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HISTOIRE

J'étais bourré

Chapitre -01

Je m'extrais d'un sommeil douloureux, un malade cogne avec frénésie sur les parois internes de mon crâne. Je crispe les paupières et la mâchoire. J'ai trop picolé la veille.

Nu, sur le ventre, ma tête sur le côté calée dans l'oreiller moelleux, je devine un drap léger sur mon corps. Bon, je suis dans mon lit. Putain, comment je suis rentré ? Souvenir : néant, un trou noir à la place, éclairé par des flash-back incompréhensibles. Tenter de me rappeler accentue la cruauté du bourreau qui a élu domicile dans mon cerveau. Je suis en train de payer ma cuite.

Julie doit faire la tronche. La vache, je ne me souviens vraiment de rien. Inutile d'insister, ma soirée me reviendra plus tard.

Quelle heure est-il ? Julie doit avoir des trucs contre la migraine, elle a toujours mal à la tête. Je vais me lever. Quelque chose a frôlé mon mollet. Julie ? J'ouvre les yeux. Merde, c'est pas ma chambre ! D'une large baie, la lumière du jour entre tamisée par un voilage éclairant un mur clair décoré de photo de beaux gosses en noir et blanc. Bordel ! Je suis où ? Merde, je ne suis pas seul. Une respiration régulière et profonde murmure près de moi. C'est qui ? J'ai pêché une fille ! Aïe. J'ai trompé Julie. Merde.

Un mouvement plus fort dans le lit et une jambe s'abattant lourdement en travers de mes mollets me terrorisent. Putain ! C'est quoi ? Je tourne la tête sans la lever par crainte de la migraine et découvre une masse à côté de moi. J'ai un hoquet et enfonce mon visage dans l'oreiller. Je ne suis pas encore réveillé ! Faites que je ne sois pas encore réveillé ! La respiration calme et proche me confirme que je suis conscient et mon corps m'envoie des signaux indiquant ma présence dans la réalité. Je me risque à regarder.

La masse de chair ressemble à un mec ! Merde ! Qu'est-ce que je fous dans le lit de ce type ? Je ne le connais pas ! Pas de panique ! Je souffle pour me calmer. Je n'ose pas bouger de peur d'éveiller l'homme endormi. Ce dernier tourné vers moi semble paisible. Malgré sa barbe, il a un air presque enfantin souligné par sa bouche légèrement ouverte et son bras replié sous la tête.
Je ne me rappelle de rien, punaise, de rien, de rien. J'espère que je n'ai pas baisé avec. Bordel, faites que non ! Je ne suis pas de ce bord-là. Ce n'est pas possible. Et puis il n'a pas l'air homo, il est plutôt viril. De toute façon, je m'en tape, je vais me barrer.

J'ai super envie de pisser et mal partout surtout en bas du dos et aux cuisses. Comme des courbatures. J'ai fait le con ! C'est la faute de Julie ! Hier soir, ma petite amie m'a pris la tête pour des conneries, je me suis cassé de chez nous pour aller boire avec mes potes et j'ai finis dans le lit d'un inconnu.

Sur le ventre, accroché à l'oreiller, je m'ankylose, une envie de changer de position et de quitter les lieux me torture. Ma vessie va exploser. Tant pis, j'en peux plus ! Je commence en douceur une manoeuvre de retournement guettant le moindre signe de réveil sur le visage du type qui ronfle doucement. Le mouvement de mon buste ne provoque aucun désastre sinon le drap qui dévoilent le torse musclé et tatoué du dormeur. La vache ! La peur revient me hanter, mon coeur bat plus vite. Je ne boirai plus jamais, finis l'alcool et l'herbe, finis.
J'entame la partie la plus délicate de la sortie du lit. Libérer mes jambes prisonnières de celle inerte et pesante du mec. C'est une bête. L'opération rate. Malgré mes précautions, je le réveille. Il me dévisage l'air ahuri et semble, lui aussi, surpris de me découvrir dans son lit. Coucou ! J'esquisse un sourire histoire de.

