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HISTOIRE

Le Jardinier Abyssin

Asseffa m'avait été recommandé par Bernard, son professeur, un collègue, enseignant au lycée public éthiopien de Kouloubi où il tentait d'apprendre le français aux descendants de la Reine de Saba. Nommé à un poste de coopérant de la même localité, je recherchais quelqu'un qui pût prendre soin du ménage de mon bungalow, et s'occuper de mon jardinet que j'avais trouvé à l'abandon en prenant la location. Asseffa, étudiant de famille modeste, avait précisément besoin de ce genre de travail, pour assurer sa nourriture et son entretien.

C'est ainsi que je vis débarquer un grand gaillard athlétique, auquel un état civil incertain attribuait dix-huit ans, mais qui aurait pu aussi bien en avoir un ou deux de plus. Il appartenait à l'ethnie Amhara, alors politiquement dominante et qui, aux yeux des Somalis, Afars et Issas peuplant majoritairement cette partie de l'Éthiopie, symbolisait la puissance occupante dirigée depuis Addis Abeba.

Asseffa était un splendide garçon à la peau café au lait, aux larges épaules, aux bras robustes et musclés. Un léger défaut de l'oeil gauche, séquelle d'une maladie contractée pendant l'enfance, rendait fascinant son regard aux grands yeux noisette frangés de cils épais et soyeux. Comme tous les Amharas, il avait un nez fin et délicat, et les lèvres fines des ancêtres arabes de son peuple. Son short d'uniforme scolaire bleu foncé, qu'il avait sans doute spécialement lavé et repassé pour se présenter à moi, était impeccable, mais un tantinet trop juste (ça grandit encore, à cet âge-là !), ce qui mettait en valeur ses fesses hautes et rondes, et marquait la bosse de son entrejambe. La chemisette bleu ciel s'entrouvrait sur une poitrine digne d'un culturiste.

En le voyant s'affairer à travailler la terre rougeâtre de mon jardin en friche, où je m'étais mis en tête de faire pousser des fraises, des légumes et quelques fleurs, je me dis que mon copain Bernard m'avait fait une belle vacherie ! Non que le garçon ne s'acquittât correctement de sa tâche. Bien au contraire, la surface de terre retournée, nettoyée, s'accroissait rapidement tandis que grossissait le tas de racines et de mauvaises herbes, et mon logement n'avait jamais été aussi propre et bien rangé, ni mon linge aussi impeccable que depuis qu'il était à mon service. Mais à cet instant, le jeu sensuel de la lumière sur ses muscles luisants de sueur, la fascinante danse de ses gestes précis et puissants remuant la terre, faisaient monter en moi des désirs que trop de raisons m'empêchaient d'assouvir.

J'avais toujours fondé mes relations sexuelles sur le consentement total et libre de mes partenaires. En ce qui concerne les jeunes gens, je m'interdisais absolument de profiter, même involontairement, de l'ascendant que me pouvait me conférer ma position sociale, professionnelle ou autre. Or justement, ici, ma triple qualité d'Européen, de professeur - état encore respecté dans ce pays - et d'employeur du jeune homme me semblait de nature à fausser la sincérité d'une relation intime, en y faisant peser une suspicion d'abus d'autorité. Par souci d'honnêteté, envers lui et envers moi-même, je m'étais donc juré de ne rien tenter avec Asseffa qui ne résultât de son initiative, ou de son choix sans ambigüité. Et tout en souhaitant ardemment qu'une telle initiative se produisît, je priais d'avoir assez de force pour tenir ma promesse si elle ne se produisait pas...

Le village de ses parents était assez éloigné de la ville : il ne pouvait y rentrer qu'en fin de semaine. Il me demanda s'il pouvait loger au bout de la terrasse latérale du bungalow. J'étais un peu gêné de n'être pas capable de lui offrir un local plus confortable, mais cela était très fréquent dans ce pays, et il est vrai que, vu le climat particulièrement clément, la terrasse couverte, quoique non close, était sans doute plus agréable que l'intérieur de la maison dépourvue de climatisation. D'ailleurs, je ne disposais que d'un salon et d'une chambre à coucher, ce qui rendait hypothétique toute autre solution convenable.

Asseffa était extrêmement réservé et déférent à mon égard. C'était un garçon doux et silencieux, recherchant les occasions de faire plaisir, et se montrant heureux d'y parvenir. Si son français était des plus rudimentaires, son anglais était tout à fait correct. Je le forçais à parler ma langue, mais il s'acharnait à m'appeler " master ", ce dont je tirais plus de gêne que de fierté.

Je l'avais autorisé à utiliser ma salle de bain chaque fois qu'il en éprouverait le besoin. Il en fut très content, et ne manquait pas d'user quotidiennement de cette permission. Cela me mettait au supplice chaque fois qu'il traversait l'appartement, tenant serrée en pagne autour de ses reins une maigre serviette élimée qui s'ouvrait à chaque pas. Cohérent dans ma détermination de rester honnête avec lui, je lui fis donc cadeau d'un drap de bain que j'avais acheté à son intention au marché. Comme il sortait du cabinet de toilette, je lui tendis la grande serviette aux couleurs vives.
- Tiens, Asseffa, c'est pour toi.
- Pour moi ? Oh, merci Master...

