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HISTOIRE

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- 01 Soirée hard

Cette histoire s'est déroulée quelques temps après ma tournante chez Jacques, soirée que j'ai raconté dans " Ma première tournante ". Fred l'un des participants m'avait dit qu'il me kiffait et qu'il me recontacterait. C'est ce qu'il a fait. Quelques semaines après la soirée, il m'a envoyé un mail. Inutile de vous dire combien je suis excité avant de l'ouvrir. Je l'ouvre et le message donne le ton de ce qu'il veut.

" Salut grosse pute, je ne pense qu'à ton cul et à ta bouche de suceuse. J'ai trop envie de te casser le cul. Viens chez moi un soir cette semaine. J'attends ta réponse chiennasse. Fred "

Je suis vraiment très excité mais, le ton m'inquiète un peu, je me souviens de sa prise sauvage dans la salle de bain lors de notre dernière entrevue. J'hésite, mais en même temps je suis tenté par son offre. Finalement j'aime être traité comme une pute, j'ai aimé sa brutalité dans cette salle de bain, le fait que je ne puisse pas me défendre et qu'il en profite lâchement pour me prendre à cru. Mais ce n'était qu'un avant-goût de ce dont il est capable et, j'allais le découvrir.

Je lui réponds que je peux me libérer vendredi soir, je prétexterai un repas avec les collègues de travail, ça arrive de temps en temps. A peine mon mail envoyé, que j'ai déjà un retour, il est très content de ma réponse. Je lui demande comment on fait, l'heure, l'endroit, et ...

" Super sale pute, tu vas bien dérouiller ! " puis suivent les détails. Je ne sais pas si j'ai bien fait, mais je n'aime pas poser de lapins et en plus je suis curieux de voir ce qu'il a derrière la tête.

Encore une semaine qui va être longue, les jours s'égrènent, enfin le vendredi arrive. La nuit a été agitée, il me tarde d'être à ce soir, le quotidien reprend le dessus, la routine du travail jusqu'à cette fin d'après-midi.

J'ai préparé mes affaires hier soir, elles sont dans ma voiture, la douche de ce matin pour supprimer les quelques poils récalcitrants, rasage de près du corps et du visage. La journée de travail est terminée, maintenant je vais me glisser dans la peau d'un autre, d'une autre. Je suis docteur Jekyll et Mister Hyde en même temps. Je sors du travail, je suis prêt et prends la route pour rejoindre Fred, je pense qu'il est tout aussi impatient que moi.

Il me faut un peu de temps pour sortir de Lyon, nous sommes vendredi soir, la circulation est dense, je dois me rendre dans la banlieue est de la ville, quelques kilomètres et environ 3/4 d'heures plus tard et me voilà arrivé. Il est 17h00, je ne suis à l'heure. Je repère son immeuble, une ancienne maison de village transformée en appartements. Là pas de soucis de stationnement, je me gare à quelques pas de son immeuble. Je descends de voiture, attrape mon sac dans le coffre, verrouille ma voiture, traverse la chaussée et redescends en direction de l'immeuble. Inutile de vous dire que j'ai le coeur qui bat la chamade, j'ai la gorge sèche. J'arrive devant la porte de l'immeuble, je regarde les noms sur l'interphone, il y a 4 locations, je trouve le sien, j'appuie.

Fred : " Oui ! "

Moi : " C'est moi ! " quelle banalité !

Fred : " Je t'ouvre "

Le grésillement de la gâche électrique se fait entendre, je pousse la porte et entre dans un couloir. A droite et à gauche, une porte puis au fond l'amorce de l'escalier menant à l'étage. J'avance dans le couloir en direction de l'escalier. Je passe devant une grille sous celui-ci, certainement l'accès à la cave. Je gravis les marches de l'escalier et me retrouve sur le palier de l'étage, une porte s'entre-ouvre, je m'avance. Elle s'ouvre plus largement, je vois Fred.

Il est en short, tongs et torse nu. Quelques poils sur la poitrine, qui descendent finement vers le nombril poursuivant leur descente vers le pubis j'imagine. Il est beau, je ne m'en souvenais pas. Il faut dire que la dernière fois, il m'a baisé en levrette dans le salon, m'a baisé de nouveau dans la salle de bain en me plaquant sur le lavabo. Difficile de voir son torse.

Fred : " Entre " sur un ton plutôt aimable, ce qui change de ses mails.

Il referme derrière moi. Je me retrouve dans l'entrée de son appartement ouvrant sur un grand salon.

Fred : " Tu as trouvé facilement ? "

Moi : " Oui, un peu de circulation c'est tout "

Fred : " Je vais te montrer où te changer " Il se dirige vers une porte sur sa gauche, l'ouvre et me dit :

" La salle de bain est là, je t'attends sur le canapé " qu'il me montre d'un signe de tête.

