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HISTOIRE

Viol consentant à l'état-major

Fidèle lecteur de vos histoires, je suis surtout excité pas les aventures réelles. Je me décide donc à vous raconter un de mes aventures réelles les plus excitantes qu'il m'est arrivé de vivre. Je me présente : je suis militaire, officier, une jeune cinquantaine actuellement. Mince et musclé, bien entretenu, ventre plat et cul et bite très chauds... Je suis passif + et actif à mes heures. ..

Il y a environ 6 ans alors que j'étais affecté dans un état-major parisien, je fréquentais régulièrement la salle de musculation située dans le sous-sol du bâtiment. Façon d'entretenir mon physique et de fantasmer discrètement sur les beaux mecs autour. J'avais repéré entre autre un mec beur, 25 ans environ au physique dense et sauvage. Il dégageait une sorte d'intensité, voire d'animalité contenue. A l'occasion d'un changement d'appareil de musculation j'ai engagé la conversation en lui demandant s'il faisait du judo ? Il me répondit : "non je n'en ai jamais fait pourquoi ? "

Je répondis : " Parce que tu as un physique de judoka". Ce qui était vrai au demeurant. Il était dense, une taille peu marquée, ventre plat, épaule musclée et ronde, cul bombé, bras épais.

Ensuite, il coupe court à la conversation, montrant son désintérêt à la question et à moi-même par-dessus le marché.

Je repris donc ma séance sans jamais plus engager de conversation avec lui. J'avais pris mon râteau !

Après quelques mois, alors que je l'avais complètement oublié et qu'il ne reparaissait plus dans la salle de sport d'ailleurs, je m'y retrouve pour une séance du soir. Il était tard, pas loin de 19H, il y avait très peu de monde. Je fais ma séance dans mon coin, je ne me souviens d'ailleurs pas l'avoir identifié dans la salle de sport ce soir-là, et je pars aux vestiaires et je me déshabille pour la douche. Je me sens bien, le corps fatigué par mes exercices mais les muscles durs et saillants. Je me mets sens sexy et excité, mais sans arrière-pensée. Je pense à me dépêcher pour reprendre mon métro et mon RER et rentrer chez moi. Je me mets en slip, prends mon gel douche et ma serviette et j'entre dans la partie lavabos et douches...  Cette salle est composée de 7 à 8 lavabos alignés avec une glace au-dessus de chacun d'entre eux, et alignés derrière, la série de cabines de douche qui intègre un petit espace vestiaire et la partie douche elle-même. Chaque cabine est fermée par une porte avec verrou.

Et là, surprise... le mec que j'avais repéré quelques semaines auparavant, complètement à poil, exhibant son physique, sa bite et son cul à tous les regards, en train de se coiffer bien tranquillement devant un lavabo. Il prend tout son temps et il parade. C'est très inhabituel de voir les mecs s'exhiber dans ces vestiaires-là. En général, les déshabillages sont furtifs, dans les vestiaires, contrairement à ce que l'on peut penser. Les gens ne se connaissent pas, ce n'est pas comme une équipe de foot ou de rugby, et les mecs sont plutôt prudes. Généralement, ils entrent dans leur cabine de douche en fermant la porte et ressortent ensuite en slip ou la serviette nouée autour de la taille.

A le voir totalement exhib, j'ai le coeur qui bondit et la bite qui tressaille. Il est superbe. Son corps est imberbe sauf son pubis, la peau semble douce, d'une belle couleur dorée. Il est puissant. En se coiffant, ses muscles des bras saillent. On sent des muscles d'une grande densité, comme je l'avais imaginé. Il y a comme une contradiction entre la douceur de ses lignes et l'animalité qui se dégage de lui.  Il est terriblement excitant. Il le sait mais il ne semble pas en jouer intentionnellement. Ce soir-là il ne calcule personne. Il pense être seul, il se trouve beau mec, et d'ailleurs il s'en fout.

Pour meubler, je lance : "Bonsoir". Il me répond avec un sourire sympa cette fois en me regardant par reflet dans la glace.

