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HISTOIRE

Sacrée reprise après 7 mois d'abstinence

Coucou, me re-voilou !
Absent depuis le mois de février, des suites à un accident de scooter dû à l'inconscience d'un pur abruti, qui a grillé un stop et m'a envoyé au tapis.
Résulta : 4 côtes cassées, bassin déplacé, déchirement lombaire, et surtout un vilain coup aux rachis.
Entre l'hospitalisation, les rééducations, la consolidation, je ne m'étais pas fait baiser depuis 7 mois.
En même temps les médocs, m'ont complètement annihilé la libido.
J'y pensais même plus, plus d'envie, et surtout confronté à des problèmes d'érection.
Cà encore cela peut passer étant un réel passif, vrai jouisseur anal.
Le plus chiant, c'est que si tout est bien remis en place maintenant, il me reste un problème d'équilibre, et, ne peux me déplacer qu'avec une canne, le temps que cela durera, mais quand même, cela étant le résultat du problème de rachis.
Bref, déjà compliqué à 60 ans (même si encore consommable) 185 x 89 à condition de jouer dans sa catégorie et cour, il est déjà difficile de trouver un ou des partenaires de jeux.
Fataliste, je m'étais fait une raison, jusqu'à il y a 4 jours
Toujours pas envie de m'envoyer en, l'air, j'ai décidé, sans grands espoirs, de me reconnecter sur des sites branchés.
Mardi dernier donc j'étais en chasse sur l'un d'eux, déjà pour discuter, et puis voir, au cas où !
Au bout d'une paire d'heures à tchatter avec divers individus de ma région, qui fuyaient, dès que par mon honnêteté, je faisais part dans ma description et handicap actuel.
Même si la position verticale est compliquée pour moi, celle de l'horizontale est loin d'être affectée.
Toujours est " il qu'un mec me prend en dial, il a l'air sympa, 60 ans comme moi, ex officier des forces publiques,
Il écoute, prend note de ma description, et problématique, et contre toute attente me dit que ce n'est pas un problème pour lui.
Il connait ça, pour y être aussi passé, des suites à un accident de voiture
Présentation : il s'appelle Al (diminutif d'Alain), 1m90 x pour 95 kgs, cheveux ras et rares, moyennement poilu.
Depuis sa retraite il y a 2 ans Il habite la côte Sud des landes, comme moi et est à une trentaine de kilomètres de chez moi.
Ma fiche l'a interpelé.
Bla bla, échange photos, effectivement belle plante, un beau mâle bien balaise, pas une gueule de top-model,
mais une gueule de mec très, très mec, un peu marquée par le temps, plutôt mate de peau.
J'apprends qu'il est arrivé aux hommes tardivement, voilà a peine 5 ans.
Les photos qu'il m'envoie sont relativement soft, on le voit au mieux en short sur le pont d'un petit bateau.
Les photos que je lui envoie, sont récentes, dont 2 on va dire plus déshabillées.
Il flashe, on échange nos tél, et nous, nous appelons demi-heure après avoir bien bataillé en ligne au moins une heure.
Sa voix est rauque, profonde basse et très masculine, avec un léger accent que j'ai du mal à définir.
J'ai su par la suite qu'il était d'origine alsacienne.
Après 2 minutes de civilité et formalités verbales, il rentre carrément dans le vif du sujet (au moins il sait ce qu'il veut), et moi j'aime ça.
À priori, mes réponses et propos lui conviennent également.
Il me dit : ok si on n'essaie pas on ne saura pas, alors si tu veux, tu viens on se voit si ça colle on y va, on n'est pas des gamins, si ça le fait tant mieux au pire si, si çà le fait pas, on aura fait connaissance et passé un bon moment autour d'un verre.
Moi, tout ça me va, d'autant que cette discussion a réveillé en moi une idée, et des désirs, qui m'échappaient ces derniers temps.
J'en suis agréablement surpris, m'en affranchie prés de lui, en lui précisant également que les doutes m'assaillent quant à l'issue espérée, n'ayant pas la certitude des mes possibilités 7 mois après ma dernière fois et surtout, mon problème d'érection.
Il est clair dans ses propos, il se fout de ce problème-là, il est uniquement actif, et si ma propension à jouir du cul me suffit il est partant.
Tout çà me convient, on, prend rendez-vous sur la place de l'église de son village pour Jeudi 15H00.
Je suis pile poil à l'heure au rendez-vous, il est là à bord d'une Méhari.
Il est comme décrit, et je constate que ses photos étaient bien réelles et récentes.
On va boire un verre en terrasse d'un bistrot proche, on discute un peu,
Il me dit : écoute, moi je suis ok, on ne perd pas notre temps en bla bla, on s'est déjà quasiment tout dit en tchat et au tél, si pour toi c'est ok tu me suis, on va chez moi à 5 kms d'ici.
Le comportement, la sérénité, les certitudes et l'autorité de ce mec, me font basculer.
Arrivé chez lui (jolie ferme rénovée au milieu d'une forêt de pins)
Il m'avoue ne pas avoir baisé depuis presque 3 mois, parce qu'ici c'est un petit bled, que tout le monde se connait et épi tout le monde et, que c'est compliqué.
Que sa dernière fois il est allé jusqu'à Bordeaux pour un plan, qui s'est avéré être un plan foireux avec un mec plus jeune, mais minable, s'être tapé près de 300 bornes aller-retour pour se faire gravement chier.
D'autant qu'il cherche des mecs passés la cinquantaine, hors secteur, bref pas si simple côté discrétion.
Il me demande si je suis pressé, je lui que non.
Il décide (çà j'aime) et commence a se déshabiller m'invite à en faire autant, je m'exécute cela va vite pour les 2 vu qu'un short un polo et une paire d'espadrille c'est vite expédié.
J'ai l'impression d'être un gamin, confus et excité à la fois, je suis portant pas un puceau, ni un coincé du cul, mais le désir l'emporte.
Me voilà dans son salon à poil devant lui et lui devant moi.
Je découvre le reste de son anatomie intime jusqu'alors cachée par son short.
Une belle queue pendante, de bon augure au repos, avec une belle paire de couilles bien suspendue, qui semblent pleines le tout relativement poilu tondu court grisonnant.
Il me regarde, et me dit : joli corps, joli cul, je vais te bouffer tout cru, et bien m'occuper de toi, tu te laisses faire, t'as juste à obéir et suivre OK ?
Moi OK promis c'est toi le chef.
Franchement ça me va, je ne savais pas par où commencer.
Lui : approche et occupe-toi d'elle
Alors je prends sa queue entre les mains, la pèse, elle est lourde, on est debout face à face, je le caresse, apparemment l'effet est immédiat, je sens son membre grossir, s'amplifier, et passer de molle à demi dure.