Moi : " Merci " et je m'engage dans la salle de bain.

Fred : " Fait vite, j'ai grave envie de toi "

Je ne dis rien et repousse la porte de la salle de bain. Elle n'est pas très grande, rangée avec goût, propre, je m'y sens bien. J'ai les jambes qui tremblent un peu, Fred me fait de l'effet, il m'intimide, en même temps il m'attire. C'est pour moi un parfait inconnu, je suis chez lui dans sa salle de bain et, dans quelques minutes je vais ressortir en femme, pour son plaisir, pour notre plaisir.

Je commence à me déshabiller, je fais au plus vite, j'ai hâte d'être prêt et de le retrouver. J'ai choisi des DIM UP noirs, un string dentelle, une jupe à ras les fesses, mes escarpins noirs que j'adore et qui me font de ces jambes... un soutien-gorge noir et un petit pull en laine très fin gris chiné. J'ai un peu de mal à mettre mes bas, mes mains trembles, même souci pour agrafer mon soutien-gorge, il me fait vraiment beaucoup d'effet. Enfin je suis habillé, au maquillage maintenant, fond teint, fard à paupières, dernière touche le mascara. Je me concentre pour ne pas en mettre de partout, voilà c'est fait. Je recule, me regarde dans la glace, je suis plutôt bandante ! Je range un peu mes affaires, ouvre la porte et sors de la salle de bain.

Il est sur le canapé, il me regarde ou plutôt il me détaille des pieds à la tête. Tout en se levant et s'approchant de moi, il me dit :

Fred : " Putain, t'es hyper canon. On va bien s'amuser ma grosse pute ! Tourne un peu que je vois la marchandise "

Il est arrivé à ma hauteur, je suis de dos, il est contre moi maintenant, il se frotte, je sens déjà l'envie qu'il a de moi. Elle se situe contre mes fesses et grossit à chaque frottement. Ses bras m'enlacent, ses mains me plotent les seins. Il me retourne, me plaque contre lui, ses mains me caressent les cuisses, vont sur mes fesses, il palpe. Je sens son odeur de mâle, je suis grave excité, et contre toute attente, je commence à bander. Il a senti mon érection, sa main droite vient vers ma verge, il la saisie, tire violemment dessus tout en la comprimant. Je pousse un cri de douleur mais il ne lâche pas.

Fred : " Tu es un bâtard de travelo, je t'interdit de bander, t'es une pute. Une pute ça pas de bite entre les cuisses, sauf celles de vrais mâle qui la baisent. Compris petite fiotte ? "

Moi : " Oui ! " Je lui réponds d'une voix pleine de douleur. Bien sûr que j'ai compris, il ne me faut pas longtemps pour débander.

Fred : " On réglera ça tout à l'heure. Tu m'as pris pour un pédé ! C'est toi la pédale, n'oublie pas ! "

Je ne risque pas d'oublier, il a des arguments musclés ! Plutôt mal commencé, il va falloir que je mette les bouchées doubles pour me faire pardonner. En parlant de bouchée....

Fred : " Viens ! " Il m'entraîne vers le canapé. Je le suis docilement, arrivés au canapé, il me prend par les épaules et applique une pression. Aussitôt, pour ne pas le décevoir, je m'agenouille.

Fred : " Bien ! J'espère que tu vas te comporter comme une bonne pute soumise ? "

Moi : " Oui, j'obéirai à tes demandes ! "

Fred : " Très bien, on va voir ça tout de suite " Je m'attends à une quelconque demande, mais rien. Il s'absente quelques minutes se dirigeant vers une pièce qui s'avéra être sa chambre. De retour, il tient quelque chose entre ses mains, dont je distingue mal la forme. Il s'approche.

Fred : " Mets tes mains dans le dos " Je m'exécute de suite, je ne veux pas le vexer. Il m'attrape un poignet, j'entends le bruit métallique d'un cliquetis, je ne tarde pas à comprendre ce que c'est. Il vient de me menotter la main droite, puis instantanément c'est au tour de l'autre. Il a serré, j'ai un peu mal aux poignets, je ne dis rien.

Fred : " Bon, tu vas être bien gentille maintenant petite fiotte ! "

Je ne vois pas comment je pourrai faire autrement, je suis à genou devant lui, les mains menottées dans le dos. Il baisse son short qu'il retire complètement, il est nu devant moi, sa queue est raide, taille moyenne, détail dont je ne me souvenais pas, si mon cul pouvait parler lui, il me le dirait. Je distingue ses vaisseaux sanguins gonflés, elle est très belle et cela me donne très envie de la prendre en bouche. J'approche ma tête de son gland, j'ouvre la bouche et commence à lui titiller le méat avec ma langue.

