Jour -01
Hello ! Je voudrais vous remercier pour vos commentaires sur ma première histoire, ça fait plaisir ! Celle-ci est assez longue donc je compte la faire en trois parties !
La dernière fois je vous ai raconté comment je m'étais fait défoncer par un rebeu de cité avec son énorme engin. Après cela j'ai voulu recommencer, mais je n'ai jamais eu d'occasions, jusqu'à récemment. Alors que je me baladais sur grindr, je suis tombé sur le profil d'un rebeu pas très loin de chez moi, sa photo de profil était celle de son torse, bien musclé, ses pecs étaient gonflés à bloc et ses abdos étaient magnifiquement dessinés sous sa peau bronzée. Il avait le même âge que moi, hétéro, fan de domination sur des babtous et TTBM. Je décide de lui envoyer un message sans trop m'attendre à une réponse.
Moi : Salut !
Moi : [PHOTO]
Il ne m'a pas répondu tout de suite, j'étais un peu déçu et au moment où j'allais supprimer la conversation j'ai reçu un message.
Lui : Salut
Lui : T'as une bonne bouche
Moi : Merci
Moi : J'ai encore jamais essayé la domination
Lui : Bah je peux t'initier, t'es clean ?
Moi : Oui, mais ça fait longtemps que je n'ai pas fait de test
Lui : Tu vas faire un test avant la fin de la semaine, tu réserves ton weekend et tu viens chez-moi vendredi soir.
Après cela nous avons échangé quelques photos, celle de sa tête, il était magnifique, une mâchoire carrée, un regard noir et viril, une barbe rasée de prêt. Nous avons aussi échangé nos préférences et il m'a filé son numéro et moi mon adresse.
Le jour même j'ai attendu devant chez-moi qu'il vienne me chercher. Il arriva dans une grosse voiture noire, je vais pour monter à l'avant.
- Tu fous quoi ?
- Bah je monte dans la voiture.
- Les salopes ça va à l'arrière, et vite avant que je te mette dans le coffre.
Je referme la porte, regardant autour de moi si personne n'avait entendu la conversation, car il avait parlé fort, je montais donc sur la banquette arrière, les vitres étaient teintées. Il démarre et je vois ses yeux me regarder dans le rétroviseur. Nous n'avons pas parlé du voyage, il me regardait malgré tout, j'étais un peu stressé de ce qui allait se passer.
Arrivé chez lui, une grande maison qui appartenait à ses parents, il me dit de descendre et de le suivre, que je dois toujours me trouver derrière lui sauf s'il me le demande.
Il me fait rentrer, j'enlève mes chaussures, pose mon sac, il me dit d'attendre. Pendant qu'il était parti je regardais la décoration du salon, puis m'assis sur le canapé, grosse erreur : je ne vis pas la baffe venir et encore étourdit par celle-ci je ne le sentis presque pas m'attraper par le col et me relever à la force de son bras.
- D'où tu te permets de mettre ton cul d'abomination sur mon canapé ? Toi, tu vas à la cave.
Il ouvrit une porte et me poussa dans les escaliers, puis me dit d'entrer dans une petite salle à droite, elle n'était pas très grande et elle comportait uniquement un lit et des cartons. Il me poussa sur le lit, ferma à clé. Je n'avais pas l'habitude de ce genre de pratique, cela me mettait un peu dans l'inconfort. Il m'attrapa par les cheveux et me colla le visage à son jogging, je sentais la bosse au niveau de son entrejambe, même molle sa teub semblait bien épaisse. Je la reniflais, la mordillait à travers le tissu et finalement j'allais pour la prendre dans ma main, mais il s'éloigna, me demanda de me lever et de me mettre à poils. Nu comme un ver je me sentais humilié, mais ma queue était déjà bien dure. Il me fit m'accroupir, s'assit sur le lit.
- Lèche mes chaussures salopes.
Hésitant légèrement, levant ma tête vers lui, je vis son regard noir et, je me dépêchais de faire ce qu'il me demandait. Ses sneakers étaient blanches et propres, je me suis demandé sur le coup s'il ne les utilisait pas seulement pour ça. Je léchais donc d'abord sur les côtés, traçant la forme du Nike avec ma langue, puis je jouais à défaire ses lacets avec mes dents, il leva ensuite son pied pour que je lèche la semelle, ce que je fis, le gout du plastique ne me dérangeait pas spécialement, mais c'était étrange. Ensuite il me demanda de les enlever et de les renifler, ce que je fis, cette odeur de pied de mal m'enivra et ne fit que me rendre plus dur. Pendant ce temps il me regardait avec ses yeux sombres et je voyais que la bosse avait pris un peu de volume. J'ai dû les sniffer pendant dix bonnes minutes avant qu'il ne m'attrape par les épaules pour me faire lécher de nouveau son jogging. Cette fois il me laissa toucher son paquet, je sentais ses boules presque aussi grosses que des oeufs entre mes doigts, et son membre qui prenait du volume au fur et à mesure de mes caresses me rendait fou.