"Les douches sont chaudes ce soir ? " je lui demande. "Oui, elles sont excellentes" me réponds-t il

"Ah tant mieux car ce n'est pas toujours le cas", je réplique.

"Oui c'est vrai, mais ce soir c'est parfait".

Il a l'air de bonne humeur, bien mieux que la première fois où nous nous sommes parlé. Il sourit en coin. L'atmosphère s'est brusquement intensifiée. J'ai senti quelque chose de très chaud se dégager de nous deux sans avoir le temps de l'analyser. Tout va très vite. Il ne s'est pas tourné vers moi, mais il ne s'est pas caché et au contraire continue plus que jamais à s'exhiber en prenant tranquillement son temps. Je crois qu'il n'a pas réalisé à quel point je suis excité. Il n'y a personne d'autres dans les vestiaires ni dans les douches. Toutes les portes sont ouvertes. J'ai le choix...

Je ne peux m'empêcher de le reluquer discrètement en cherchant une douche et je vais directement dans celle qui est pile en face de son lavabo.

Je ne sais pas ce qui me prend mais volontairement,  je ne ferme pas la porte et la laisse grande ouverte. Personne ne fait jamais cela ici. En choisissant cette douche, je sais que lorsqu'il se regarde dans la glace, il me voit dans la douche en se regardant dans la glace. Je suis terriblement excité.  L'air de rien, je lui tourne négligemment le dos et en cherchant à rester naturel, je retire mon slip blanc Calvin Klein. Sans en faire trop, je lui montre bien mon cul que je sais très attirant malgré mes 45 balais. Je me relève en me cambrant un peu plus que de coutume. Je me la joue décontracté sexy....Je sais qu'il me voit, même s'il ne le voulait pas, je suis dans sa ligne de mire. Je me suis imposé à lui.

Mon coeur bat à 140... J'allume la douche toujours de dos, toujours bien cambré en faisant ressortir mes fesses. Puis, dès que l'eau est chaude, je me retourne et je le regarde dans la glace. Je réalise qu'il me fixe. Je croise son regard. Il ne baisse pas les yeux et continu à me fixer

Soudain, je réalise que ma bite est déjà bandée au trois quart et qu'elle est pratiquement à l'horizontal. Je me rends compte de la dangerosité de la situation et je me retourne soudain vers le mur en me disant que j'ai peut-être été trop loin. Mon coeur est à 180. Putain, et si il m'interpelle en me demandant pour qui je le prends !

En fait, je n'ai pas le temps de paniquer, j'entends la porte de ma douche bouger et en me retournant je le vois à l'entrée de ma douche. Il entre d'une seul coup et ferme la porte derrière lui. Putain je n'y crois pas !! Il a compris et veut goûter ! Je m'approche de lui. Il sourit d'un regard salace et il m'attrape tout de suite le poignet en me tirant vers le bas. Je comprends vite et je me mets à genoux. J'enfourne sa bite encore molle mais qui grossit très vite. Il me baise immédiatement la bouche. Sa bite prend très très vite du volume. Elle est de bonne dimension, 16 ou 17, et surtout très épaisse avec un gros gland qui gonfle de seconde en seconde. Il me l'enfonce dans la gorge sans ménagement. J'essaye de tout prendre mais il est trop brutal et son gland est devenu énorme.  Il force, il frappe ma gorge. Sa bite sent bon. Je morfle mais j'adore ça. Je bande à fond...

Je m'applique à me détendre car je ne veux pas qu'il se casse s'il n'était pas satisfait de ma pipe. Et des bites, j'en ai avalé des kilomètres depuis toutes ces années !! Alors je me détends la gorge et le palais et enfin ça y est ! Il arrive à me l'enfoncer complètement d'un nouveau coup de rein. Il m'a mis la totalité dans la gorge. Son gros gland a fini par passer ma glotte et s'est calé bien au fond. Ce mec est sans pitié, il me colle la bouche contre son pubis et reste enfoncé en me tenant la nuque. Il ne dit pas un mot mais profite du moment. J'ai compris que c'était un macho direct qui me fait comprendre sans me le dire : "tu as voulu ma bite ? Et bien tu l'as, alors encaisse et ferme ta gueule !"

