Depuis bientôt une heure, je ne cesse de penser à lécher une bonne bite, avoir un doigt m'effleurant la rondelle et une sentir l'odeur puissante de mâle. Malgré m'être branlé une fois depuis être rentré du travail, je n'arrive pas à éprouver ma satiété. Il est 19 h, je peux me permettre donc une escapade dans le bar LGBT de la ville. Par cette soirée d'été, je ne risque pas d'avoir, donc enfile uniquement mes chaussures en laissant mon blouson. À la maison.
Dehors, l'air est encore chaud et sec. L'odeur de l'été me donne de la joie et n'arrange pas mon envie de baiser.
Je me présente, je m'appelle Milo. Je suis un jeune mec de 22 ans. Je ne suis pas le mec musclé qui exhibe ses muscles sur la plage. Toutefois, je ne peux pas me plaindre de ne pas avoir du ventre. Car malgré tout, je ne suis de loin pas gros. Chacun à son avis, mais bien qu'il ne soit pas musclé, mon cul plutôt généreux donne plutôt envie, d'après ce que j'ai entendu dire. Je n'aime pas porter des vêtements trop amples, je les préfère plus moulants. Bien entendu, je n'irai jamais dans les extrêmes.
Me voilà donc arrivé devant le bar, soit après une dizaine de minutes de marche. Je pousse la porte. L'endroit sent l'homme et la bière, mais rien d'étouffant. Cela stimule mes glandes à sécréter l'hormone masculine. Peu de monde est présent, je dirais une dizaine, de tout âge. Un homme d'environ 40 ans trône au bar, une pinte de bière à la bouche. L'aspect macho et viril se dégageant de cet homme m'attire. Je m'assieds plusieurs tabourets plus loin et commande une bière. Je le regarde, nos regards se croisent. Ma bière arrive, je bois une bonne lampée. Je tente plusieurs regards vers le quadra qui semble plus qu'hésitant ou peu enclin à s'amuser. Pour réveiller la bête en lui, je me cambre sur la chaise, afin que mon t-shirt se soulève et révèle mon boxer sous mon pantalon serré, ainsi que mon cul. Après chaque gorgée, je lèche mes lèvres, de façon provocante, de temps à autre en le regardant. Après de longues minutes d'essai, mon travail porte ses fruits, il me sourit.
Le quadra se vient s'assoir à côté de moi. Il dégage une odeur enivrante de parfum. Je regarde sa poitrine, imposante, musclée. Sa barbe lui offre une obsession encore plus intense.
- Tu as l'air un peu de t'ennuyer tout seul, pourtant un mec mignon comme toi ne devrait pas être abandonné...
Il me passe sa main dans mon dos et me le frotte. Tandis que je bois, sa main se balade sur ma nuque, dans mes cheveux, à la hauteur de mes reins. Sans un mot, en me fixant en souriant de façon perverse, il passe sa main sur mon fessier, il tâte à travers mon jeans. Sa main se fraie un chemin sous mon pantalon, ma ceinture et mon boxer pour me caresser mon sillon interfessier. L'air ravi, il vide sa choppe et se lève.
- Suis-moi !
Je me lève à mon tour, tant pis pour la bière non terminée. Je le suis jusque dans les toilettes, spacieuses. Il entre dans une cabine qui ne manque pas de place. La taille a été conçue idéalement pour ce genre de " rencontre ". Je me retrouve collé à mon mâle, puissant, me dépasse de plusieurs centimètres. De sa grosse main, il me caresse le menton et m'embrasse. Sa langue danse dans ma bouche, sa salive se mêle à la mienne. Son autre main se balade sur mon dos et vient palper mes fesses. J'entame la descente, je m'attarde à embrasser son cou. Durant ce temps, il défait ma ceinture et ma braguette et fait tomber mon pantalon. Plus que le boxer sépare mon cul de ses caresses. Il me reprend la bouche. Par l'une de ses mains, il me fait comprendre de me mettre à genou, j'exécute. Je commence à défaire sa ceinture pour accéder à mon jouet. Le pantalon baissé, le paquet laissant échapper une odeur puissante masculine me fait bander dur. Je lèche le tissu, je le frotte sur mon visage, tout en regardant mon quadra dans les yeux. Je baisse son boxer et son sexe ce temps vers moi. À vue de nez, j'opterais pour un 18 cm et épais. Mes yeux s'illuminent à la vue de mon futur jouet. Je hume l'odeur de mâle s'échapper du gland. Je fais deux trois va et vient avec ma main. Je finis par n'en plus pouvoir, je lèche donc du bout de la langue son gland. Un léger gout salé, sans doute l'urine me donne l'eau à la bouche. J'embrasse le membre sur toute sa longueur avant de le mettre en bouche. Ma langue tourne au tour. Je m'applique à ne pas oublier une partie de son chibre. Voyant qu'il aime ça, je tente d'aller plus loin, en essayant une gorge profonde, acte jamais réalisé auparavant. J'enfourne sa bite dans ma bouche, le gland vient taper ma gorge. Je ressors tout et tousse.
- Tu n'es pas très expert en gorge profonde...
- Non monsieur, c'est la première fois.
- Alors, recommence...