Une vilaine grimace déforme les traits du mec qui jaillit repoussant le drap. Titubations jusqu'à une porte qu'il coulisse pour s'engouffrer dans une salle de bain. Nu et frissonnant, je me recroqueville, mort de trouille. Merde, lève-toi, ne reste pas là ! Je suis pris d'un vertige qui m'immobilise. Tout doux ! Un bruit d'eau. Je glisse mes jambes en dehors du lit et pose enfin les pieds à plat sur une moquette douillette. Bravo, tu y es presque ! La migraine reprend du service et me contraint à me plier en deux, la tête entre les mains. Je m'oblige à respirer calmement afin de maîtriser la panique qui monte. Dans mon dos le mec se recouche. Je hasarde un oeil, il est en chien de fusil, un oreiller plaqué sur le visage, le reste du corps emmêlé dans le drap blanc. Il oscille légèrement, ce mouvement trahit sa douleur. Lui aussi à la gueule de bois il se replie encore plus sur lui-même et je crois entendre un gémissement étouffé. Il faut que je trouve mes habits ! Je n'aperçois nulle part dans la pièce mes effets portés la veille. D'abord pisser !

Je me lève lentement et esquisse quelques pas dans la chambre. Mon premier objectif, atteindre la salle de bain sans bruit, échoue, car je trébuche. Merde ! Je reste sur le qui-vive, mais il n'y a aucune réaction dans le lit derrière moi, sinon un grondement grave de douleur. Je continue. Le mec est en train de crever. Je referme la porte en silence et tâtonne à la recherche d'un interrupteur. La lumière crue de lampes LED m'arrache les yeux. Presque aveugle, je me dirige vers les toilettes et vide ma vessie avec un divin soulagement. Le liquide doré qui coule à flots dans la cuvette dégage un relent d'alcool. Je pisse de la vodka ! Ah, ça soulage ! Je secoue ma verge plus qu'au repos. Tu parles. Un bruit derrière moi. Deux grandes mains se plaquent sur mon torse et contre mes fesses quelque chose de chaud et dure pointe. Une bouffée de panique m'attaque. Gloups. Une barbe chatouille ma nuque puis un truc humide touche mon lobe d'oreille. Sa langue ? Re gloups.

- Tu viens ? murmure une voix rauque.
L'inconnu du lit se colle encore plus et donne un coup de reins qui me fait basculer en avant. Je pose mes mains sur la chasse d'eau. Il continue à se frotter. Non ! Pas ça !
- Lâchez-moi !
- Tu ne disais pas cela cette nuit...
- Je ne me rappelle pas ! Et d'abord c'est pas vrai !
Il me relâche et je me retourne en colère. Il rit les bras croisés sur son torse musclé légèrement velu. Il est plus grand que moi d'au moins quinze centimètres, et plus large, plus costaud, plus balaize... bref je ne peux pas lui rentrer dans le lard. Ce qui m'effraie le plus c'est sa queue de ouf qui se dresse sur son ventre. Un truc ! Ah ! Je ne me sens pas bien.
- Si c'est vrai, reprend-il.
- Je suis hétéro, je ne couche pas avec les mecs !
- Ben si. L'un n'empêche pas l'autre. Tu te réveilles à poil dans un lit avec un mec et...
- Ça m'arrive de pioncer avec mes potes ! Vous pouvez dire ce que vous voulez, je n'ai aucun souvenir.
- Ouais. Je ne suis pas certain. Je suis vexé, car je t'ai baisé comme un dieu et toi, tu ne t'en souviens pas.
- Non, vous mentez !
Et en plus c'est un frimeur. Il m'énerve. Il m'inquiète. Il bande vraiment.
- Crétin, suis-moi !
Il m'accroche par le bras et m'entraîne dans la chambre. Il me pousse sur le lit. Je gueule.
- Ça va pas !
Il ne me regarde pas et ramasse un truc tombé sur la moquette.
- Mate un peu, jeune hétéro ! Il exhibe deux capotes pleines et nouées. Tu m'as bien vidé !
Je suis figé sur le lit. Putain ! Il me fixe l'air narquois et me rejoint sur le lit. Il me caresse la cuisse. Je me ressaisis.
- Qui dit que c'est ton sperme là-dedans ! Hein ?
- On ne va pas appeler les experts de Miami ! Ton sperme je l'ai léché et il t'en reste sur le torse. Regarde.
Il pose son index sur mon téton. Je baisse les yeux. Des croûtes séchées s'étalent sur ma peau. Je frotte.
- C'est pas vrai, c'est pas vrai !
- Bon, tu es dans le déni complet.
- J'étais bourré ! hurlé-je. J'étais bourré ! J'étais bourré !
- Hey !
Je le frappe sur le torse et tambourine son corps. Il attrape mes poignets et m'immobilise.
- Calme-toi. Où est le problème ?
- Tu as abusé de moi quand j'étais dans un état de faiblesse.
- Tu n'étais pas aussi bourré que cela. Tu étais motivé, tu voulais essayer histoire de ne pas mourir idiot. Tu m'as confié que ta copine et toi c'était...
- Ne parle pas de ma copine ! Tu as profité !
- Tu m'agaces ! Bouge pas, je vais t'apporter la preuve !
- Pardon ?
Il ne répond pas, se lève et quitte la chambre. Je décide de l'imiter, mais il revient très vite en transportant un pc portable.
- Rassieds-toi ! m'ordonne-t-il.

