Premier épisode
Hey, je ne vous remercierais jamais assez pour vos retours, je suis content que mes histoires vous fassent plaisir, car j'ai pris autant de plaisir de les écrire qu'à les vivre. Je suis toujours à la recherche de nouvelles expériences comme celle-ci, donc si vous êtes dans ce délire-là n'hésitez pas à me contacter :)
Si vous n'avez pas lu la première partie, je vous incite fortement à le faire
Après m'être branlé en tassant avec mes doigts la semence de mon mâle, car j'étais devenu sa femelle, je me suis endormi assez rapidement, je fus réveillé par des bruits à l'étage d'au-dessus, je ne pouvais pas vraiment savoir l'heure, mais je supposais que nous étions le soir. J'entendais plusieurs voix masculines qui parlaient dans ce qui semblait être de l'arabe. Ils riaient beaucoup et me savoir enfermé ainsi, nu, à attendre la grosse bite de mon maitre pendant que ses amis ne se doutaient de rien de ce qui se passait en bas m'excitait au plus haut point. Ma bite de femelle ne mit pas longtemps à grandir, je me caressais les seins et la chatte pendant que j'écoutais ces conversations dont je ne connaissais pas le sujet. Puis je descendis vers mon pénis et entrepris de le masturber vigoureusement, mes doigts faisaient des va-et-vient à la fois dans mon trou et sur mon prépuce, ma respiration devenait de plus en plus saccadée et mon corps se mouvait au rythme de mon excitation. Des gémissements sortant de ma bouche, comme une réponse à mon toucher, se firent de plus en plus intenses. Je m'imaginais que de nouveau mon mâle vienne dans cette cave pour me défoncer encore plus fort que la dernière fois. Je ne mis pas longtemps à juter, mon anus se contractant à chaque jet. Tandis que mon extase était à son paroxysme, j'entendis sa voix.
- Alors petite salope ? On s'amuse ?
Je ne l'avais pas entendu descendre, mais cette vision virile de lui, t-shirt moulant, jogging laissant apparaitre son engin à moitié bandé, ne me laissait pas de marbre malgré ma jouissance quelques secondes avant. J'entrepris de descendre du lit à quatre pattes et de le rejoindre pour commencer à lécher ses pieds nus, légèrement duveteux. Je m'appliquais à passer ma langue entre ses orteils, jouant à tirer sur sa pilosité avec mes lèvres, puis je remontais le long de ses jambes en déposant des baisers sur ses tibias, ses genoux, ses cuisses, les côtés de son bassin puis en finissant par sa bite. À ce moment je me vis tomber en arrière, puis je compris par la douleur à ma joue qu'il m'en avait foutu une énorme.
- Tu n'y touches pas si je ne te l'ai pas ordonné, tu aurais déjà dû le comprendre tout à l'heure, non ?
- Si... Je me frottais le visage, la joue encore engourdie, le cul contre le sol froid.
- Je n'ai pas de temps à perdre avec toi là, même si j'aurais bien voulu te foutre une raclée et t'enfanter, j'ai des invités, je ne veux aucun bruit suspect, c'est compris ?
- Oui maitre...
- Bien, et tiens, il me tendit une gamelle remplit de légumes et de pâtes, voici ta nourriture, je suis un gentil mâle non ?
- Oui maitre, vous respectez votre femelle. Nouvelle baffe.
- Ta gueule, je ne te dois aucun respect, t'es juste une merde.
- Pardon.
Il déposa la gamelle par terre et partit en refermant la porte à clé, les larmes aux yeux dues à l'humiliation que je viens de subir, je pris malgré tout sur moi et commença à manger directement dans le récipient, comme une bonne chienne. Le repas fut très bon, il m'avait même excité, être malmené ainsi par un maitre rebeu, baffé par ses grosses mains viriles et considéré comme un animal. Après cela, je me suis de nouveau branlé et rendormi.