Il ressort enfin, je respire avec difficulté.

Il me recolle sa bite d'un seul coup de rein et recommence à me pilonner la gorge. J'encaisse en respirant un peu à chaque va et vient et en ouvrant au maximum les mâchoires.

Ouf, assez rapidement je n'en peux plus, d'autant plus que je fais des efforts pour ne pas faire de bruit et que ça devient très difficile de ne pas râler. Je me redresse en reprenant ma respiration. Il a un sourire salace mais pas agressif. Il a apprécié visiblement... Je tente de l'embrasser et de le caresser. J'ai trop envie de coller mon corps contre le sien. De sentir sa peau contre la mienne, et le tenir contre moi. Je crains un peu sa réaction. J'ai connu bcp de macho qui refusait le baiser... Lui ne recule pas et accepte l'étreinte. Il ouvre la bouche et nous nous faisons une bonne grosse pelle. Oh que c'est bon ! Je sens sa chaleur et la mienne se rejoindre... Il me serre contre lui et glisse sa main sur mes fesses. Il met ses doigts à l'entrée de mon trou du cul bien rasé. Je me colle encore plus fort et je me cambre pour lui montrer que je suis ouvert de ce côté-là. Je lui mange la bouche, buvant sa salive... Deux de ses doigts pénètrent dans mon orifice. Je gémis. Il est brutal mais c'est bon... Il a compris qu'il avait une belle salope prête à se faire sodomiser et cela l'air de déclencher un nouvel élan d'excitation. Soudain, il redevient brutal, il se recule un peu, quitte ma bouche et me retourne d'un seul mouvement vers le mur de la douche et me plaque contre la parois. Il se colle contre mon dos avec une force énorme. Il veut mon cul, tout de suite et je comprends que je vais y passer direct sans capote, bareback !!

Il ne lui faut que 3 seconde pour guider sa bite à l'entrée de mon trou. Impossible de refuser, je suis dans un état d'excitation extrême. Je me dis que c'est un mili et que le risque est minime. Je me cambre légèrement car je ne me suis pas lubrifié le cul et, à part le reste de salive que j'ai laissée sur la queue, il n'y a pas de lubrifiant et ça va être dur à faire rentrer. Son énorme gland se positionne et je n'ai pas le temps de m'ouvrir et de me détendre car là, d'un seul coup de rein, il me l'enfile complètement, et sans aucun ménagement, m'empale de tout son long en me déchirant les entrailles !! Ses abdos claques contre mon dos. Il m'a défoncé d'une traite !! Ahhhh... !!!. je gémis en essayant de retenir mon râle. Heureusement qu'il est circoncis, sinon il se serait arraché le prépuce tellement son coup de rein a été violent et dur. Les chairs frottent l'une contre l'autre. J'ai terriblement mal au cul... Ca me brûle dans tout le bassin... Mais je bande toujours aussi fort. C'est un véritable viol ! Un viol consentis mais un vrai viol...

Il ne m'a rien demandé. Même pas si j'étais clean ou pas, si je j'avais un capote ou pas... Il a pris le mec qui s'était offert à lui comme il aurait pris une friandise traînant sur la table et il a décidé d'en jouir à sa façon. Il a pris sa salope. J'étais devenu sa salope. J'ai l'impression qu'il veut me punir de l'avoir provoqué... Et j'ai adoré ça !! Il me dominait comme un animal domine sa femelle. Il s'enfonçait en moi a grand coup de rein et me collant contre la paroi sans me donner la possibilité de bouger.

Je suis punaisé contre le mur. Ma queue est écrasée contre les petits carreaux de la douche. Sa bite est d'une dureté phénoménale. Elle me laboure littéralement les reins sans aucun ménagement. Je suis cambré au maximum. Ma tête repose en partie sur son épaule et il me met sa main sur ma bouche... "Shhhhhhhht..." me souffle-t-il dans l'oreille. Tu fais trop de bruit, on va nous entendre." Cette parole lui donne un peu d'humanité car jusque-là, j'avais l'impression qu'une espère d'étalon, une bête préhistorique, avait pris possession de mon corps tout entier.