Il est costaud et autoritaire. Comme un con, j'obéis. Je refoule ma colère et boude assis sur le lit. Je prends un oreiller pour cacher mes parties. Les siennes sont en forme. Ce n'est pas possible qu'il m'ait sodomisé avec ce truc ! Pitié. Les sensations de mon intimité me suggèrent que, oui peut-être, un gros engin a forcé le passage. Le pire c'est les flash-back. Non ! Je refoule ces souvenirs de merde. Ce n'est pas moi. J'étais bourré.

J'observe le mec. Il est impressionnant. Il a des muscles, en veux-tu, en voilà. Il est imberbe en haut, mais en bas sa toison taillée court forme un losange qui monte jusqu'au nombril. Il a un bras entièrement tatoué en trompe-l'oeil. On dirait des engrenages et des mécanismes. Avec sa barbe noire et ses cheveux presque ras sur les côtés, il ressemble à un bûcheron des villes croisé avec un steam-punk. Très recherché son style, il faut le reconnaître.
Je porte mon attention sur moi-même. La nature a été gentille avec moi, mais je peux aller me rhabiller. Mon corps lisse aux muscles fins et dessinés semble adolescent en comparaison de celui adulte et puissant du mec. J'ai l'air ridicule surtout au niveau de la bite. Je déploie un quinze centimètres que je sais utiliser, mais le type à côté de moi il impose au moins cinq centimètres de plus. Une grosse queue qu'il n'a certainement pas mise dans mon petit cul fragile. Il ment !
" J'ignore comment il s'appelle " tripote son ordi portable puis soudain, sur l'écran, s'affichent les icônes de photos et de vidéos.
- Pousse-toi au fond du lit ! On va au cinéma !

Son ton autoritaire ne souffre pas la désobéissance, je rampe donc et me cale contre les oreillers. Il fait pareil et appuie sur une télécommande posée sur le chevet. Les stores descendent jusqu'à la moitié des baies. L'écran du portable est plus visible. Je n'aime pas du tout ce que j'aperçois. Le type place son bras autour de mes épaules et me colle à lui. Je me tortille pour y échapper, mais il me maintient de force contre lui.
- Couché ! C'est comment ton prénom, déjà ?
- Qu'est-ce que ça peut te faire, comment je m'appelle !
- Nous sommes des êtres civilisés. Alors ?
- Benjamin.
- Mignon. Moi, c'est Andoni. Reste sage, maintenant. Regarde et écoute, Benjamin.

LePoulpe

Suite de l'histoire

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