Il me fait m'assoir sur le canapé, me met sa queue sous le nez, l'invitation est claire, j'y réponds avec enthousiasme, et prends cette queue de plus en plus dure entre les lèvres, d'abord je lui suce le gland après l'avoir décalotté, en avale 3 ou 4 centimètres, le résultat ne se fait pas attendre, il présente maintenant une superbe queue bien dure d'au moins 20 centimètres avec une très belle épaisseur, d'au moins 5 centimètres, surmontés d'un gland plus épais bien marqué et violacé.

Je lui titille le gland du bout de la langue, tourne autour, lui lèche la queue de bas en haut et inversement, sa queue est tendue à l'extrême, alors d'un coup je l'engouffre en l'amenant au plus profond que je peux.
Je ne sais pas ce qui me prend, c'est vrai que j'aime sucer, mais là, j'ai une furieuse envie de cette belle queue, de donner du plaisir à cet inconnu, alors je m'applique.
Il en geint de plaisir, il s'exprime, dit que ça, c'est de la pipe d'enfer, qu'il aime, que je suce bien, qu'il est aux anges.
Puis il retire sa queue de ma bouche en disant : arrête je vais te jouir dans la bouche, mais je le retiens et l'engouffre de nouveau et le pompe en aspirant sa queue à chaque remontée.