En me réveillant, je n'entendis que le silence, ses amis étaient sans doute partis et nous étions sans doute le lendemain. Il devait donc dormir et cela m'attrista, j'aurais espéré qu'il vienne me baiser pour me souhaiter bonne nuit. Mais, après tout, il n'avait aucune obligation envers moi, car j'étais sa salope, c'était moi qui lui devais le respect, et je l'avais bien compris la veille. Tandis que je m'étirais sur le matelas, sans draps qui sentaient le sperme séché et la sueur, j'entendis des bruits de pas qui descendait l'escalier. Je descendis de nouveau du lit à quatre pattes et attendis devant la gamelle vide, le front contre le sol, le cul bien cambré. J'entendis la clé tourner dans la serrure puis la porte s'ouvrir. J'entendis ensuite un rire.
- Eh bien, je vois que je te manquais.
- Oui monsieur
- Tu as bien dormi ?
- Oui maitre, ma chambre me convient.
- Tant mieux
Je l'entendis refermer la porte, me contourner, puis caresser mes fesses. Il fit ça pendant quelques minutes, me provoquant une grosse érection, puis il m'attrapa par les cheveux et me conduisit devant le lit, il s'assit sur le bord et me tendit ses pieds encore nus. Je m'empressais de les bouffer avec plus d'intensité que la veille, je lui appartenais et je voulais respecter ses moindres désirs. Pendant ce temps, je voyais du coin de l'oeil le mouvement de va-et-vient qu'il faisait sur sa grosse bosse. J'en avais tellement envie que je m'appliquais avec révérence. Après un moment, il tira de nouveau sur mes cheveux pour que je monte au niveau de sa bite et me colla le visage dessus, je sentais cette odeur de mâle, de bite et de transpiration. La dureté de son chibre me donnait énormément envie et je sentais déjà que j'allais gicler.
- Vas-y, suce.
Je m'empressais de baisser son jogging et son caleçon et avant que je n'aie eu le temps de toucher son sabre, il me prit la tête avec sa main et me biffla de l'autre, son liquide séminal me laissait des traces de mouiller sur le visage, et même sur le bord des lèvres. J'essayais avec ma langue d'en attraper le plus possible et au passage de lui lécher la queue. Il m'ouvrit la bouche avec ses doigts et me l'enfonça d'un coup au fond de la gorge, j'eus un haut-le-coeur, mais pris sur moi et tentais d'encaisser le plus possible. Il m'ouvrit la bouche avec ses doigts et me l'enfonça d'un coup au fond de la gorge, j'eus un haut-le-coeur, mais pris sur moi et tentais d'encaisser le plus possible. Comme la veille, il me cracha plusieurs fois sur ma chatte puis enfonça d'un coup sec son membre en moi, me provoquant un électrochoc de plaisir, se mêlant a de la douleur. Ma prostate ne put résister à cette excitation et lâcha la purée sur le matelas. Je tremblais de partout, complètement ailleurs, tandis que mon mâle faisait des aller-retour puissants en moi, claquant son bassin musclé contre mon cul. Je l'entendais respirer très fort, parfois sortant des insultes ou parfois parlant en arabe. J'étais son trou à bite, j'étais sa décharge, sa femelle. Je ne mis pas longtemps à rebander tellement l'instant était intense. Il finir par se mettre à croupie sur le lit, son torse gonflé à bloc et transpirant contre mon dos, il passa son bras autour de mon cou de façon à ce que l'intérieur de son coude m'étrangle. Je sentais qu'il allait venir, il avait réellement envie de moi et ne pouvait pas se retenir, comme la veille, il commençait à respirer de plus en plus vite et à me pilonner de plus en plus fort.
- Allez-y maître, faites-moi un enfant, je vous en supplie, lui dis-je en gémissant comme une chienne
À ce moment là il s'enfonça en moi en criant, je sentis sa semence bouillante s'infiltrer en moi, puis petit à petit sa bite sortir de mon cul. Mon maitre tremblait, son orgasme a été très puissant et c'est grâce à moi, j'en étais très fière.
- T'es une putain de bonne chienne
- Merci maitre !
Il me donna encore une énorme fessée, se rhabilla puis partit sans demander son reste. Sans attendre, je me mis des doigts dans mon trou bien ouvert pour récupérer son sperme et le bouffer. Son goût salé était divin, je n'en perdus pas une miette et m'en contenta autant que je le pouvais. J'étais tellement fatigué que je ne pus même pas me branler et je m'endormis encore une fois très rapidement.
