du lubrifiant qui le surprit, mais rapidement, sous mes doigts, son anus retrouva sa souplesse et sa détente et je le forais de mes doigts réunis pour l'élargir en lui pressant souplement les couilles. Je sentais sa bite dure et tendue et sa concentration sur ses sensations. Chacun du moindre de ses mouvements, de ses ondulations, de ses frissons me guidait pour les caresses qui le faisaient parfois trembler.
Sa main s'assurait de la raideur de ma queue et bientôt, il saisit une capote pour m'en coiffer et, à genoux sur moi, s'en caresser le fion qui en aspira la tête comme un nécessaire complément. Je sentais son anneau tour à tour se contracter et se détendre autour de mon gland, mais quand je donnais de petits coups de reins, il se dérobait à la pénétration comme pour la différer à plaisir. Enfin, il se redressa, m'installa avec le dos calé pour m'enfourcher à nouveau mais face à moi. Il s'assis d'abord en ayant couché ma bite en feu dans sa raie et me caressa le torse en cherchant mes tétons dans les poils puis il se pencha pour les lécher et ma queue coulissa dans sa raie poilue et se redressa entre ses fesses. Il la saisit et remit mon gland dans son oeillet qui en semblait toujours aussi friand. Et là, un sourire éclairant son visage, je le sentis peser pour s'empaler sur ma queue, à son rythme, avec de courtes pauses où il ondulait de la croupe avant de reprendre sa lente descente vers mon pubis. Il me fit remonter les cuisses en dossier pour son dos et glissa à fond sur ma queue puis s'appliqua à rouler du bassin d'avant en arrière pour bien se la carrer profond et s'offrit ainsi de longues montées de plaisir. Puis il ouvrit les yeux me regarda avec un grand sourire : " bon alors maintenant, tu me baises ? "
Il s'arracha à moi et s'écarta d'un pas en me montrant son cul où il plongea deux doigts : " encule-moi macho ! " C'est vrai qu'il m'avait bien chauffé et qu'il avait mené le jeu pour prendre son pied sur ma bite. Maintenant, c'était à moi de jouer.
J'attrapais Florian pour choper son cul magnifique et frotter ma queue dans sa raie puis en le faisant cambrer, l'enfiler d'un coup. Lui faire écarter les jambes pour l'avoir juste à hauteur et commencer à le limer à grands coups en claquant à fond de cul et en ressortant pour le sabrer encore. À la moindre erreur de trajectoire et me voilà sorti ? Il me remet en place d'une main preste et s'enfonce sur mon pieu. Une chaleur qui irradie et lui qui commence à geindre. Un rythme qui s'accélère puis ralentit, mais qui le baise à fond et mon ventre qui claque contre ses fesses. Le plaisir de dire aussi : " t'es chaud ! t'es profond ! serre ton cul ! gaine ma queue ! " Sentir que la mer monte, la chaleur dans les reins, attendre qu'il crache son foutre dans un cri en aspergeant tout autour de lui puis le rejoindre dans cet élan. Me reposer sur toi, en toi où je débande doucement, t'embrasser doucement ! Et toi qui te dégages pour prendre ma queue demi-détendue, enlever la capote et te régaler en lapant à pleine langue. Puis partir à la douche ensemble... Moi les mains qui se baladent sur tes jolies fesses velues, l'humeur au câlin et toi qui me frictionnes.
Mon téléphone qui se met à vibrer... et toi " t'aurais pas plutôt des potes bourrins là-dedans ? " De quoi me faire revenir à des considérations moins sentimentales !
" Omar ! " je réponds.
Amical72
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