Le manège ne dure pas très longtemps, du coup il a compris ou je voulais en venir, je sens d'un coup ses reins se tendre ses fesses que je tiens se serrer, de ses mains il me tient le tète, alors je sens sa queue gonfler et il se lâche par saccades puissantes dans ma bouche, retire sa queue pendant son éjaculation et fini en m'arrosant le visage, le cou et le haut de la poitrine dans un beuglement d'animal en rut.
Moi je recrache tout ce que je n'ai pas avalé, en effet il avait les couilles bien pleines.
Il prend sa queue en main, me biffe la gueule avec 4 ou 5 fois, puis s'écroule assis sur le canapé à mes côtés.
Il reste silencieux à reprendre son souffle, la tête renvoyée en arrière.
Il reprend ses esprits, me regarde et dit :
Alors ça c'est une pipe d'enfer, c'est malin, maintenant va falloir attendre un peu que je recharge les batteries, parce que tu ne vas pas te barrer là-dessus, j'ai bien l'intention de te baiser et de t'éclater le fion.
Si tu te laisses baiser comme tu suces ça va être quelque chose.
Moi : je te l'ai dit je ne suis pas pressé.
Lui : alors tant mieux, tu sais quoi, on va se boire un verre derrière et on va se faire un plouf dans la piscine.
En plus il a une piscine....
Il me dirige vers la salle d'eau, il faut que je me rince, j'ai son foutre partout jusque dans le cheveu.

Puis on va sur l'arrière de la maison, plutôt sympa faut l'avouer, un bar extérieur une piscine pas olympique, mais dans les 7x4 quand même.
Il nous sert un Mojito, il faut savoir qu'en principe je ne bois pas d'alcool ou alors très peu, je suis plutôt bon vins et champagne..
L'alcool à un effet bizarre sur mon comportement, soit je dors, soit je ne me retiens pas, et fais n'importe quoi.
En tout cas, séance farniente, sur les transats, au soleil, d'ailleurs ça commence à bien cogner.

Mine de rien il est déjà 17 h.
Je gamberge à la situation et cette pipe que je viens de lui infliger, j'y ai apparemment pris beaucoup de plaisir, pas que la pipe par elle-même, mais la situation et la satisfaction du devoir accompli parce qu'il a apparemment aimé çà aussi.
On en parle, à bâtons rompus.
Puis plouf, l'eau est bonne et fait du bien, il approche de moi, m colle, m caresse, m'embrasse, puis explore mon corps de se mains, il teste mes créations, cherche à comprendre comment je fonctionne.
Ses, mais sont partout, il vient me caresser les tétons, il voit ma réaction quand je me tend, il insiste, les suce, les mordilles, les pince, le tortille, et les triture doucement, et parfois les pince violemment, il voit que j'aime, ça et en abuse.
Toujours est " il que ce traitement déclenche chez moi des soupirs, des feulements et surtout un début d'érection, ho pas un truc énorme, mais une bonne demi-molle, ce qui ne m'était pas arrivé depuis belle lurette.
Je m'en étais inquiété auprès de mon toubib, qui m'avait dit, ça reviendra un jour sans prévenir tout dépendra de la situation présente et du partenaire (ha oui il sait que je suis branché cul avec les mecs)
On ressort, re-bronzette, on s'endort même sur le transat.
Des mains me caressant les cuisses et le cul me réveillent, il est presque 20 h.
Il dit : toi je sais pas, mais moi j'ai faim, on se mange un truc,
Moi : Oui. J'ai faim aussi.
Alors il disparait 15 minutes revient avec un plateau du pain du foie gras, diverses charcutailles, du rosé
On s'attable et on reprend des forces.