- Maintenant, suce.
Je ne le fis pas répéter deux fois, j'agrippais le haut de son joggo et le fit glisser sur ses chevilles, son boxer partant avec. La bite que je vis sortir était une machine de guerre, un obélisque. Un peu plus foncée que sa peau, elle était couleur caramel, surmontée d'un gland épais et circoncis bien rose. Sans attendre je la pris en bouche, jouant avec le gland, impatient il prit ma tête à deux mains et me força à avaler le plus possible, j'ai eu des haut le coeur, mais au fur et à mesure je me suis habitué et je la prenais entièrement. Seul le bruit de ma bave et de ma gorge cassait le silence ambiant, j'étais à fond dans ma tâche et ne ratais aucun moment. Près quelques minutes il me fit m'allonger sur le lit, se mit à genoux des deux côtés de ma tête et enfonça à nouveau son énorme sabre dans ma bouche. Ses poils pubiens me chatouillaient les yeux et ses couilles tapaient contre mon menton. Il y allait très fort et m'étouffait par moment.
- Grosse salope, sale pute. Je vais te féconder comme la femelle que tu es.
Et tout de suite après il suivit ses paroles en se relevant, me retournant puis il cracha plusieurs mollards sur mon trou de balle et finit par s'enfoncer très fort.
- Ferme ta gueule, tu te tais et tu subis.
Après un moment, il commença de rapide et puissants va et viens qui me renvoyaient en avant, mais bloqué par ses grandes mains sur mes épaules. Je sentais son engin divin me labourer la chatte, je n'étais que ça pour lui, je n'étais même plus une personne. Je serrais le plus possible ma rondelle autour de son chibre et faisais des mouvements de bassin vers l'arrière. Il s'arrêta de me piner pour que je le fasse à sa place, on entendait les claquements de mon cul sur son bassin et de ses grosses couilles sur les miennes. Je sentais l'odeur de sa peau transpirante, je bavais dessus aussi et je finis par commencer à aimer ça. À un moment il me lâcha pour me retourner sur le dos, j'en profitais pour reprendre difficilement mon souffle, il mit mes jambes des deux côtés de son bassin, s'étala littéralement sur moi et me présenta son aisselle poilue. Je me mis à la renifler, à jouer avec ses poils. Il me défonçait tellement fort qu'il me faisait crier de plaisir. Je ne sais plus combien de temps ça a duré en tout, peut-être une heure ou deux. Je n'en pouvais plus, j'étais au bord de l'orgasme prostatique quand il commença à grogner puis s'enfonça d'un coup en moi et cria, non, rugit bestialement. On aurait dit un animal sauvage qui assouvissait ses pulsions de mâle dominant, ce qu'il était en soi. Après un moment où il reprenait son souffle, il se retira, m'arrachant un petit cri quand son gland encore gonflé sortit de mon trou béant. Il remit son caleçon et son jogging, prit mes vêtements et puis commença à partir. Je m'empressais de me lever en essayant le suivre le plus vite possible, le cul encore engourdit et, ne comprenant pas pourquoi, il me prenait mes sap.
- Qu'est-ce que je t'ai dit ? Les salopes, elles restent dans la cave.
Il me repoussa et, emportant mes affaires avec lui, il referma la porte à clé, je l'entendis monter les escaliers de la cave et la porte se fermer derrière lui. Encore surpris je pris un temps pour comprendre ma situation, j'étais sa femelle, sa chatte et son captif, il se servait de moi que quand il voulait me féconder. Après mure réflexion, même si je n'avais pas l'habitude de ce genre de choses, cela me plaisait. Je me dirigeai alors vers le lit, m'allongeant pour sentir le mélange de mon odeur et de la sienne, puis j'entrepris d'enfoncer quatre de mes doigts directement dans mon cul remplit de sperme, le tassant dans mon anus encore palpitant et me branla de l'autre main. Je ne mis pas longtemps à gicler et m'endormis ainsi.
Voilà pour le premier jour, si vous êtes intéressés par la suite ou par ce genre de kiffe (ou pas ça peut être plus soft) n'hésitez pas à me contacter par mail, se serait super d'avoir encore des discussions et des commentaires agréables.
Sgaydu77
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