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Chapitre 3
Assis dans le canapé du salon, j'épie les mouvements de Toni, que j'ai laissé dans la chambre d'amis après avoir défait ses liens et retiré son plug.
Soudain, Toni passe la porte, il est nu, athlétique, poilu, Il bande comme un jeune cerf et me sourit, puis, sans me quitter des yeux, campé sur ses jambes solides, tend son bras gauche au plafond et, de sa main droite caresse son bras levé, puis glisse vers son aisselle en broussaille, son large téton brun dans les poils, son ventre jusqu'à sa touffe noire, il saisit sa queue raide et l'écarte pour me montrer dessous ses boules lisses.
Puis il pivote de trois quarts et se caresse la fesse rebondie et couverte de poils sombres et soudain, il se penche dos à moi, les couilles pendantes et le fion fourré d'un plug qu'il fait bouger avec de petites contractions. A la couleur, je vois qu'il n'a pas remis la taille débutant. Il me chauffe bien cette fois, il va prendre cher !
Il se redresse, se dirige vers moi mais dévie et contourne le canapé, me permettant ainsi de le mater de profil avec son cul de footeux. Il laisse trainer sa main sur la mienne, sur mon bras puis descend vers mon téton et s'enroule, incline la tête sur mon épaule et vient chercher ma bouche de sa langue. Fraicheur de menthe pour cette première pelle souple et voluptueuse. Mais je le sens qui glisse par-dessus le dossier, il se détache de ma bouche et tourne la tête pour gober mon gland et glisse pour avaler ma tige dans une bouche de velours. J'ai son beau cul sur mon épaule et ma main le caresse, glisse dans sa raie, branle le gode et le retire pour plonger deux doigts : la voie est souple, douce et Toni gémit tandis que ma bite raide se plante encore plus profond dans sa bouche.
Je le fais basculer par-dessus le dossier sur le canapé et nous voilà, moi allongé sur le dos et lui à califourchon sur moi, tête-bêche, lui ayant ma bite solidement plantée en bouche et me suçant comme un prince, moi avec la tête à hauteur de sa croupe, ses couilles sur le menton et ma langue qui lui chatouille la raie. Il a une rosette de poils noirs autour de son anneau souple sous mes doigts et je lui darde ma langue en pointe pour le mouiller et le doigter. Parfois j'abandonne son trou à mes doigts qui l'explorent en profondeur et je gobe ses couilles lisses une par une pour les faire rouler avec la langue et les presser. Puis je reviens dans son trou où je pousse ma langue. Toni a des sursauts et lâche des soupirs de plaisir qui suspendent sa pipe. Il me suce la queue, aspire mon gland, chatouille mon méat puis avale toute ma hampe qui butte en gorge profonde. Putain, il s'applique et me fait frissonner à mon tour mais si je mouille abondamment, il désespère de me faire venir de cette manière.
Il glisse alors au bas du canapé, à genoux au sol et pose sa tête sur mon ventre. Je relève ma tête de mes bras croisés et le regarde : il sourit et vient m'embrasser les paupières pour me faire fermer les yeux puis me roule une pelle et descend en me léchant dans le cou, les aisselles, les tétons et il poursuit vers ma queue qu'il avale en l'aspirant. Ses lèvres se serrent autour de l'ourlet de mon gland à qui il réserve des aspirations et des chatouilles de la langue puis il repart à me lécher l'aine, les couilles, les cuisses et encore. Et revient muni d'une capote qu'il déplie pour m'en couvrir dans une caresse pleine de promesses. Je le sens monter à califourchon et se caresser la raie avec mon pieu qui est plus tendu que jamais, se frotter la rondelle puis engager juste le pointu en lui. Il pose alors ses deux mains sur mon torse et, par petits à coups, s'empale doucement sur ma tige, entrecoupant sa descente d'ondulations du bassin et de jeux avec mes tétons. Puis il me démontre qu'il s'est appliqué à s'entrainer avec le plug : en se soulevant pour se retirer, il serre ma queue avec son cul pour se bloquer avec mon gland puis se renfoncer avec délectation. Il roule du cul pour essayer de tout se mettre et je lui laisse toute l'initiative. Il fronce les sourcils, se concentre ... En vain, bien sûr !
Je le renverse et décule pour le placer appuyé sur l'accoudoir, son beau cul poilu offert. Je plaque ma queue dans sa raie et règle l'écartement de ses jambes pour qu'il soit juste à hauteur puis je me recule et m'accroupis pour mater ce cul, le caresser, presser ses boules, tester la souplesse de son anneau... et dire, oui, dire " quelles jolies fesses Toni ! ton cul poilu m'excite, et comme j'aime tes boules rasées, leur peau est douce et je peux te faire frissonner juste à les effleurer, non ? tu préfères quand je les gobe ? dis-moi, Toni... " mais je n'obtiens que des murmures en réponse. Puis je le saisis par les hanches et mon gland se pose sur son trou qui palpite, un petit coup de bassin et hop ! le voilà introduit puis une lente poussée fait soupirer Toni qui se cambre, " Dis-moi, Toni, est-ce que tu as du plaisir là ? Dis-moi quand tu aimes ce que je te fais, guide-moi. " Je commence alors un jeu de variations de vitesse, d'engagement, de douceur ou de rudesse, ponctué de petits encouragements qui claquent sur ses rondeurs et font monter Toni dans les tours. Dans ses soupirs et ses souffles, il commence à glisser quelques mots : " oui, comme ça ! encore ! " Quand je sens qu'il approche du plaisir, je me carre au plus profond pour interdire tout mouvement et je le caresse du bout des doigts sur la nuque ou le téton pour le laisser redescendre en lui murmurant d'être patient, avant de reprendre le va-et-vient. Mais j'entends à son gémissement que sa jouissance est proche et je me retire pour le retourner sur le dos en relevant ses cuisses que je tiens fermement.
Il m'offre ainsi son fion détendu et palpitant et je lui demande : " guide-moi, Toni, si tu veux que ma bite entre en toi, si tu en as envie... " Toni ouvre les yeux et me regarde fixement, il contracte ses abdos pour saisir ma queue et la guider vers ce trou dans lequel je l'enfonce lentement avec délices, et ma touffe vient caresser ses boules lisses. Je lui demande : " serre-toi, Toni, comme pour me bloquer, là... et maintenant desserre lentement pour me laisser coulisser. Oui, profite, écoute comme elle ouvre son chemin en toi. " Ses yeux sont mi-clos et il halète pendant que je m'active sans le quitter des yeux, bien décidé cette fois à faire coïncider nos jouissances. Et quand Toni se contracte en saccades en lançant de beaux jets de foutre qui arrosent son torse, je me joins à lui en quelques secondes en lançant mes jets profondément en lui à mon tour. De deux doigts, je recueille un peu de son foutre que je lui fais sucer puis je l'embrasse voracement. Quand je me détache, il me regarde fixement quelques secondes puis plonge sur ma bite, retire la capote et suce ma queue pour la nettoyer avant de revenir me rouler un patin qui a ce gout acre de foutre, en se collant à moi pour partager le sien répandu sur son torse. Je lui saisis la tête à deux mains pour lui frotter le visage dans mes poils gluants et l'embrasser de nouveau. Il s'abandonne doucement à un baiser langoureux tandis que ma main caresse ses fesses poilues. Puis il enfouit son visage dans les poils de mon torse et me demande " est-ce que vous êtes davantage satisfait de mon service cette fois, M'sieur ? " Comme je ris, il insiste " vous me gardez encore un peu ... pour un autre essai alors, M'sieur ! " et il saisit ma queue à pleine main et la presse doucement.
Amical72
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