Je le regarde manger, il me demande si ça va,
Moi : oui je te regarde prendre des forces parce que l'a, j'ai vraiment envie de ramasser.
Lui : no souci, en plus avec la purge que tu m'as faite, j vais tenir la distance plus longtemps, je vais te faire fumer l'arrière train.
Moi : je n'en demande pas temps, mais bien me faire remplir et jouir là, oui.
Lui : On prend notre temps c'est jouissif pour moi d'échafauder ce que je vais te mettre et comment, en sachant que si tu tiens ta parole t'auras que ta gueule à fermer et obéir.
Rien que l'idée j'en ai des aiguilles qui me montent dans les reins.
Ce mec est patient, ceci étant, il a eu un acompte sérieux qui ne le met pas en urgence, il est conscient de ma situation de demandeur, s'en amuse et abuse..
Bon, je montre des signes d'impatience,
Le message est passé, il m'invite dans sa chambre, il y a un écran plat, juste en face du lit, il enclenche une vidéo
La vidéo est explicite, 3 mecs murs sont à l'oeuvre, 2 actifs pas trop mal montés s'occupent d'un passif un peu rondouillard, il en a un dans le cul qui pousse fort et l'autre dans la bouche..
(un vrai rêve pour moi)

Effet instantané sur moi, bouffée de chaleur et démangeaisons postérieures.
Heu pas que sur moi, A, l aussi en a choper un magistral gourdin.
Je suis sur le dos il vient sur moi, me caresse, me retravaille les tétons (ça il a compris) me masturbe le sexe, se fait sucer 4 ou 5 fois pour la forme, puis d'un coup, me retourne me met à plat ventre, me soulève pour me mettre à genoux, m'écarte les fesses et vient me bouffer le cul, il insiste sa langue après avoir tourné autour du pot si je puis dire, darde et se fait pénétrante.
J'ai droit au classique, salive, un doigt, puis deux.
Il me dit bouge pas je vais chercher du gel, j'attends le cul en l'air.
Il revient, je vais t'ouvrir d'abord, et je vais t'enculer fermement après.
Au point où j'en suis, il peut bien faire ce qu'il veut, moi je veux sentir mon ventre s'ouvrir et se faire envahir par son pieu dur, qu'il enfoncera en force sans modération.
Lui : Bouge pas, je sens un truc froid se poser sur mon trou je tourne la tète, il a en main un plug genre à anneaux d'environ 18 cms avec une échelle de valeurs des protubérances de 2 cms à au moins 5.
Un autre est posé sur le lit, celui-là plus court, mais lisse très évasé qui finit par au moins 6 ou 7 cms d'épais.

Il me dit : c'est juste pour t'ouvrir, après je vais te mettre sérieux.
Il manipule le 1er accompagné de gel, l'introduit, et pousse les 3 1ère épaisseurs passent sans souci, ça accroche un peu pour le 2 autres plus épaisses.
Je couine, souffle, mais en redemande,
Qu'à cela ne tienne, il présente le 2e, ça rentre plus facilement, mais arrivé à un moment, vers les 2 tiers, j'ai quand même du mal à encaisser la partie la plus large.
Mais il est opiniâtre, remet du gel, me caresse, me travaille les tétons de nouveau, me colle une fessée d'enfer, moi je commence à partir en vrille.
Au bout d'un moment je sens mon anus se refermer sur la partie passée la largeur la plus extrême, il a ressui à tout y mettre.
La sensation est curieuse,