Il regardait la belle serviette moelleuse d'un air incrédule, puis un grand sourire illumina son visage et il tendit les deux mains pour s'en saisir. Ce geste laissa tomber son pagne, révélant une nudité qui confirmait ce que suggéraient les renflements de son short. Confus sous mon regard goguenard, mais intéressé, il lâcha le drap de bain et se baissa pour agripper sa serviette, révélant ainsi maladroitement ce qu'il semblait vouloir cacher, tandis que, dans un grand éclat de rire, j'étalais sur son dos mon rutilant cadeau.. Il me sembla que ce fugitif contact l'avait troublé.

Quelques jours plus tard, prenant une douche pour chasser la transpiration d'une courte sieste, je fus pris, en me savonnant longuement, de l'envie de me masturber. Je commençai à me caresser, et m'aperçus que j'avais omis de fermer la porte. Croyant être seul dans la maison, je continuai sans souci mon exercice solitaire lorsque j'aperçus, sur le sol, se dessiner l'ombre immobile d'Asseffa, tapi dans le salon et regardant dans ma direction. Excité par l'idée d'être vu dans cette situation, je terminai le travail entrepris en feignant de ne m'être aperçu de rien, sans manquer de laisser échapper quelques gémissements de plaisir au moment ultime de l'orgasme.

Tous les jours suivants, je pris bien soin de laisser la porte ouverte pour ma douche érotique de l'après-midi. Mon aide domestique était fidèle au poste, et cette présence clandestine augmentait mon plaisir.

La saison humide arriva. Avec une régularité d'horloge, une pluie torrentielle, tiède et puissante, se déclenchait chaque jour de quatorze heures à quatorze heures trente. Les rues de la ville s'inondaient, puis s'asséchaient rapidement grâce aux énormes fossés d'évacuation qui longeaient les voies urbaines. Un jour, pourtant, cette belle exactitude des éléments se dérégla : la tempête violente soufflait par intermittence, bien au-delà des horaires auxquels elle nous avait accoutumés. Toute la journée, des orages violents éclatèrent, et se prolongèrent après la nuit tombée. Je m'endormis pourtant, nu sur mon lit comme d'habitude, malgré la fraîcheur inattendue apportée par ces intempéries. Au milieu de la nuit, je fus réveillé par de violents coups de tonnerre. Le vent se déchaînait, et les trombes d'eau fouettaient les vitres et les toits de la maison. Je pensai aussitôt à Asseffa, sur sa terrasse ouverte... Sans vêtement sur la peau, je me précipitai vers le coin du garçon. A la lumière aveuglante des éclairs répétés, je le découvris blotti contre le mur de la maison, enveloppé dans son foutah, sorte de drap dont je l'avais souvent vu s'entortiller pour dormir, trempé, transi, et paraissant terrorisé.
- Asseffa ! Mais ne reste pas là ! Entre vite dans la maison !
Tremblant de peur, claquant des dents, il ne pouvait parler. Je le pris par les épaules et l'entraînai dans le bungalow, navré de le voir dans cet état.

Dans la salle de bain, je le débarrassai du foutah mouillé, sous lequel il était nu. Je le bouchonnai vigoureusement avec des serviettes sèches, tout en lui prodiguant des paroles de réconfort. Je me sentais d'une tendresse maternelle envers lui, et ne pus me retenir de le serrer entre mes bras, et de l'embrasser pour calmer son angoisse. Puis je l'installai dans un fauteuil du salon, enveloppé dans une couverture, pendant que je préparais un thé bouillant. Il continuait à avoir, par moment, un tremblement de froid ou d'émotion.

Il reprit pourtant peu à peu son sang froid, et me sourit avec reconnaissance.
- Merci, Master, de vous occuper de moi comme ça...
- Ce n'est rien, Asseffa. C'est normal. Mais tu ne peux pas retourner sur ta terrasse. C'est trempé. Tu vas dormir avec moi...
- Mais, Master, dit-il en jetant un regard sur ma nudité, je n'ai...
- Quoi ? Tu as peur de dormir avec moi ? dis-je en riant. Je ne vais pas te manger, tu sais...
- Oui, je sais, Master, répondit-il en souriant aussi. Mais je n'ai pas de pyjama... et toutes mes affaires sont mouillées.
- Ne t'inquiète pas, mon vieux... Tu vois, moi non plus je n'en ai pas ! dis-je en écartant les bras. Si tu crains d'avoir froid, je te réchaufferai...
Il répondit à mon clin d'oeil par un regard troublé, puis acquiesça :
- Oui, Master.

J'étais ému, moi aussi et c'est dans un silence plein d'arrière-pensées que nous nous couchâmes. Nous nous glissâmes sous un simple drap, nus comme des vers, face à face. Je pris son visage entre mes mains et l'embrassai sur les deux joues.
- Bonne nuit, Asseffa.