Fred : " Putain, t'as faim toi ! " Il se laisse faire.

Je voudrais bien la prendre en main, mais ce n'est pas possible, je vais devoir travailler qu'avec ma bouche, c'est un peu frustrant. Depuis ma première aventure avec un mec un matin sur Lyon, je prends de plus en plus de plaisir à sucer un mec, j'aime sentir cette verge dans ma bouche, jouer avec, faire monter le désir et le plaisir d'un homme. Curieux pour un hétéro 100% il y n'a encore pas très longtemps. Fred, me prend la tête entre ses mains, il joue lui aussi avec ma bouche, il frotte son gland sur mes joues, sur mes lèvres, entre et sort à sa guise. Je suis son jouet.

Fred : " J'aime la douceur de ta langue et la chaleur de ta bouche, tu suces bien ma chienne "

Encouragé par ces paroles, je deviens plus hardi et je veux mener la danse, je vais au plus loin que je peux, Fred freine mes ardeurs, mais je suis si actif qu'il a du mal à me gérer. Il se retire.

Fred : " Vas doucement, j'aime prendre mon temps "

Malgré sa demande je le suce goulument, je me jette sur cette queue magnifique.

Fred : " Arrête-toi ! " Il m'attrape par l'oreille et me soulève. " Je t'ai dit d'aller doucement ! Viens avec moi je vais te calmer "

Je suis le mouvement pour ne pas avoir trop mal, je me soulève tant bien que mal. Il me prend par le bras et m'entraîne vers la chambre. Nous y sommes, il me m'assoie sur le lit.

Fred : " Mets-toi sur le ventre " Je me couche sur le côté et me dandine comme un ver pour me retrouver entièrement sur le lit et je bascule sur le ventre, je rampe un peu je suis en position. Les pieds dans le vide. Fred se délecte de ce spectacle.

Fred : " Remonte encore, je te veux complètement sur le lit "

Moi : " Et mes chaussures, je les enlève ? "

Fred : " Non gardes-les "

Cette fois on dirait une chenille, je prends appui sur ma tête, remonte mon fessier, je me mets sur les genoux et pousse en avant pour glisser vers le haut du lit. J'y suis.

Fred : " Très bien comme ça "

J'entends de nouveau des bruits métalliques, je connais ces bruits, on dirait des chaînes. Fred est au pied du lit sur ma droite, il se saisie de ma cheville. Comme tout à l'heure dans le salon, j'entends le même bruit métallique d'un cliquetis, c'est une menotte, elle est en place. Fred se déplace de l'autre côté du lit, se saisie de ma cheville gauche, mêmes bruits, même effet. Je regarde vers ma cheville droite. Une menotte est bien accrochée à celle-ci, un petit cadenas comme pour fermer les valises cabine, passée dans son anneau lui-même verrouillé à l'extrémité d'une fine chaîne. Cette chaîne est posée sur le lit. Pendant que j'observe cet équipement, Fred tire sur la chaîne reliée à ma cheville gauche.

Fred : " Tends ton pied vers moi ", ce que je fais. " Encore " Je tends au maximum ma jambe. Je le regarde, il s'accroupi. J'entends le bruit de la chaîne, il la passe autour du pied du lit. Il remonte l'extrémité et vient l'accrocher avec un mousqueton sur un maillon de la chaîne. Celle-ci est tendue à présent. Il retourne sur la droite, je tourne la tête pour le regarder.

Fred : " Ton pied ! " je le lui tends, il effectue les mêmes gestes.

Me voilà affalé sur le lit, les jambes formant un grand écart, c'est inconfortable. Chaque menotte m'enserre la cheville, j'ai un peu mal, je ne peux pas bouger. Fred se redresse me regarde, il a l'air satisfait, mais il n'en a pas fini. Il se penche sur moi. Il détache une première main puis la seconde. Je me mets sur les coudes, frotte mes poignets.

Fred : " Couches-toi sur le ventre, je n'ai pas fini. Ecarte tes bras comme tes jambes ! "

Je me mets aussitôt dans la position demandée, il m'attrape mon poignet droit sur lequel se referme une menotte comme pour ma cheville droite. Il tend la chaîne, mêmes gestes, c'est verrouillé. Il fait le tour du lit et entrave mon poignet gauche avec une nouvelle menotte, tension de la chaîne, passage autour du pied du lit, accrochage du mousqueton, voilà ! Je suis enchaîné sur son lit, écartelé, impossible de bouger. Même si c'est inconfortable, j'aime assez d'être enchaîné comme ça, ça a un côté excitant. Je suis à sa totale merci.