Occupé à encaisser ses élans de brute, je ne me m'étais pas rendu compte que je m'étais mis à haleter, à la fois de douleur et de plaisir. A chaque coup de cul qu'il me donnait, j'exhalais un "hannn..." et cela devenait  bruyant. Son bassin claque contre mon cul...

Puis soudain... Il s'arrête de me pilonner sans prévenir. Il se retire brusquement  et sa queue fait "plop" en sortant de mon cul. Il se recule d'un pas. Mon trou du cul est soulagé et je le sens encore ouvert... Mais malgré tout, j'ai de nouveau envie qu'il viole mon orifice, encore et encore... Je me retourne et je le regarde, debout au milieu de la cabine de douche, jambes écartées et bien campées sur ses cuisses puissantes et imberbes. Sa bite se balance devant lui. Il tient ses bras légèrement écarté. Il est l'image de la virilité brutale et sensuelle ; Je remarque que ses couilles ne sont pas très grosses mais je m'en fou. Il m'attend. Il veut que sa femelle se mettre à ses genoux car il a envie de changer de trou. Il me montre sa queue avec un signe de tête. Je comprends et reprends ma position à genoux. Je m'agenouille devant l'objet de mon plaisir. Je sais que je vais encore prendre grave... Et de fait, il reprend son pilonnage dans son nouvel espace de plaisir, en l'occurrence ma gorge endolorie mais qui s'ouvre pour lui, encore et encore. Sa bite glisse sur ma langue. Je sens le goût de mon cul. Heureusement elle est propre... Ouf, j'ai donc les reins propres moi aussi.

Il reprend sa baise de ma bouche plusieurs minutes. Ses mains sont sur ma tête. J'aime les sentir sur moi. Je me sens possédé ; entièrement à sa disposition. Elles sont chaudes et douces, fermes et volontaires. Elles dirigent l'axe de son enfilade en bougeant pour mettre ma bouche dans la bonne direction et ma tête suit docilement les mouvements qu'elles imposent. Je ne perds pas une miette du spectacle de ses cuisses fortes dont les muscles tressaillent. Sa puissance me submerge. J'encaisse mieux que la première fois mais sa queue est tellement dure que je morfle tout de même et je ne peux m'empêcher de faire des bruits de succion pour faciliter la pénétration profonde qu'il m'impose à chaque aller et retour. De temps en temps il se cale bien au fond et attend. Je ne peux plus respirer. J'ai les lèvres collées sur son pubis. Il attend que j'étouffe et ce n'est que lorsqu'il me sent paniquer et chercher à retirer ma tête qu'il consent à relâcher la pression et reprendre ses aller et retour.

Puis, sans prévenir, il arrête de me pilonner. Il se retire de ma bouche. Sa queue est luisante de ma salive qui coule aussi sur mon menton. Il me relève en me tirant pas les aisselles vers le haut. Puis il met sa main sur ma poitrine et il me pousse vers l'arrière. Mon dos entre en contact avec le mur et s'y appuie. Il se colle contre moi et c'est lui qui, m'embrasse cette fois. Ma queue touche la sienne, elles sont emprisonnées  entre nos ventres plats. Elle trésaille de désir. Je suis complètement surexcité. Il me bouffe la gueule de sa langue, bouche grande ouverte et je lui rends la pareille.