Je rigole moins quand il essaie de le retirer, mais ça sort,
Il ne traine pas, jette le plug sur le lit, vient se positionner derrière moi, pose son gland sur mon trou, et pousse d'un coup, j'en prends bien 5 ou 6 cms d'un coup, je gueule, il s'arrête, j'ai mal, mais envie de plus en même temps,
Je lui dis bon allez putain fini ce que t'as commencé,
Alors il exécute, et s'enfonce en moi d'un seul coup, lent ininterrompu jusqu'à la garde tout en puissance et épaisseur.
Une fois aux taquets, il fait une pose d e 5 à 6 secondes, puis il entreprend de me limer, d'abord doucement, puis il ressort, pour mieux me réenfiler, il y va de toute sa longueur, je me suis adapté, j'encaisse, là aussi il a compris, il passe à la vitesse supérieure, il accélère et me bourre le cul (y a pas d'autre mot)
Moi/,je suis ailleurs, en transe, je n'ai d'idées que pour mon ventre écartelé, l'onde de plaisir qui descend d'un coup dans mes reins me submerge, je lui dit qu'il me dose plus fort encore, alors ilt en donne plus plus vite plus fort, son pubis claque sur mes fesses, j'ai l'impression d'être empalé..

Je vais jouir du cul je le sens ça vient je le dis, je le gueule,
Lu aussi vient il le dit aussi en me traitant au passage de la pire des salopes qui l'a baisé jusqu'à aujourd'hui.
Et puis ça explose dans mon ventre,et ma tête, même ma queue pourtant pas dure éjacule en même temps, lui se cramponne et se plante au fond de moi dans un râle bestial et tout en me tenant coller à lui balance sa deuxième dose de jus.
Je crois que j'ai eu une micro absence comme un blanc, je suis en nage épuisé.
Il se retire, je me laisse aller sur le côté en chien de fusil, je secoué de spasmes violents
Il me regarde jouir, du ventre.
1 quart d'heure après, on a récupéré les deux, je suis apaisé, les jambes flageolantes et tremblantes, mais apaisé.
Lui, c'est remis plus vite que moi apparemment,
Il m'embrasse dans le cou, la nuque, le dos et dit:
on va aller faire tremper tout ça dans la piscine histoire de nous rafraîchir,
Certes, mais mes problèmes équilibre, plus ce que je vent de prendre, m'interdisent de déambuler seul.

Alors il me soulève, m'épaule et m'accompagne jusqu'à la piscine ou je me laisse aller avec délectation.
Il est minuit.
Il me dit pas question que tu repartes dans cet état, tu dors ici dans la chambre d'amis, fait trop chaud pour être a 2 dans le même lit et en plus je ronfle comme un sonneur.
On finit par aller se coucher, je suis tombé comme une merde.
Je me suis réveillé à 8h30 avec quand même un peu mal au cul, lui est déjà debout, il a préparé le petit déjeuner prés de la piscine il est en sortie de bain et moi j'ai juste mon polo sur les épaules, qui me descend au raz du cul.
On déjeune sans commentaire, ils sont superflus
Il plonge dans la piscine, j("en fait autant, quelques largeurs, puis il vient se coller à moi, impossible d'ignorer l'état dans lequel il est, il arbore une putain de trique d'enfer, je me dis ce n'est pas possible, il ne va pas remettre ça.
Et bien si, je suis parti de chez lui à 10h00.
J'ai passé le reste de ma journée à dormir ou somnoler dans mon canapé.
Al, m'a appelé vers 21h00 pour prendre des nouvelles, me remercier pour la journée et matinée passée avec lui, en me disant qu'il avait rarement baisé comme ça, et que c'était quand je voulais..

Il en a même profité pour m'inviter à une sortie en mer dimanche, juste lui et moi avec ancrage dans une petite crique discrète qu'il connait.
Ce mec m'intrigue, outre le fait que cela soit un bon coup et un bon baiseur, le mélange de sa personnalité, à la fois courtoise et bien élevée, à laquelle se mélange son côté animal parfois vulgaire, autoritaire, parfois bestial, un poil déjanté, et attentionné, font que j'ai accepté son invitation à la "promenade" en mer..
Pour un retour aux plaisirs entre hommes, je crois que je ne pouvais pas rêver mieux.
Peut-être l'objet de la prochaine histoire.
En tout cas si vos avez des commentaires à faire, ne vous gênez pas.

James

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