Il se penche sur moi, remonte ma jupe sur le bas de mon dos, mettant mes fesses à nu. Il me caresse chaque lobe, c'est agréable. Il se retourne et ouvre un tiroir d'une commode, je l'entends trifouiller dedans.

Il se retourne, il tient quelque chose en main. L'amplitude de ma vision, dans la position dans laquelle je suis, ne me permets pas de distinguer ce qu'il tient. Il monte sur le lit, m'enjambe et se met à califourchon sur mon dos. Il passe sa main gauche d'un côté de ma tête, puis sa main droite de l'autre côté, main qui tient l'objet, je le vois à présent, c'est un bâillon boule ! Je n'ai pas le temps de protester, il approche le bâillon et insère la boule dans ma bouche. Il retire ses mains vers l'arrière et je sens les sangles se tendre. Le bruit d'une boucle me confirme que c'est attaché. Mais pourquoi ?

Fred se penche vers mon oreille et me chuchote : " Parfait ! Je t'ai fait une promesse tout à l'heure dans le salon quand tu as bandé sale pute, je vais la tenir ! " Il se soulève, descend du lit et retourne au tiroir de la commode. Je le regarde, je suis affolé, instinctivement je tire sur mes liens, rien à faire. Je commence à comprendre que notre séance sexe va être différente.

Fred se retourne, il tient un martinet en main, je le regarde avec une certaine inquiétude, il sourit. Il soulève son bras, un coup s'abat sur mes fesses, je tressaute, même s'il n'est pas très violant, un second, puis un troisième, encore un et encore, ça ne me fait pas trop mal. Le suivant est plus marqué, il me mord les fesses, j'essaie de crier mais mon cri est étouffé par le bâillon. Puis un nouveau coup, je tente d'esquiver le prochain, pas possible. Mes mouvements sont limités, il le sait bien. Je contracte mes fesses en attendant le prochain coup.

Fred me sourit de nouveau. Il se retourne, cherche dans le tiroir, il se tourne vers moi. Il tient un bout de chiffon noir à la main. Il s'approche de moi et en fait c'est un bandeau comme ceux utiliser pour dormir en avion. Il le met en place, cette fois je ne vois absolument rien. Nouveaux coups de martinets plus cinglants, je ne peux plus anticiper, les coups s'abattent sur mes fesses à un rythme soutenu, mes fesses me cuisent, je sens la chaleur monter en elles. Les coups cessent. Je ne sais combien j'en ai pris une quinzaine, une vingtaine ? Toujours est-il que j'ai le cul en feu mais paradoxalement j'ai aimé cette situation, soumis à Fred. Il me retire le bandeau.

Fred : " Alors sale pute, tu as compris maintenant ? " Je fais oui de la tête, " Bien ! "

Il vient sur le lit s'assoit à la tête de lit, face à moi, chacune de ses jambes passant au-dessus de mes bras, il passe ses mains derrière la tête et défait le bâillon boule. Il me le retire, enfin je peux respirer normalement, j'ai énormément bavé. Il approche sa bite qui est raide comme un bâton, me soulève la tête et, malgré l'inconfort de ma position, me la fourre en bouche. Il fait des mouvements de son bassin pour me baiser la bouche, c'est à la limite de l'acrobatie, j'ai un peu mal à la nuque, mais ne dit rien. En plus j'ai la bouche pleine. C'est tout de même très bon, je kiffe de plus en plus de faire des pipes, pourquoi n'ai-je pas commencé plus tôt.

Il joue avec ma bouche, se retire lentement, entre brutalement, je hoquette, se retire, frotte son gland sur mes lèvres, entre, sort, se frotte à mes joues, me bloque la tête, met quelques tapes sur ma joue lorsque sa queue est contre, il s'amuse, moi et bien moi, je le laisse faire pas possible de faire autrement, je suis son jouet, sa poupée, son travesti, sa pute !

Je ne sais pas depuis combien de temps je suis dans cette position, mais mes membres commencent à s'engourdir. Malgré tout, je continu à bien le sucer.

Fred : " Tu es quand même une sacrée pute, elle te plait ma queue ? " Je hoche la tête sans cesser ma fellation. Il finit par se retirer, il se soulève, descend du lit, vient aux pieds de celui-ci, s'agenouille sur le lit, me soulève les pieds, le mouvement est limité du fait du peu de longueur de la chaîne. Il me caresse le coup de pieds, les repose, remonte sur mes mollets, arrive aux cuisses, il redescend, remonte, il se chauffe.

