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Dans le camion, je me sens content et pourtant frustré à la fois. François me lance de brèves oeillades pétillantes, mais, devant mon silence, il finit par m'interpeler : " quoi ? Tu m'en veux ? Ce n'était pas un super coup ? " " Mmm " " Attends Julien ! ce mec il a un cul d'enfer et il aime la bite, non ? " Je me tourne vers lui, l'air goguenard " dis-moi François, il me semble que toi aussi tu aimes la bite, non ? " Il se marre " moi, je préfère planter la mienne, mais... une belle bite de puceau comme la tienne, j'avoue... " " tu avoues... quoi ? " " J'avoue que c'est bon de me prendre ta belle tige bien profond " Je me tourne vers lui pour bien le regarder. " Alors, tu n'as pas terminé mon éducation ! " Il ne sait que répondre et garde les yeux sur la route. " Encule-moi François ! Je veux que tu sois le premier. Et maintenant ! parce que ça m'a mis le feu " Il se marre. Je reprends : " Quand je vous entends ainsi gémir d'avoir ma bite dans le cul, je me dis qu'il doit y avoir là quelque chose de bon, non ? Alors je veux essayer. "
Je replonge dans mes pensées. J'ai joui deux fois et je me sens soulagé et parfaitement relax. J'ai une certitude, une assurance nouvelle qui me portent. Je me concentre sur mon trou du cul et je joue à contracter puis relâcher mon périnée. Je sais que je suis serré et je redoute un peu l'expérience, mais François est celui qui, et en fait, le seul à qui je puisse faire confiance.
À l'arrivée, j'attends François et quand il s'approche, je recule mon cul pour me frotter à lui. Je veux me penser comme passif et sa main m'enveloppe une fesse et me pousse vers le lit. J'ai des exigences : je le veux nu pour sentir sa toison me caresser, je veux qu'il me lèche avec la râpe de sa barbe autour la douceur de sa langue, je veux sucer ce doigt qu'il m'introduit délicatement et qui me procure d'abord une impression un peu désagréable. Je me jette dans le baiser qu'il vient chercher sur mes lèvres. J'aime embrasser, entortiller les langues quand elles sont lourdes, puis les sentir se transformer en papillons légers. François interrompt ces jeux pour mouiller ses doigts de salive avant qu'ils ne viennent me travailler le fion. Et c'est son pouce qui est maintenant en moi et me presse, m'étire, me fouille. Il ajoute un doigt en m'observant. Je sais qu'il prend soin de moi.
Je ferme les yeux et décide de le sucer pour me détacher un peu des sensations de tiraillement. Je plonge en soixante-neuf et m'empare du gouvernail à pleine main : au moins est-ce familier ! Sa queue est bien droite et bien proportionnée, mais son diamètre, et je crois que c'est le diamètre qui m'inquiète, est rassurant. Je l'embouche en cul de poule et achève de la décalotter en aspirant son gland sur lequel j'écrase ma langue. Mon application me distrait de l'inquiétude de ce qui m'attend et j'aime cette queue que je sens réagir à la moindre de mes caresses. Je sens que François me doigte profondément, au moins avec deux doigts et j'ai, par moment, des sensations nouvelles, comme de petits coups d'électricité dans les reins.
Puis je sens François s'étirer et tendre le bras. Je l'intercepte et proteste : " non, pas de capote s'il te plait, je veux aussi ton jus " Il sourit, attrape le lubrifiant et, me doigtant d'une main, il s'enduit le chibre de l'autre par rotations du poignet. Il me soulève le bassin avec l'oreiller et se glisse sur moi. Toute sa fourrure me caresse le dos et j'aime sa toison. Sa main positionne son gland et je sens mon anneau s'évaser, prêt à l'accueillir. Il m'embrasse, me lèche le cou, l'oreille en murmurant et je le sens m'envahir de sa tige chaude et ferme.
Soudain, une douleur éclate dans mon cul et me déchire, comme un crissement de verre, une onde de froid. Je suis sourd et absent à tout. Puis, progressivement me parvient la voix de François qui murmure de petits mots apaisants à mon oreille, mêlés de bisous. Je reprends conscience de son poids sur moi, de sa queue en moi, chaude et rigide. Et je le sens qui roule lentement du bassin. Je bouge pour écarter davantage mes cuisses et il se soulève pour me soulager un peu de son poids et je me cambre spontanément. Il me semble que sa queue est ainsi plus confortablement logée en moi. Je sens une vague d'oscillation et de bascule s'amorcer, nos peaux se collent et décollent. Il garde sa bouche à mon oreille et continue son murmure comme une berceuse rassurante. Je perçois sa queue qui coulisse doucement en moi et la sensation de sa touffe qui s'écarte avant de revenir s'écraser.
Il se redresse et se retire en me maintenant à plat d'une main posée sur mon cul. Il saisit le lubrifiant et me doigte doucement, c'est froid puis je ne sens plus que la fluidité et une légère torpeur. Il me guide du geste et remet sa queue en place puis il m'empoigne des deux mains aux hanches pour m'attirer vers lui. Je sens sa queue me fourrer souplement, douce, chaude, vibrante et j'en ai des frissons. De sa grande main, il remonte de mon ventre vers mon torse pour me soulever contre lui à genoux. Sa bouche est dans mon cou, une main me caresse et l'autre, sur ma hanche donne le rythme du balancement qui nous berce. Puis il me lâche et je retombe les épaules sur le drap, cambré, fiché sur lui. Il me lime lentement avec une amplitude grandissante et je joue à me contracter, détendre pour mieux le sentir en moi. Puis ses mains s'affermissent : il écarte mes globes et son mouvement devient plus sec, plus vigoureux. Sa respiration est plus forte et sa queue est brulante. Il m'attire à lui à fond et je perçois sa poussée. De petits éclairs éclatent dans ma tête. D'un coup, il pousse un souffle rauque et m'assène une série de va-et-vient plus rudes, puissants et amples, emporté par son désir que je sens monter puis jaillir, chaud et soudain. Trois, quatre pulsions. Lui qui expulse bruyamment l'air, s'agite par spasmes, tente de s'enfoncer, s'abat sur moi.
Puis il glisse sur le côté, roule sur le dos. Je sens sa liqueur en moi. Je m'applique à rester cambré pour la garder, mais je glisse vers sa queue et je la contemple, la lèche, l'aspire. Le gout est fort, musqué avec des traces douceâtres de son foutre. Il me dit " partage " et me fait monter sur lui pour m'embrasser tandis que sa main glisse sur mon cul, écarte mes fesses, il me doigte pour laisser le jus s'écouler sur lui. Il m'enfile son pouce et d'un coup, un puissant frisson me parcourt. " Ça va ? " Je le regarde, sourit et lui fourre toute ma langue dans la bouche. Il répond puis me renverse et me dit " faisons vite maintenant. À la douche ! "
Mais à l'entrée de la douche, il m'arrête. Son bras m'enveloppe, sa main glisse à plat sur mon cul et son doigt vient titiller mon anneau, il m'attire contre lui et me glisse " merci " à l'oreille. Je me dégage avec une moue " je crois que j'ai encore beaucoup à apprendre avec toi " et je ris. Mais, je me dis qu'à part le cul endolori, je n'ai pas - encore ? - trouvé ce qui les fait soupirer si fort. Alors que lorsque je les baise.... D'ailleurs... je tâte mes poches pour y retrouver la carte de visite que j'y ai glissée.
Amical72
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