Sur ces mots, il me renfonce sa bite dans la gorge et me maintient la tête avec ses mains. L'envie de vomir est horrible, je m'applique à me détendre. Toutefois, je ne peux m'empêcher de roter. Il me relâche et me laisse respirer, mais pas pour longtemps, car il recommence, mais cette fois-ci plus longtemps.
- Tu es une bonne salope, tu vaux la peine, tu prends une bite comme une chienne. Maintenant pompe là pour te récompenser d'avoir fait une gorge profonde.
Je m'applique donc à faire des allers-retours avec ma bouche. De la bave coule sur mon menton, sur mon torse. Il crache dans sa main et étale le liquide sur ma joue. Il recommence mais cette fois en visant son sexe. Ma salive se mélange à la sienne, je me régale.
Il me tire par les cheveux et me fait me mettre debout. Il m'embrasse, récupère toute la salive sur mon torse et mon visage sur ses doigts et me les faits lécher.
- Tu travailles, bien, ça donne envie de te récompenser. Tourne-toi !
Il me fait appuyer la tête contre la paroi des wc. Je cambre bien mon cul pour lui offrir ma chatte. Il caresse les lobes puis passe son pouce sur ma zone intime. Il frotte et appuie. Il change de doit et insère son index dans mon bas-ventre. Je gémis.
- Tu as l'air d'aimer ça, c'est bon à savoir.
Il tâte de son doigt ma prostate, gonflée à bloc. Le frottement de cette dernière me donne envie d'uriner. Cela n'arrête pas mon beau mâle, qui tente de mettre un deuxième doigt dans mon trou. Pour lubrifier ses doigts, il me les met dans la bouche. Je les suce, comme j'ai travaillé précédemment ça bite. Le travail peut reprendre, plus facilement et de façon plus intense. Mon partenaire m'embrasse dans le cou, me mordille l'oreille. Sa respiration est profonde, intense. Je le sens descendre vers mon trou. Il enfouit sa tête à l'intérieur et commence à me lécher mon cul. Sa langue chaude se balade entre mes fesses, je suis aux anges. Je le sens la faire rentrer en moi, tout en accompagnant cette danse avec ses doigts, qui sautent de me couilles pendues à ma bite en érection. Pendant son long bouffage de cul, qui est juste divin, il me met une fessée, qui réveille en moi mon côté salope. Pour l'encourager, je lâche de petits mots comme " MmmmH ", " oui ".
J'entends mon quadra enlever son pantalon et chercher quelque chose à l'intérieur, sans doute un préservatif.
Il se relève, m'embrasse tout en plaçant le latex sur son manche. Je me cambre du mieux que je peux. Je sens qu'il frotte son sexe entre mes fesses. Sans prévenir, il incère le gland en moi. Je lâche un cri de douleur, mêlé à du plaisir. Il continue sa progression, jusqu'à sentir ses couilles contre mon cul.
- Tu prends bien les bites ma cochonne, ta chatte est merveilleuse.
À ces mots, il commence des vas-et-viens, qui deviennent rapidement plus forts et plus puissants. À cela s'ajoute sa respiration de taureau m'arrivant dans le cou. À chaque coup de bassin, je lâche un râle. Mon mâle se fait plaisir, en même temps qu'à moi, en me mettant des claques sur le cul. Ce dernier devient douloureux.
Le temps s'arrête, les minutes passent, je n'ai pas envie que cela s'arrête. Après un car d'heure, mon cul est en feu. Du sperme coule le long de ma verge suite au plaisir produit par cette sodomie torride.
Il sort sa queue de mon trou, me retourne et me fait comprendre de le sucer. Je reprends de plus belle cet acte. Je retente une gorge profonde, qui celle-ci s'avère réussie. Il me plaque ses jambes contre mon torse, ma tête se trouve sous cette énorme paire de couille. Une légère odeur de transpiration me fait de l'effet. Je m'applique à les brouter, tandis que mon étalon se branle. Il me tire en arrière par les cheveux. Je sens 5 puissants jets inonder mon visage. Sa semence dégouline de son sexe, de mon visage et de mes cheveux.
- Essuie-toi avec mon boxer sale et branle-toi ma salope, je veux voir si tu as vraiment aimé.
Je m'exécute. Je frotte son boxer rempli de transpiration, ce que j'adore, contre mon visage, sur mes cheveux. D'un bon geste, il me prend le boxer des mains et me le met en bouche. Un délice. Il ne me faut pas longtemps pour grimper aux rideaux. Je jute. Je me relève et enlève le boxer de ma bouche mon quadra tâte mon sperme sur mon ventre, me fait lécher ses doigts " sales ". Il m'embrasse.
- Je veux que tu me regardes m'habiller en bouffant mon boxer, que tu garderas pour toi.
Je m'assieds sur les toilettes et regarde ce corps magnifique ce rhabiller, tout en bouffant son futal. Il me fait mettre debout, m'embrasse. Il me retourne une dernière fois, pour me gifler mes fesses rouges une dernière fois. Il sort de la cabine, je suis seul dans ses toilettes, à nouveau excité, un boxer de mâle à la main et nu comme une chienne.
Lifeisdream
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