Fred : " Tu as vraiment un beau cul ma pute, je vais te le péter comme la dernière fois dans la salle de bain ! " Il n'a pas oublié, moi non plus d'ailleurs. Il continue ses caresses, j'adore c'est le premier moment sensuel depuis que je suis arrivé, il y a combien de temps d'ailleurs ? Il me caresse les fesses, les malaxe, j'entends sa respiration haletante, il est excité grave, il s'est bien chauffé. Une de ses mains écarte mon string, s'insère dans mon sillon, caresse ma rosette, monte, descend. L'autre me caresse, les fesses, les cuisses. Un doigt tente sa chance avec mon fion, bingo ! Il entre sans efforts, je suis à point.

Fred : " Espèce de grosse chienne, tu as le fion tendre comme de la guimauve et humide comme une éponge ! Tu as envie de te faire prendre, hein ma chienne ? " Je ne peux que lui donner raison tant je suis moi-même excité.

Fred : " Patience chaudasse ! " Il s'allonge sur moi, frotte sa bite contre ma fente, j'ondule des fesses, je le veux ! Il continu de jouer avec moi, je sens qu'il a très envie de me baiser. Il se lève, j'attends ouvert. Il se remet sur moi, il a enfilé une capote, ce n'est pas la seule chose qu'il va enfiler. Il se met à genou derrière moi, il se penche, prend appui sur sa main gauche, de l'autre main, il dirige son sexe vers ma grotte. Il frotte mon anus, c'est hyper bon, puis il entre doucement, je l'accepte. Il se retire, il entre, sort, entre, sort, il joue avec ma rondelle, que c'est bon. Quelques minutes de jeu, puis son sexe s'aventure plus loin, revient en arrière, puis plonge profondément dans mon univers. Je pousse un gémissement. Il se bloque au fond de mon cul.

Fred : " Tu aimes salope ! Ta chatte est bonne et toute humide. Tu as aimé ta préparation ? Tu n'es qu'une chienne ! On va se marrer ce soir, je vais voir jusqu'où tu peux aller ! " Je ne sais pas quoi penser de ce qu'il vient de me dire. Il me ramone de nouveau le cul. Il met ses cuisses en position crapaud sur mes propres cuisses, il me caresse avec ses cuisses, c'est agréable. Il me baise divinement, j'aime sa teub, elle me défonce bien.

Fred : " Je vais te ramoner grave ta chatte de pute ! " Il s'allonge sur moi, sur met sur les mains, prend appuis avec ses pieds et commence une série de pompes, mon cul est pilonné. C'est vraiment un bon baiseur, il vient claquer sur mon cul. Quelques minutes intenses, puis il se love contre moi, seul son bassin ondule, il va doucement mais profondément. C'est sensuel, j'aime, j'en oublie que je suis enchaîné. Il me parle doucement à l'oreille en haletant un peu.

Fred : " C'est bon, hein ma pute ? ", " J'aime enculer les travelos comme toi ! ", puis il se remet à me pilonner le cul. Ce mec est surprenant, il aime varier les rythmes. Sa bite tape bien au fond, j'ai le cul en feu. Il s'arrête, se relève, reste derrière moi. Il est à genou entre mes cuisses, le lit vibre, je sais qu'il se branle, il pointe son gland sur mon cul, il halète, ça va venir. Il pousse un grognement se libère sur mon cul, autre grognement, autre jet. Il jouit copieusement. Je sens son jus couler dans mon sillon. Il pousse son gland dans mon trou, il veut encore me féconder, il ressort, frotte son gland dans mon sillon, je devine qu'il remonte son jus vers mon intimité. Il s'enfonce en moi. Il ne bouge plus.

Fred : " Trop bon ton boule, un vrai trou à bites " Il se lève, descend du lit, il prend son portable posé sur la commode. Il fait quelques photos et sort de la chambre en tirant la porte derrière lui. Je reste sur le lit, j'ai du sperme plein les fesses, plein le cul et je ne peux bouger. Impossible de m'essuyer, je dois attendre son retour. Je pensai qu'il était parti faire un brin de toilette, mais il ne revient pas, le temps passe, je somnole et finit par m'endormir, épuisé, ravi et fécondé. Fred entre dans la chambre, ce qui me réveille. Je ne sais combien de temps j'ai dormi.

Fred : " Alors ma pute tu dormais ? "

Moi : " Un peu ! "

Fred : " Tu as bien fait la soirée n'est pas finie "

Je ne sais pas ce qu'il a encore prévu, je suis vanné, je reste sans bouger et ne dit rien. Fred s'approche, il me prend une cheville, en détache la menotte, passe à l'autre, puis suivent les poignets, enfin libre ! Mes membres sont endoloris, je les bouge pour faire circuler le sang, Fred est ressorti de la chambre, je masse mes poignets, puis c'est au tour de mes chevilles. Ça va mieux, je sens de nouveau mes membres. Fred revient.