Pendant qu'il m'embrasse, il passe sa main sur ma cuisse droite, glisse à l'extérieur, revient derrière ma cuisse et soulève ma jambe. J'ai compris. Je suis souple et je lève ma jambe très haut en avançant le bassin au maximum. Il se baisse en prenant sa queue en main et se dirige vers mon trou. Avec ses épaules, il me plaque au mur. Il a une force impressionnante, bien supérieure à son gabarit. Sa queue trouve mon trou à l'interstice de ma cuisse relevé et s'enfonce doucement cette fois, car la position ne lui permet pas la même vigueur. Je m'accroche à ses épaules. Il pousse toujours avec ses épaules contre ma poitrine de façon à me tenir très fermement coincé contre le mur. Je sens qu'il s'abaisse encore un peu plus sur ses jambes puissantes, il se positionne bassin vers l'avant en prenant son temps. Je sens qu'il prend son élan. Il veut encore me montrer qui est le maitre et la mâle ici... Son gland chaud et hypertrophié est à l'entrée de mon anneau déjà douloureux et distendu... et soudain, il donne un énorme coup de rein et s'enfile complètement dans mes chairs qui s'ouvrent avec une douleur aigüe... Il a été si violent qu'il m'a littéralement décollé du sol. Mes pieds ne touchent plus le sol. Il pousse toujours avec ses épaules contre ma poitrine. Il a glissé ses mains sous mes cuisses et me tient maintenant les fesses avec une force impressionnante. Ses doigts s'enfoncent dans ma chair. Je m'accroche à ses épaules pour garder mon équilibre et relève ma deuxième jambe. J'ai étouffé un grondement de gorge lorsqu'il m'a enfilé. Mon cul me brûle mais je ne céderai ma place pour rien au monde. Nous sommes toujours sans capote et je sens sa bite dure fouailler mes reins. J'ai le cul en feu... Est sa bite qui est brûlante ? Est-ce mes chairs qui s'irritent ? .... Les deux certainement car je sens la chaleur de sa queue lorsqu'elle atteint le fond de mon intimité et qu'elle heurte mes intestins et ma prostate.

J'ai noué mes jambes derrière ses reins en m'accrochant à son coup et il m'encule violemment en me projetant contre le mur à chaque coup de ses reins puissants. Il respire très fort. Sa bestialité est terrible et je morfle, j'ai le dos qui frappe le mur, j'encaisse de partout, mais il est planté et vissé au fond de mon cul et il semble prendre un pied du tonnerre !! Je suis aux anges... Jamais je n'ai été baisé avec une telle violence et une telle animalité. J'en ai souvent rêvé, j'avais lu des tas d'histoire sur ob.ob5.ru et ailleurs, mais je n'avais jamais vécu cette expérience du mâle dominant qui vient chercher son plaisir, entièrement concentré sur sa bite qui règne en maitre sur mes reins. Je suis complètement possédé... J'adore ça, même si cela devient terriblement douloureux.. Heureusement, la position est très difficile à tenir pour lui et après quelques minutes, comme la première fois, il se retire sans prévenir et me repose assez brutalement au sol où je manque de me ramasser. Il ne dit rien et reprend son souffle. La douche coule toujours couvrant nos bruits de baise mais personne ne semble être entré dans la salle de douche... Je le regarde encore ; je suis soulagé et à la fois insatisfait qu'il ait interrompu si vite sa baise de folie. Il est dans la même position que tout à l'heure, son bassin d'avantage poussé vers l'avant, dans la position qu'il vient de quitter pendant l'enculade qu'il vient de m'asséner. Il est magnifique de virilité. Sa queue est rouge sang, son gland violet et gonflé. Il ne l'a pas ménagée elle non plus...

Il souffle et a l'air assez fatigué...

Il me dit : " Il va falloir que j'y aille "...

