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Les correspondances de Marc & Cyril
07 juillet 2019, Paris
Marc,
Dé-stre-sse, il va bien.
Il adore sa vie de trainée parisienne, il boit beaucoup moins de Chivas du coup, il s'est mis au Redbull pour courir des heures dans les bois et chasser pour moi.
Je l'ai tellement félicité quand il m'a ramené deux pompiers de Panam qui le croyaient perdu.
Je le revois courant dans le bois la langue baveuse dans le vent, suivi pas ces grands gaillards au petit trot dans leurs bottes.
Je venais à peine de ranger ma bite luisante de salive et de foutre dans mon slop qu'il m'a rapporté ces deux frères du feu.
J'ai bien vite remercié ces jeunes soldats d'une poignée de main ferme mais gluante, puis Tango, lui expliquant que beau-papa était vidé maintenant, mais que c'était un bon chien-chien-putain. Il m'a léché la main. Vraiment quelle trainée !
J'adore Hermès aussi, allons " shoper " si j'ai carte noire blanche.
Je commande à Jacques de la boutique Saint-Honoré un chaps en daim ocre et sur mes mesures qu'il connai t si bien, et deux harnais dans le même cuir pour tango et moi. Jacques se souvient bien de toi et t'envoie ses hommages et la facture.
Bah voilà ! je suis ta petite pute ! Que dis-je, arrête de te rabaisser Cyril, suis une méga pute, même pas besoin de coucher.
C'est bien là mon drame.
J'veux que tu fasses péter mes boutons de braguette, je voudrais virer ta chemise et écraser ma gueule contre ton torse, sentir tes bras comme un étau autour des miens, enrouler mes jambes autour de tes cuisses, inspirer comme un étouffé pendant que je bouffe un téton et souffler comme une bête quand ta mâchoire serre mon cou.
Putain, je veux te sentir, je veux lécher là où ça coule, m'assoir et m'empaler sur ta queue et laisser mes larmes couler dans tes yeux.
Tu pourrais te vanter d'avoir enculé un mâle actif, ce n'est pas cela. Je veux te sentir en moi, physiquement, c'est Tout.
Accroché à ton regard, incapable de m'en détacher, je veux que tu me remplisses et me presses jusqu'à la dernière goutte du fruit de notre passion.
J'avais juré au nom de mes échecs, des gourous en développement que je n'y retomberais plus.
Et pourtant c'est exactement dans le tourbillon de la passion que je suis brassé.
En amour ou haine peu m'importe, c'est de la vibration de toi en moi.
Mais là, tout de suite je veux ton corps, tes mains, tes yeux, ta bite et ton jus.
Je vais finir par te capturer, te ligoter, te bâillonner parce que tu dis tellement de connerie, et me servir.
Je verrais dans tes yeux que tu cèdes, je sentirais tes spasmes de résistance et quand tu capituleras dans mon ventre.
Je tirerais tes couilles pour dégager davantage ton sexe et l'enfoncer encore plus loin dans mon cul.
Au grand galop, je pendrais tout, si dur et profond tu seras, je m'élargirais pour te recevoir davantage.
Je serrais mes muscles sur ta bite, pour te provoquer, et que tu veuilles me défoncer.
Tu détesteras être empêché, manchot sous moi, jusqu'au moment où tout ton corps lâchera et inondera mes entrailles.
Peut être que je jouirais aussi, je ne pas faire avec un membre dans le fion.
Tu fais quoi toi là-bas ?
Je suis invité en weekend à Cannes pour les festivités du 14 juillet.
Je peux tout annuler.
Cyril
ob.ob5.ru
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