Je crois l'avoir dit, j'habite au quatrième étage d'un petit immeuble ancien dans le vieux centre de Montpellier. On l'appelle l'Écusson, pas l'immeuble, le vieux centre... C'est là que je me suis réfugié dans un deux-pièces, depuis que j'ai quitté ma femme pour vivre à l'âge de la retraite ma sexualité. J'ai raconté, sur ce site, toutes les aventures dans lesquelles m'a entraîné Patrick un homme rencontré dans un sauna qui m'a révélait mes désirs et assumer mes penchants. Pour la première fois, lors de mes dernières vacances, j'ai osé " draguer " un mec. Ce que je vais raconter aujourd'hui est différent et assez surprenant.
Je regagnais mon quatrième sans ascenseur, lorsque je croise un jeune homme, environ 24 ans, qui lui, descendait assez rapidement. Nous faillîmes nous heurter, alors il s'arrêta pour s'excuser. Il était beau, genre éphèbe, légèrement frisotant. Nous nous sommes regardés, au moins une quinzaine de secondes, sans rien nous dire, il souriait et son sourire accentuait mon envie de ne pas le laisser partir.
- Vous habitez ici ? Je ne vous ai jamais vu.
- Non non, je suis juste venu dépanner l'ordinateur d'une amie.
C'est alors que subitement il me vint une idée.
- Vous vous y connaissez en ordinateur ?
- Oui, je ne me débrouille pas trop mal, pourquoi.
- Parce que le mien est en panne depuis ce matin.
Je ne sais pas pourquoi j'avais lâché cela, mon ordinateur fonctionnant à merveille. J'avais peur que mon regard ne trahisse la véritable raison de ce que je venais de dire. Je désirais cet homme brutalement. Je sentais mon sexe se durcir et l'envie qui me contractait le bas ventre. J'étais sous l'emprise de l'adrénaline ?
- Vous pouvez venir jeter un coup d'oeil.
Le voilà remontant les marches en ma compagnie. Je crois que de son côté les choses ne devaient pas être claires non plus sa voix était devenue plus vibrante et ses yeux commençaient à briller. Arrivé devant la porte de chez moi, je ne sais ce qui m'a pris. Jamais je n'avais réalisé une chose pareille et jamais je n'avais même envisagé de le faire, même dans mes rêves les plus érotiques. Je me suis précipité sur lui et je lui ai pris les lèvres. À cet instant, un moment de lucidité me prévenait que j'allais recevoir une baffe monstrueuse, voire un bon coup de poing. Au contraire, je sentis sa langue s'introduire entre mes lèvres. Nous sommes restés ainsi deux bonnes minutes à mélanger nos langues. Le baiser devenait de plus en plus fougueux. Ma bite se dressait dans mon pantalon et me faisait mal. Je posais alors ma main sur son entrejambe, il était logé à la même enseigne.
Alors, je me suis agenouillé et sur le palier du quatrième, le monsieur bien sous tous rapports, bien connu dans l'immeuble, commença une fellation avec envie et passion. Son sexe avait une belle taille. J'aimais son gout légèrement salé et je l'avalais jusqu'au fond de ma gorge. Ma langue caressait le frein et glissait sur la hampe pour finir en enveloppant son gland. Cet homme, je le buvais, je le dévorais tant il me donnait envie. J'avais détaché sa ceinture et baissé son boxer. Mes deux mains derrière ses fesses qui étaient d'une douceur exquise je dirigeais un va-et-vient dans ma bouche. Tout à coup, sans que je ressente une quelconque alerte je reçus en pleine bouche son éjaculation plusieurs giclées d'un sperme onctueux au gout d'amande. J'étais comme devenu fou de ce jeune homme. Moi qui n'avalais jamais le sperme, je déglutis tout ce qu'il avait déposé dans ma bouche. Il était un peu groggy. Je réalise seulement maintenant que nous avions fait ça dans la cage d'escalier. J'ouvris ma porte et nous pénétrâmes un peu comme dans un refuge. Ma bite était toujours dressée dans mon pantalon. La porte à peine fermée je me déboutonnai et lui présentais mon sexe. Venant d'éjaculer, il était dans une phase intermédiaire qui chez moi dure un certain temps vu mon âge, mais lui, fort de sa jeunesse dans les minutes qui suivirent, sa bite pointait de nouveau vers le ciel. Il put alors s'occuper de moi. Il embrassait beaucoup mieux qu'il ne suçait les bites. Sa bouche ne s'ouvrait pas assez et parfois je sentais quelques raclures de ses dents. Je terminais cette fellation par une masturbation et je giclais sur son visage. Je m'empressais de réparer mon inconvenance en le léchant lentement. Mon sperme était moins salé peut-être plus épais. Nous terminâmes cet échange par un nouveau baiser fougueux. Cela eut pour effet de le remettre en selle. Cette fois c'est lui qui me retire mes vêtements. Il déboutonne ma chemise et fait surgir mes seins. Il s'en occupe à merveille il les titille du bout de la langue, les fait rouler entre son pouce et son indexe. Je suis entièrement épilé et il aime ça. Je crois que je lui fais de l'effet, car je le sens vraiment très excité. À présent il me lèche des couilles jusqu'aux lèvres, il me caresse il me malaxe les fesses, il s'active sur mon sexe pour lui redonner la vigueur de tout à l'heure ? Il m'a allongé nu à même le tapis et me chevauche. Sa bite est sur mes lèvres, il prend ma bouche comme un vagin. Je suis étonné par sa fougue, sa jeunesse. Il sort sa bite de ma bouche et à présent se masturbe sur mon visage. Mon sexe est à nouveau raide. J'ai perdu le contrôle de mon corps. Mes sens ont pris le dessus. En pure folie. J'introduis ma bite dans son rectum et je le pistonne comme jamais j'ai pistonné un homme jusqu'à mon éjaculation. Je crois qu'il se retenait, car en synchronisation je pris son sperme sur l'oeil droit. Mon sexe encore dans son orifice, il s'allongea sur moi, m'embrassa dans le clou et s'endormit quelques instants.
Lorsque nous revinrent à la raison. Il alla faire un peu de toilettes et rhabillé, prêt à partir, me dis d'un ton ironique :
Je crois que ton ordinateur se porte à merveille... s'il retombe en panne, appelle-moi. Il me tendit un petit papier sur lequel il avait inscrit son 06.
Finalement les immeubles sans ascenseur, ce n'est pas si mal que ça, c'est bon pour l'exercice
Eric
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