Quand je fus réveillé, j'entendis la porte s'ouvrir. Je me mis en place le plus rapidement possible et reçu ma pitance de la main de mon maitre. Je me mis à manger en le remerciant, il repartit et je continuais à dévorer mon repas. Quand j'eus fini, je montais sur le lit et attendis en position foetale que mon mâle se serve de moi. Il ne mit pas longtemps à redescendre et me regarda de ses yeux noirs.
- Suis-moi, dit-il en ramassant la gamelle.
Je me levais, la tête basse, et le suivis docilement, toujours derrière lui, jusqu'au rez-de-chaussée, la lumière du soleil m'éblouissait légèrement. Il s'arrêta et m'indiqua une porte.
- Va faire tes besoins, et dépêche-toi.
Tellement mes pensées étaient tournées vers lui, sa bite et la baise que j'en avais oublié que j'avais besoin d'aller aux toilettes. Moins que de la compassion, je pense qu'il voulait surtout que mon cul soit propre pour ne pas entacher son membre viril.
Après avoir fini, il m'indiquait à nouveau de le suivre dans l'escalier, la maison était très grande et je pus découvrir une petite parcelle de sa vie. Puis il bifurqua dans une chambre presque uniquement meublée d'un lit.
- Bien, je te fais le topo, ce soir quelqu'un d'important va venir ici même, dans cette chambre, tu devras évidemment faire tout pour qu'elle ne te remarque pas, car si cela arrive nous serons tous les deux dans la merde. Compris ?
- Oui maitre.
- Bien, tu vas donc aller dans ce placard, il m'indiqua une porte encastrée dans le mur. Et tu vas y rester jusqu'à ce que je te dise d'en sortir.
Il alla ouvrir la porte, je m'y installais et il la referma à clé, mais l'interstice entre celle-ci et le mur me permettait d'avoir une vue parfaite sur le lit. Il partit en refermant la porte de la chambre, me laissant à nouveau seul.
À nouveau, je dus attendre, ressassant ses paroles, qui pouvait bien être cette personne ? Était-ce un de ses amis ? Un membre de sa famille ? Il aimait apparemment jouer avec le feu et prendre beaucoup de risques pour l'humilier et pousser plus loin le jeu de la domination. J'avais peur, peur de ce qu'il pouvait se passer si j'étais découvert, comment réagirait-il ? Je me demandais si ce jeu allait finir un jour et si je n'étais pas tombé sur un psychopathe qui n'allait jamais me laisser partir. Il aimait apparemment jouer avec le feu et prendre beaucoup de risques pour l'humilier et pousser plus loin le jeu de la domination.
Après avoir passé plusieurs heures ainsi, somnolant d'ennuis, entendant des bruits en bas, je finis par percevoir des voix et des pas monter à l'étage, je retins mon souffle un instant, la porte s'ouvrit, j'entendis une voix féminine.
- Tu sais que j'aime quand tu me parles comme ça ?
- C'est normal bébé, tu es la plus belle.
- T'es trop gentil.
J'entendis des bruits de baisers et c'est là que je compris, il amenait sa copine chez lui, et je pus deviner son plan machiavélique en entier. Comme je l'ai deviné, il s'allongea avec elle dans le lit, enlacés, se déshabillant. Il voulait que je les regarde faire l'amour. Contrairement à quand il était avec moi, il prenait son temps, la caressait, l'embrassait, lui disait des mots doux. Ils firent un 69, je voyais bien sa tête bouger entre les cuisses de sa copine, elle bougeait la tête tout en produisant des sons de contentement, son visage était caché par les fesses musclées de mon maitre. J'en étais très triste. J'aurais aimé être à sa place, pouvoir avoir autant d'affection de sa part. Il le faisait exprès et savait que ça allait me faire réagir ainsi.
Un moment passa avant qu'il n'attrape une capote et se l'enfile sur son bâton énorme. Cela me réconforta qu'il n'en utilise pas avec moi-même si je savais au fond que c'était une question de contraception.
Pendant toute la nuit, il lui fit l'amour, de façon douce, je les entendais gémir, ils s'échangeaient des " je t'aime " et d'autres mots doux. Je me suis malgré tout branlé, tantôt en regardant sa bite aller et venir dans le vagin de sa copine tantôt en m'imaginant être à sa place. Je dus finir par m'endormir et je fus réveillé par le bruit de la clé du placard.
Sgaydu77
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