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Chapitre -08 : Carré d'as au soleil
La palmeraie de Marrakech, fin juillet, le Club Med. J'en suis au milieu de mon séjour de 10 jours. Le cadeau d'anniversaire que m'ont offert mes parents, escomptant sans doute que ce serait l'occasion pour moi de me reposer vraiment. Je suis arrivé ici pas vraiment enthousiaste, mais depuis... En tous les cas, pour l'instant, ma cible, c'est Gaëtan. Pas dans mes critères habituels : la trentaine et en vacances ici... avec sa femme et sa gamine. Que voulez-vous, c'est lui que je veux ! Et puis, ce ne serait pas la première fois que je convertirais un hétéro. Il est plus âgé que moi, mais il a un physique qui me fait craquer : un visage carré, une vraie belle gueule de mec, adoucie par une bouche épaisse et sensuelle et de longs cils. Un cul de danseur. Et des pecs dessinés au carré qui me foutent la trique dès que je pose les yeux dessus. Avec ça, des remarques d'hétéro macho dont la passion unique est le sport.
C'est d'ailleurs au tennis qu'on a fait connaissance hier matin, en disputant un match qui restera dans les annales, sans mauvais jeu de mots. Alors que je m'en sors habituellement plutôt bien, il m'a écrasé ! C'est juste après ce match, sous la douche, que j'ai pu mater son corps sans un gramme de graisse en trop. On ne s'est quasiment plus quittés de la journée d'hier et de celle d'aujourd'hui, enchaînant ensemble les différentes activités sportives possibles ici. Je ne suis pas sûr qu'il ait compris que je suis gay. Je ne manque pas une occasion de le frôler ou de le mater, mais j'essaie de ne pas être trop lourd. Pas envie de le faire fuir en étant maladroit, même si je sais où je veux en venir. Il y a quand même ce matin, où en réponse à son commentaire sur une nana qui passait, j'ai répondu en le fixant droit dans les yeux : " oh, tu sais, moi, les nanas... "
Nous nous retrouvons pour dîner sur la terrasse, avec lui et sa petite famille, quand Hugo se pointe à notre table : " Je ne dérange pas trop, j'espère. " dit-il en me fixant et en s'installant à la place restée libre. Hugo, c'est un des deux maîtres-nageurs de la piscine du club. Je fais mine de l'ignorer et continue ma discussion avec Gaëtan. Du coup, Hugo se met à parler avec la femme de Gaëtan, ce qui me va très bien. C'est au moment où nous nous retrouvons seuls tous les deux à table, Gaëtan et moi, les autres étant partis se servir au buffet, qu'il me dit : " Il m'énerve, l'autre dragueur, à brancher ma femme. " J'éclate de rire : " Tu n'as vraiment rien à craindre : il n'a jamais touché une femme de sa vie ! C'est un gay et un vrai, et il n'aime rien plus que se prendre une queue bien profond ! " Interloqué, Gaëtan réagit : " Mais comment tu sais ça ? " " Ben, qu'est-ce que tu veux, j'ai passé les deux dernières nuits avec lui. Et je peux te dire que malgré son physique de mec, il n'est pas feignant sous l'homme ! Il aime ça. Et il en redemande. " Je laisse quelques secondes passer, puis lui demande : " Ça te choque ? " " Non, non, répond-il trop vite, chacun fait ce qu'il veut. " " Ce matin, en le laissant, j'ai été clair en lui disant qu'on en restait là... sauf s'il me ramenait Medhi, tu sais l'autre maître-nageur, pour qu'on s'amuse à trois. Mais il insiste. Il est sans doute jaloux de la complicité que j'ai avec toi. " Pendant le reste du repas, Gaëtan reste songeur, beaucoup moins bavard. Puis sa femme se lève pour aller coucher leur gamine : " Je suis crevée, je vais dormir aussi. Mais vous les hommes, profitez-en, prenez du bon temps. " Si elle se doutait...
On réenchaîne en parlant de l'activité de quad qu'on envisage pour le lendemain, mais Gaëtan se plaint d'une douleur au genou. C'est moi qui lui propose de lui donner de l'arnica, en passant par ma chambre qui est sur le chemin de la sienne. À peine la porte refermée, je me colle à son dos et le plaque contre le mur. Il ne se laisse pas faire : " Arrête tes conneries, je suis pas pédé, moi ! " Le maintenant toujours plaqué, je frotte la tranche de ma main contre sa raie, à travers son bermuda : " Mais qui parle de pédé ? Il s'agit juste de se faire plaisir. " " Et ne me dis pas que t'en as pas envie, tu triques comme un âne... " lui dis-je ne saisissant sa teub déjà raide.
Il nous faut moins de dix secondes pour être tous deux à poil. Je lui bouffe la gueule comme si je n'avais rien mangé depuis 8 jours. Nos langues se battent, s'aspirent, se frottent, se libèrent et y reviennent. Je saisis son cul à pleines mains, le soulève et l'assied sur le meuble de l'entrée. Me penchant légèrement, je me régale de ses pecs que je lèche en m'arrêtant longuement sur ses tétons pour les mordiller. Ils ont beau être tout petits et très bruns, ils sont dressés, comme en érection. Mes mains caressent son corps musclé. Il s'enhardit et je sens ses caresses à lui devenir plus appuyées, plus précises. Pour un mec dont c'est la première, il a du talent. Je le prends par le bras, et l'amène jusqu'au lit, où je le fais tomber d'une poussée un peu plus appuyée. Je reste quelques secondes à le contempler allongé sur le lit, la queue dressée, offert à moi. Je sais que je vais le baiser, que ce sera son dépucelage, et je veux qu'il en redemande.
Couché sur lui, ayant repris sa bouche, mes caresses se font plus précises. Regardant Gaëtan droit dans les yeux, j'humecte mon majeur et commence à masser sa rondelle, tout en le branlant de l'autre main. Les yeux fermés, geignant en rythme, tout à son plaisir, il me laisse le pénétrer de mes doigts et élargir le passage. Ma queue est raide comme jamais. Je vais le niquer bien profond et il va aimer ça !
Je m'allonge sur le dos, enfile une capote et lubrifie l'engin. Il vient se positionner sur moi. Je pointe mon gland sur sa rondelle, et à son rythme, en respirant fort, c'est lui qui vient s'empaler sur mon gourdin. " Bouge pas, me dit-il dans un soupir, laisse-moi faire. " Je ne demande pas mieux, d'autant qu'il se met à bouger au-dessus de moi, lentement, puis plus vite. Comme tout bon puceau du cul, il est étroit et ma teub est tellement comprimée que chacun de ses mouvements me donne un plaisir d'enfer : " ce qu'il est bon, ton cul... " " C'est ton morceau qui est incroyable ", me répond-il en accélérant le rythme.
D'un mouvement sûr et précis, je le renverse, sans déculer, et me retrouve sur lui, à le baiser à grands coups de reins. Il se met à gicler tout en gueulant. Et on peut dire qu'il a une sacrée quantité de yop ! Je décule, arrache la capote et en quelques mouvements, l'arrose à mon tour. Entre sa production et la mienne, il dégouline de partout ! Je tombe à ses côtés et de la main, étale tout ça sur son cou, son torse, sa queue. Je l'embrasse tout en tendresse. Il murmure : " Et ben, si je m'attendais à ça... "
C'est quelques minutes après, alors qu'il est sous la douche, qu'on frappe à ma porte. J'ouvre. Hugo et Mehdi ! Apparemment mon joli maître-nageur a convaincu son collègue que l'expérience valait d'être tentée. Je passe une tête dans la salle de bain et m'adresse à Gaëtan : " Hugo et Mehdi... Une partie à quatre, ça te tente ? " Il ouvre de grands yeux, mais répond : " après tout, pourquoi pas. Tant qu'à y aller, autant y aller à fond !
Et c'est ainsi que nous nous sommes retrouvés tous les quatre sur mon pieu, à essayer toutes les combinaisons. Le lever du jour nous verra épuisés. J'aurai baisé les trois pendant la nuit. Ç'aura aussi été la première fois que Medhi se sera fait prendre.
XXL