Fred : " Lèves-toi et viens ! " Je me tire du lit, me lève mais c'est un peu instable. Fred m'aide. Je marche, c'est bon. Je remets ma jupe en place. Nous passons au salon.

Fred : " Vas te remaquiller un peu " Je vais vers la salle de bain, je remets un peu de fond teint, du rouge à lèvres, c'est bien comme ça. Je retourne au salon.

Fred : " Tu veux boire quelque chose ? " C'est la première phrase gentille qu'il m'adresse.

Moi : " Oui, je veux bien un peu d'eau " J'ai la gorge sèche. Il me sert, j'avale le verre d'un trait. Le lui rend. Il revient vers moi.

Fred : " Mets tes mains dans le dos " Ça ne va pas recommencer, et pourtant il me menotte de nouveau. Il s'habille. " Nous sortons ! "

Moi : " Comme ça ? " en lui tournant le dos pour lui montrer les menottes.

Fred : " Ah oui, tu as raison j'ai oublié quelque chose " Il retourne à sa chambre et en revient avec un collier qu'il me passe autour du cou " Maintenant c'est bon ! "

Moi : " Je ne peux pas sortir en femme ! "

Fred : " T'es un travelo ou pas ? "

Moi : " Oui mais... " sans avoir le temps de finir ma phrase.

Fred : " Alors pas de problème " et il m'attrape par un bras et me conduit vers la sortie.

Il ouvre la porte d'entrée, me voilà sur le pallier, je ne suis pas rassuré si nous croisons quelqu'un. Il allume la cage d'escalier, qu'elle heure peut-il être, il fait nuit. Il verrouille la porte, me prends par le bras et nous entamons la descente de l'escalier. Je marche sur la pointe des pieds, je ne veux pas faire de bruit et attirer l'attention. Nous voilà en bas, Fred ouvre la porte d'entrée, nous sommes dans la rue, je redoute ce moment. Et si nous croisions des gens, que penseraient-ils en me voyant affublé de la sorte et de surcroit menotté. Nous déambulons sur le trottoir, heureusement personne. Nous arrivons à sa voiture, il la déverrouille, m'ouvre la portière et m'aide à m'installer. Il se penche sur moi pour boucler ma ceinture. Il sort, ferme la portière, fait le tour du véhicule, monte, quelques secondes, puis il démarre.

Nous roulons depuis peut-être 1/4 d'heure, lorsque Fred tourne la tête, me regarde, je lui rends son regard. Je ne dois pas être serein car il me dit : " T'es inquiète ma pute ? "

Moi : " Oui un peu, on va où ? "

Fred : " On va chasser le mâle pour toi, ma pute. Ce soir c'est la fête à la saillie ! " Il est 22h30, j'aurai aimé en rester là, mais Fred a d'autres projets. Jacques me l'avait laisser entendre, ce mec ne sait pas s'arrêter, c'est un drogué du sexe. Je suis fatigué et inquiet réellement, je ne sais pas ce qui m'attend. Encore quelques minutes de route, je vais enfin savoir ce qu'il a prévu. Nous arrivons, c'est un immense parking, des dizaines de camions sont garés. C'est donc ça son plan, me livrer à des routiers ! Fred se gare, coupe les phares. Il se tourne vers moi.

Fred : " Nous voici au supermarché des bites ma pute ! ", " J'ai bien vu chez Jacques que tu aimais les bites, tu vas en avoir ! " Je reste bouche bée. Ce mec est fou et moi aussi. Tout ça ne faisait pas partie de ce dont nous avions discuté lors de nos échanges de mails, le reste non plus d'ailleurs. J'ai aimé grave ce qu'il m'a fait chez lui, même si c'était un peu bizarre. Fred défait sa ceinture, ouvre sa portière, descend, fait le tour et vient vers ma portière qu'il ouvre. Il se penche sur moi, défait ma ceinture, se recule, me prends le bras.

Fred : " Viens ! "

Moi : " Attends ! C'est risqué, non ? "

Fred : " Aucun risques ! Tu vas sucer des bites et te faire enculé comme tu aimes, puis on repart " Il me tire vers l'extérieur, je suis debout perché sur mes escarpins. Il me regarde des pieds à la tête. Il passe ses deux mains autour de ma taille et d'un coup il fait glisser ma jupe au sol.

Moi : " Qu'est-ce tu fais ? T'es fou ! "

Fred : " Tu n'en auras pas besoin, et ça va les exciter graves les routiers " Tu parles ! De leur cabine, ils vont voir déambuler une nana, en talons aiguilles, en DIM UP, le cul à l'air et en plus les mains menottées dans le dos. " Lève ton pieds ", ce que je fais, Fred dégage ma jupe, " L'autre ", idem. Il ramasse ma jupe et la jette sur le siège. Il ferme la portière, verrouille sa voiture. Il cherche quelque chose dans sa poche. Il en sort une petite chaîne. Il accroche une extrémité au collier que j'ai autour du coup, je me disais aussi ! Elle va servir de laisse et pas que !

Fred : " Viens ça va être la fête du slip, et de tes trous ma pute ! " Ce disant il tire sur la laisse et me traîne derrière lui. Avec le recul, j'ai kiffé ce moment.

Nous nous engageons dans l'allée formée par les camions, je regarde furtivement à droite à gauche, j'aurai aimé ne pas être là. Inutile de dire que nous sommes observés comme des bêtes curieuses, mais cela ne semble pas gêner Fred. Fort heureusement beaucoup ont les rideaux tirés, ça va limiter. J'entends quelques portières s'ouvrir, je ne peux m'empêcher de me retourner. Certains chauffeurs sont descendus de leur cabine, sont au pied de celle-ci et nous matent. Nous continuons d'avancer, nous approchons d'un petit bâtiment. Nouveau regard derrière moi, quelques silhouettes se dessinent, nous sommes suivis. J'ai à ce moment, des palpitations, mon coeur bat vite, je le sens dans ma cage thoracique, dans mes tempes.

Nous sommes arrivés au bâtiment, il est faiblement éclairé, ce doit être des toilettes. Fred me conduit vers les lavabos extérieurs. Un pilier soutient l'extrémité de la toiture. Il s'en approche. Il passe alors la chaîne autour de celui-ci, et en verrouille l'extrémité sur elle-même. Me voilà mis au pilori. Il recule et se cale contre un lavabo. Il sort sa queue et se branle, il m'observe. Je suis apeuré. Je me sens comme un appât pour attirer les fauves. Ceux-ci ne se font pas attendre d'ailleurs.

Moi : " Fred, je veux retourner à la voiture, c'est trop risqué ! "

Fred : " Il va falloir leur expliquer que tu ne veux plus ma pute ! " il me fait signe du menton de regarder derrière moi.

Cinq routiers sont déjà là, ils se tiennent à 2 ou 3 mètres, observant cette nana enchaînée à ce poteau. L'un d'entre eux tente une approche, il arrive vers moi. Les autres l'imitent. Il pose une main sur mon cul, me tripote, une autre sur les seins. Sa main glisse de mes fesses à l'avant. Surprise !

Les mecs c'est un pédé ! Un autre : " Ah ouais une petite fiotte de travelo ", le premier : " Alors on est venu goûter de la bite de routier ? ", s'adressant à Fred : " C'est ta pute ? "

Fred : " Oui "

L'autre : " C'est payant ? "

Fred : " Non c'est offert ! "

L'autre : " Si c'est offert, merci on va prendre " sur ce, il baisse sa braguette, passe une main dedans et en sort sa bite, belle queue d'ailleurs, pas de taille surhumaine, standard mais belle. Il m'attrape par la nuque et me penche en avant, et c'est parti ! Pendant que je le suce, les autres se branlent, des mains me caressent, me tripotent, s'insèrent entre mes cuisses, on écarte mon string. Je sens un gland se frotter.

Fred interpelle tout ce beau monde : " Les gars, son cul s'est couvert ! " (Quelle délicatesse de sa part) Il tend une boîte de capotes. L'un des routiers s'en saisi, ouvre la boîte, sort 2 capotes qu'il sépare, en remet une en boîte, pose l'autre sur sa bite et là, il pose son gland contre mon fion, m'attrape les hanches et s'enfourne d'une traite, je pousse un petit cri étouffé par la bite que j'ai en bouche. Fred fait des photos pendant que je suis limé et que je pompe comme un fou.

Le mec : " Quel cul ! ça c'est un cul de salope ! " et il me fouraille de plus belle, il me secoue comme un pantin, je recherche l'équilibre à chaque coup de butoir dans le cul. Pendant ce temps de l'autre côté, le type me bloque la tête, il ne bouge plus et d'un coup :

Le type : " aah putain, je vais jouir ! ", " Ah c'est bon, ah c'est bon, ah c'est bon, aah c'est booooon ! " associé à quelques soubresauts, il se libère dans ma bouche, son jus est épais et dosé, il doit avoir les couilles pleines depuis quelques jours, consciencieux j'avale ! Il reste une vingtaine de secondes sans bouger, pendant que l'autre à l'arrière s'active toujours. Il se retire de ma bouche, recule, à peine sorti qu'un nouveau prend sa place et nouvelle fellation. L'autre à l'arrière m'attrape par les épaules, va au plus profond et après un râle guttural, il libère son jus dans mon cul. Il se retire, au suivant ! Les routiers se succèdent dans ma bouche et dans mon cul.

Je ne sais pas combien me sont passés dessus, combien de sperme j'ai dû avaler, de bites j'ai dû sucer, de queues m'ont déboîtées, c'était dément ! J'ai la mâchoire démontée et mon cul, mon cul lui c'est un cratère. Ce n'est plus le petit trou rond avec sa rondelle qui en garde l'accès. Mon trou est dilaté, ma rondelle c'est un élastique détendu ! Certains m'ont baisé avec tendresse, avec passion, d'autres bestialement tout ce qui comptait c'était de se vider les couilles.

Les derniers routiers partis, Fred s'approche de moi : " Alors ma lope t'as aimé toutes ces bites ! ", puis il détache la chaîne du poteau. Il m'approche du lavabo, et me plaque contre. Il me penche en avant, je ne bouge pas. Il me pelote les seins, glisse une de ses mains descend sur la cuisse, reviens vers mon entre cuisses, c'est très agréable. Il plaque sa bite contre moi et ni une ni deux il m'encule. Il m'attrape les hanches. C'est reparti.

Fred : " Je kiffe trop ton cul ! ", " Tu me fais bander grave sale pute ! " ses assauts se font plus forts, le rythme s'accélère, " Tu aimes être saillie comme ça ma lope soumise ! "

Fred : " Je vais te féconder sale pute ! ", il s'acharne sur mon cul, je suis ébranlé sur mes talons aiguilles, je vacille, mais il me tient fermement. Il me lime comme un fou, le spectacle qu'il vient de voir a dû le chauffé grave. Encore quelques minutes puis il pousse un grognement de satisfaction. Je sens son liquide chaud se répandre dans mon cul " Tu l'aime mon jus ma lope ! " Il me donne des coups de butoirs phénoménaux à chaque jet qu'il envoie. Puis il ne bouge plus, il halète, il reprend sa respiration. Il se retire doucement, recule. Il se rhabille. Il est prêt.

Fred : " Allez viens ! " il tire sur ma laisse, je me redresse et le suis. Tout en marchant je sens couler son sperme le long de ma cuisse.

Moi " Fred, je voudrais m'essuyer, j'ai du sperme qui coule le long de ma cuisse ! " Il s'arrête, se retourne et vient vers moi. Il passe sa main entre mes cuisses, récupère tant bien que mal le sperme.

Fred : " Ouvre la bouche ! " Le ton est sec, j'obéis. Il verse le jus dedans, " Avale ! ", je le fais, " Lèche ma main ! " je m'exécute, " Ben voilà ! ", il tire de nouveau sur la chaîne. Nous traversons l'allée de camion et arrivons enfin à la voiture. Nous nous installons, démarrage et reprise de la route. Il est une heure du matin, c'est de la folie, à quelle heure vais-je rentrer chez moi ?

Nous arrivons enfin devant son immeuble, il se gare, descend de voiture, vient vers ma portière. Je descends à mon tour, il attrape ma jupe sur le siège, ferme la portière, verrouille et nous marchons vers son entrée. Inconscient, je déambule derrière lui à moitié à poil sur le trottoir tenu en laisse. Il ouvre la porte de l'immeuble et nous engageons dans le couloir, je marche normalement, même en montant les escaliers, je suis trop crevé pour faire des efforts, il ouvre chez lui et entrons.

Il me libère enfin les poignets, m'ôte le collier, je suis libre ! Comme un automate je vais vers la salle de bain, j'entre et referme la porte. Je me déshabille, me démaquille, reprend la tenue que j'avais en arrivant, je range mes affaires et ressors de la salle de bain. Fred est assis dans le canapé, lui aussi à l'air fatigué. Je lui dis bonsoir, il me répond : " Je te recontacte ", je lui dit " Ok " et sur ce je pars. Il me faudra pas loin d'une heure pour rentrer, heureusement je n'ai réveillé personne, je me couche et m'endors crevé.

Je ne me serai jamais cru capable de faire ce que j'ai vécu ce soir. Avec Fred c'est toujours des rencontres bizarres, je vous raconterai les deux autres fois après celle-ci où nous nous sommes revus.

N'hésitez pas à me faire vos commentaires et me donner vos conseils comme vous avez su le faire après mes premières histoires.

ADONF

Suite de l'histoire

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