Quoi ? Il va me laisser sans que l'on ait jouis ? Jamais de la vie... je ne vais pas me contenter de ça...Je me mets à genoux immédiatement devant lui et je lui dis : " Attends, jouis moi dans la bouche... Donne-moi ton jus ". J'y vais franco car je veux qu'il jouisse et je veux moi aussi me libérer de la tension accumulée. Je veux absolument une conclusion à ce moment de folie que je viens de vivre. Je lui prends la bite et l'enfile dans ma bouche en la gardant dans la main. J'ai assez taillé de pipe pour savoir comment faire jouir un mec assez vite. Il a compris et commence ses va et vient... A chaque fois que sa bite ressort de ma bouche je serre un petit peu plus fort ma main autour de mon gland plein de ma salive. Il apprécie...Ses mouvements s'accélèrent... sa respiration devient haletante... Je sens que sa sève monte petit à petit... Je serre de plus en plus fort sa queue dans ma main. Elle est bien lubrifiée et il ne peut pas avoir mal. Ma salive dégouline sur mon menton. Les bruits de succions sont sonores mais on s'en fout... Je change de main sur sa bite et j'y mets ma main gauche car je veux me branler moi aussi... Mais il est déjà trop tard, il est en train de me décalquer la bouche, il donne des coups de reins de plus en plus désordonnés et je dois me tenir à ses cuisses avec ma main libre pour ne pas tomber. Je sens ses muscles tendus... J'entends alors un grondement partir de sa poitrine et résonner dans sa gorge. Il est sur le point de tout cracher, sa bite se durci encore et d'un seul coup, il me reprend la tête dans ses mains et enfonce sa queue d'un seul trait au fond de ma glotte et s'immobilise en grognant comme un sanglier qui charge. J'ai le nez dans ses poils de pubis et je sens son urètre pulser à grand coups. Il gicle directement dans ma gorge et mon estomac !! Mais je veux gouter à son jus !! Et en plus j'étouffe littéralement car je n'ai pas eu le temps de prendre ma respiration ! Alors je résiste et recule la tête. Il finit alors ses derniers jets sur ma langue et je goûte enfin à la saveur si particulière du sperme, à son goût à lui, à sa semence de mec en rut.... Il n'y en a plus beaucoup, mais suffisamment pour me satisfaire. Son goût est délicieux. Je veux le garder dans ma bouche et je ne l'avale pas tout de suite.

Le dernier jet expulsé, il retire sa bite très rapidement. Il prend ma serviette et s'essuie d'un seul coup et me dit : " je sors le premier ". Dans la seconde qui suit, encore à moitié bandé, il ouvre la porte et sort de ma douche en refermant derrière lui... Ce mec est au moins aussi dingue que moi !!! Aussi imprudent et aussi affolé par le sexe que je peux l'être...

Je suis là, à genoux, ma bite dans la main, la bouche encore pleine de sperme bien coulant contre mon palais qui se mélange à ma salive.

Je ferme le verrou en tendant le bras et en quelques mouvement de ma main droite, je fais monter moi aussi le sperme dans mes couilles, puis dans mon urètre et au moment où les premiers jets blancs sont projetés contre le mur de douche, je me cabre vers l'arrière et je laisse couler dans ma gorge le sperme de celui qui fut mon mec d'un viol. Je l'avale avec délectation, gorgée par gorgée, en remuant la langue et en me repaissant de chaque lampée... Je jouis comme un malade en gémissant tout doucement ... Plus les jets de sperme s'éjectent, plus je m'affaisse vers l'avant, et je fini le front appuyé contre le mur, la langue passant sur mes lèvres pour ne rien perdre des gouttes de jus que j'ai pu récolter dans les couilles de ma brute. Je suis épuisé, sidéré par ce que je viens de vivre... Je n'y crois même pas !! C'est complètement surréaliste....

Puis je me relève, je me lave très vite sous la douche et je me sèche et ressors à fond les ballons car je ne veux pas laisser partir ce si bon coup... Il est toujours là dans les vestiaires. Je me suis inquiété pour rien. Il m'attendait. Il sourit en me voyant. Il semble très calme. J'ai l'impression que ce n'est plus le même. Que ce n'est plus l'espèce de brute en rut qui m'a violé comme jamais je ne l'ai été. Son sourire est doux et presque rempli d'excuses...  L'avenir me montrera que la bête saura ressurgir lorsque je saurai l'appeler...

On échangera nos téléphones.

J'apprends qu'il est dans la marine, sous-officier et qu'il travaille au même étage que moi dans un autre service.

On se reverra plusieurs fois. Il me baisera même dans mon bureau un jour où je l'avais chauffé par sms. Je vous le raconterai si ça vous dit...

Histoire 100 % vraie

Kiss à tous

Bruno

brunomili

Autres histoires de l'auteur : Viol consentant à l'état-major

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💦 26 Décembre | 58 pages

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