Sans répondre, il entoura à son tour ma tête de ses mains, et appliqua ses lèvres sur les miennes. Je ne résistai pas lorsqu'il entreprit d'ouvrir ma bouche, et laissai sa langue l'envahir et chercher la mienne. En accentuant son baiser, il rapprocha son corps du mien. Sa poitrine frôla mon torse, enflammant la pointe de mes seins. J'étendis bien mes jambes pour que les siennes puissent s'y appliquer et les croiser. Je sentis sa bite raide, chaude, gonflée se coller à mon ventre, à côté de la mienne, s'y frotter, y imprimer un lent et puissant va-et-vient. Sa main, cependant, caressait mon dos, mes fesses. J'écartai mes cuisses pour que ses doigts puissent vagabonder le long de ma raie, reconnaître ma pastille sensible, bientôt offerte, porte étroite vers notre plaisir.

Mon corps était au comble de l'excitation. Pour mieux profiter de ce moment intense, j'allumai la lampe de chevet afin de voir nos deux corps se donnant du plaisir. Le contraste de sa peau dorée et de ma peau blanche accroissait mon émoi. Je passai sur lui, assis sur ses cuisses, tripotant ensemble nos deux bites bandées comme des pieux. Le membre d'Asseffa était de belle taille.

- Ta queue est plus grosse que la mienne, dis-je en plaçant nos deux verges l'une contre l'autre. Il sourit en constatant que la sienne dominait de deux bons centimètres, et que son diamètre était sensiblement supérieur. J'eus soudain envie de me faire pénétrer par cette tige, dont le méat brillait d'un filet de liquide précurseur. Mais d'abord, je l'engloutis dans ma bouche, manquant de m'étouffer pour amener mes lèvres en contact avec son pubis, couvert de rares bouquets de poils crépus. Asseffa gémit comme mes lèvres serrées glissaient en cadence sur sa hampe brillante.
- Baise-moi, Asseffa, je veux que tu m'encules. Je veux sentir ta queue au fond de mon cul.
- Oui, James, je vais te prendre. Moi aussi j'ai envie de jouir en toi.

Il m'avait appelé James ! Ce simple fait confirmait à mes yeux qu'il se considérait lui-même comme mon amant, et que mes scrupules n'avaient plus lieu d'être ! Je roulai sur le dos, à côté de lui, et calai l'oreiller sous mes reins, pour rehausser mes fesses. Puis, cuisses écartées, je l'attirai entre mes jambes.
- Prends le tube, dans le tiroir, dis-je en montrant la table de chevet.
J'étalai le gel autour de mon trou poilu, et commençai à y introduire mon doigt enduit sous les yeux surpris du garçon. Puis, comprenant ce que je faisais, il se saisit du tube, étala du gel sur son majeur, et l'enfonça profondément dans mon anus.
- Oui, Asseffa, c'est bon ! continue... Rajoutes-en...

Il ajouta du lubrifiant, introduisit deux, puis trois doigts dans mon trou, en imprimant un mouvement circulaire. Mon cul devenait torride, et je gémissais continûment. Le moment était venu.
- Viens, maintenant, Asseffa ! Enfile-moi. Graisse-toi le noeud, et encule-moi !

Il poussa son gland contre ma rosette en feu et l'introduisit doucement. La douleur du passage se transforma bientôt en ondes de plaisir. Il enfonça très lentement toute la longueur du membre.
- Allez ! maintenant, lime, mon grand, baise-moi !

Les premiers mouvements furent de courte amplitude. Sous mes encouragements, il accéléra la cadence en amplifiant la course. Ce furent bientôt vingt centimètres d'une bite d'acier qui allaient et venaient entre mes fesses comme un piston.
- Pousse ! Pousse à fond ! C'est bon !
Les chevilles posées sur ses épaules, les pieds enserrant sa tête, j'attirais en cadence, des deux mains, son buste vers moi. Il grognait et gémissait. Son ventre claquait mes fesses et mes cuisses. Au paroxysme de l'excitation, je saisis ma bite à pleine main et me branlai frénétiquement.

- Je sens que ça vient, chéri ! Je vais jouir ! Je vais juter !
- Moi aussi, James, je vais couler !

Il partit juste avant moi. J'eus conscience de quelques jets puissants et convulsifs dans mon tréfonds, juste avant que mes giclées chaudes partissent à leur tour sur mon ventre et ma poitrine, et jusqu'à mon menton. Quatre ou cinq traits épais qui introduisaient un état de béatitude et de relâchement. Je serrai mes jambes autour de sa taille pour qu'il reste encore en moi. Il s'allongea sur mon torse, se frottant doucement sur mon sperme étalé. Puis, appliquant sa bouche tout autour de la mienne, il me roula une pelle phénoménale, lascive longue et profonde. J'aurais voulu que cet instant ne finisse jamais.

Quelques semaines plus tard, par la magie conjuguée du climat et de la main verte de mon jardinier abyssin, mon lopin commençait à se couvrir de fleurs et de pousses de légumes prometteuses.

- Eh bien, me dit Bernard venu me rendre visite. Ton jardinier est une vrai perle !
- C'est vrai, répondis-je radieux. C'est même un fameux planteur !

Jako

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