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HISTOIRE

Vietnam

Du haut de mon 1m95, je ne passe pas inaperçu dans les rues très animées de Da Nang. Quasiment toutes les têtes se retournent sur mon passage. Pas toujours discrètement d'ailleurs. Ce n'est pas le premier qui se prend une gamelle en ne regardant plus où il met les pieds. Ca fait bien rire les autres, évidemment.
Cela fait maintenant six mois que ma société m'a envoyé ici pour ouvrir une nouvelle succursale de leur boîte d'informatique. C'est bien sûr la main d'oeuvre nombreuse et très bon marché qui les intéresse, pas les magnifiques paysages de la région, ni vraiment la situation géographique du pays.
La première chose qui m'a vraiment étonné quand j'ai commencé à engager le nouveau personnel, c'est la réelle difficulté d'attribuer un âge à une personne. De par leur taille et la finesse de leurs corps, ces gens paraissent nettement plus jeunes qu'ils ne le sont en réalité. J'ai toujours l'impression d'avoir affaire à de jeunes adolescents. Et ça m'arrange franchement, car moi, mon truc, c'est plutôt les jeunes mecs. Des minous, adultes et majeurs, mais tout juste...
Je n'ai embauché que des jeunes hommes. Pour tous les postes disponibles. Même les secrétaires, qui sont eux-mêmes très étonnés que je n'ai pas fais appel à des femmes, soi-disant plus douées pour ce métier. Bien sûr, ils n'y ont plus vu aucun inconvénient, quand j'ai proposé de les remplacer illico par des représentantes de l'autre sexe. Les plus futés ont directement repéré mes tendances gays. Aucun commentaire, mais le mot est vite passé entre eux. Certains ne se privent pas de jouer les salopes et de bien me faire comprendre qu'ils n'ont rien contre...
Cung (ça veut dire Flèche) par exemple, c'est le mec le plus âgé de l'équipe. Il a 24 ans et franchement je lui en donnerais moins de dix-huit. Menu, musclé sec, pas très grand, mais nerveux comme une puce. C'est le seul de mes employés à parler correctement le français. Un héritage de ses grands-parents et de la période coloniale probablement. Chaque fois que je m'approche de son bureau, il repousse à peine son fauteuil en arrière, écarte largement ses genoux et fait tout pour bien mettre en évidence son petit paquet tentant. Il est prêt à s'offrir, mais je dois faire attention. J'ai un rang à tenir. Ce sont mes employés et je ne peux pas mêler boulot et plaisir. C'est trop dangereux.

Vendredi. Dehors, il fait déjà sombre. La nuit tombe vite dans la région. Je suis seul à l'étage. Il me reste une demi-heure avant que l'équipe de nettoyage envahisse l'espace. J'ai laissé tomber la veste, retiré ma cravate et ouvert quelques boutons de ma chemise pour me sentir plus à l'aise. Alors que je m'apprête à sortir du bureau, Cung attend juste devant l'ascenseur.
Mille courbettes et autant de formules de politesse pour s'excuser de son audace déplacée, je comprends directement qu'il s'est mis en tête d'avoir une aventure sexe avec moi. Je n'ai pas le temps de me défendre, que déjà il est à genoux entre mes pieds, ses deux mains plaquées bien à plat sur la braguette de mon froc trop serré. Ses fins doigts s'affairent sur l'ouverture de la glissière et s'engouffrent dans la chaleur de mon intimité. Il caresse ma bite à travers le mince tissu de mon boxer. Ca réagis très vite dans cette zone. Je déjà suis raide comme un poteau. Je bande comme un fou et la situation dangereuse m'excite au plus haut point. Cung éprouve toutes les difficultés du monde à extraire mon membre tendu de sa cachette. Il est obligé en même temps de baisser l'élastique de mon shorty et de tirer sur ma queue pour la faire apparaître au grand jour.

- Ho... ! fait-il à mi-voix en découvrant mon petit 21*5,5 bien droit, entièrement décalotté et au gland très large et arrondi, dépassant royalement de chaque côté de ma colonne.

Il frôle mon membre rigide plus qu'il ne le caresse. La puissance de mon engin à l'air de lui plaire. Il l'admire avec respect et dévotion.

- J'ai jamais vu si grand... ! dit-il dans un souffle.

Dans la cage d'ascenseur, on entend la sonnerie des cabines qui s'arrêtent à tous les étages. On ne peut pas rester là. La porte s'ouvre et deux mamies Viêt sortent de la cabine en poussant leur chariot. J'ai tout juste le temps de remettre mon attirail en place. La première femme me salue en joignant ses mains et en faisant les habituelles courbettes.

- Finished... you... ! dit-elle en souriant de tous ses chicots.
- Finished... ! répète-t-elle, fière du seul mot anglais qu'elle connaît.

Par politesse, je la salue de la même manière. Elle veut certainement m'annoncer qu'elle a terminé de faire le ménage de mes quartiers privés. D'un geste assez brusque, j'entraine Cung dans le monte charge.

- Viens... ! On va chez moi... !

Cung est très étonné de me voir pousser sur un bouton correspondant à un étage supérieur. En effet, quatre étages plus haut, au dernier niveau sur sept dans le même building, j'ai trouvé un superbe appartement qui convient particulièrement bien à mes diverses activités. Grande terrasse, pas de vis-à-vis. Il ne connaissait pas ce petit détail.
On ne traîne pas. J'emmène directement mon bel employé dans la chambre.
En trois secondes, Cung se retrouve à poil. Je n'ai pas le temps de me retourner, que déjà il se jette sur moi pour me déshabiller, avant de se laisser tomber sur le grand lit rond. Le seul que j'ai trouvé dans cette ville, où mes pieds ne dépassent pas à un bout ou à un autre.

Son corps est bien dessiné. Je me rends seulement compte maintenant de la beauté magnifique de mon collaborateur. Sa peau est mate et d'une couleur très attirante, entre l'ocre et le bronze. Il me regarde dans les yeux. Un bras derrière la tête, me fait découvrir une jolie touffe de poils très noirs dans le creux de son aisselle. Je ne vais pas résister à la lui lécher. Les aréoles autour de ses tétons pointus sont d'un brun très foncé. Sa bite et ses couilles elles aussi sont beaucoup plus sombres que tout le restant de son corps. Il est doté d'une toison pubienne très fournie en poils épais, très noirs et raides comme ses cheveux.

Je me couche de tout mon corps sur lui. Cung est tellement fluet que j'ai peur de l'écraser. Il me serre dans ses bras. Je couvre son visage de baisers, trouve sa bouche et enfourne ma langue à la rencontre de la sienne. Il est rare de trouver un asiatique qui sache embrasser de cette manière. Mais Cung n'en est certainement pas à son coup d'essai. Son haleine est fraîche et sa salive a bon goût. Je lèche son menton. