Premier épisode
Le voyage chaud
Toujours en terminale dans le même lycée de campagne nous approchions de la fin de l'année, le stress des examens commençait doucement à monter et tout le monde avait besoin de se détendre.
Tout le monde, y compris Thomas et Alexis. Qui, comme à leur habitude avaient besoin de ma bouche et du reste de mon corps pour leur faire plaisir le soir. C'était presque devenu ma mission quotidienne et j'y avais même pris gout. Après tout, deux beaux mecs bien montés qui demandent juste à être soulagés, comment dire non ?
Mais l'approche de la fin d'année me rendait aussi triste. Après la terminale, fini l'internat, finies les soirées accompagnées de mes deux étalons et ce n'était absolument pas ce que je voulais.
J'avais tellement envie que tout ça dure encore une année, une petite année à encore prendre en bouche tous les soirs leurs membres imposants et à les entendre jouir de plaisir...
Mais la bonne nouvelle était qu'à la fin de l'année, quelques mois avant les examens, était organisé un voyage à l'étranger pour tous les terminals. Nous allions tous être envoyés dans des familles d'accueil différentes afin de découvrir la culture du pays.
Cette année, le lycée avait décidé d'envoyer notre promotion en Italie et dans mon esprit : Italie = beaux mecs. Alors j'étais tout excité à l'idée d'être envoyé là-bas. Peut-être aurais - je la chance de tomber sur un bel étalon me disais-je.
Le jour venu du départ en Italie, tout le monde avait rendez-vous devant l'enceinte du lycée à 3h précise, nous avions ensuite 11h de route en bus pour arriver à Milan.
Lorsque les bus arrivèrent, je pris ma place habituelle dans tous les bus, au fond. À ma grande surprise, peu de personnes avaient décidé de m'y rejoindre. Je vis juste une silhouette s'approcher de moi dans le noir. La silhouette s'assit à côté de moi et me sourit. C'était Thomas.
J'étais content qu'il vienne s'assoir à côté de moi. Même en sachant que je ne lui servais surement que de vide-couilles presque tous les soirs. J'avais réussi à réellement m'attacher à lui. C'était le seul des deux à venir me demander comment j'allais, à vouloir discuter de choses et d'autres. Je l'aimais bien.
- Ça va ? me dit-il en souriant.
- Oui, très bien. Un peu fatigué de ma nuit.
- Tu veux que je me déplace ? Comme ça tu pourras dormir comme tu le veux. Me demanda-t-il.
- Non non ! Reste la t'inquiètes pas. Tu ne me déranges pas du tout.
Il acquiesça alors en silence et détourna le regard sur son téléphone. Je fermai alors mes yeux et m'endormis rapidement.
Je me réveillai une heure plus tard. Il faisait encore nuit et tout le monde à l'intérieur du bus s'était endormi. Sauf Thomas.
Il m'avais souvent parlé lors de nos discussions de ses insomnies. Qui allais et venais un peu aléatoirement. Il remarqua que je m'étais réveillé et me sourit encore.
- Toujours réveillé ? Lui dis-je en chuchotant.
- Ouep... Je n'arrive vraiment pas à m'endormir et me détendre dans ce bus.
- Tu veux peut-être un peu d'aide ?... Dis-je avec un petit sourire en coin.
Il comprit tout de suite de quoi je voulais parler. Et commença étrangement à se mordre la lèvre.
- Vraiment ? Tu ferais ça ici ? Me demanda-t-il en chuchotant lui aussi.
- On peut essayer...
Je m'approchai alors doucement de lui. Je passai ma main sur son jean noir et pris bien soin de vérifier que tout le monde dans le bus était endormi avant de continuer.
Il posa sa main sur mes cheveux doucement.
Je sentais déjà sa queue durcir à travers son jean et la mienne aussi. Après quelques minutes à le caresser à travers le tissu je décidai de défaire sa ceinture en cuir et de déboutonner son jean lentement. Je baissai sa braguette et à peine ouvert son engin dépassa presque entièrement. Il portait un caleçon avec une ouverture, pratique. Je fis sortir son membre par l'ouverture déboutonnée et commence à le caresser.
Il était déjà dur comme de la pierre. Je commençai alors à le lécher doucement. D'abord le long de sa queue, puis le bout de son gland. Me souvenant qu'il était très sensible à cet endroit je prenais bien soin se faire durer le moment où je passais ma langue sur son beau gland décalotté. À chaque coup de langue bien placé, j'entendais Thomas retenir un gémissement de plaisir.
Après quelques minutes à jouer avec son gland bien gonflé, je me décidai enfin à tout prendre en bouche. Je le pris par surprise, enfonçant tout son membre au fond de ma gorge. Il sembla ne pas s'y attendre du tout et eut un spasme de plaisir immédiatement. Il attrapa ma main qui était posée sur son ventre et la serra contre lui.
Je continuais alors à faire des va et viens le long de sa queue, doucement puis de plus en plus rapidement. Je savais quand il prenait le plus de plaisir quand il serrait de plus en plus fort ma main contre son torse.
Au moment où il ne pouvait presque plus se retenir, il laissa échapper un " Oh... Putain Ben... " le plus discrètement qu'il le pouvait. Je sentais la température de son corps monter de plus en plus. Et plus le plaisir montait plus sa respiration s'accélérait.
J'augmentai une dernière fois la cadence de ma pipe et senti tout son corps être pris de spasme de plaisir. Il se retenait du mieux qu'il pouvait pour ne pas gémir de plaisir. Dans un dernier soupir, je sentis un long flot de sperme me gicler au fond de la bouche.
Au moment où je m'apprêtais à tout avaler comme à mon habitude. Thomas m'attrapa par l'arrière de la tête et dans un élan surprenant, m'embrassa. Nos langues s'entremêlèrent et son foutre se mélangea avec notre salive. Mon coeur s'emballa alors qu'il m'attrapa par le bas du dos pour me rapprocher de lui. Je sentais son torse musclé contre moi et aussi soudainement qu'il m'avait embrassé, il s'arrêta. Il me regarda dans les yeux et sans rien dire, releva sa braguette et s'en alla s'assoir ailleurs.
Je restais là, interloqué par ce qu'il venait de se passer, mais aussi incroyablement excité. Je ne comprenais pas ce qu'il venait de lui arriver...
- Je lui demanderais à notre arrivée. Me dis-je à moi même.
Malgré mon excitation qui se traduisait par une forte érection, je décidai de ne pas me faire plaisir et de me rendormir. Nous avions une longue journée demain et il fallait que je sois en forme pour ce qui allait arriver...
À suivre !
BenVart
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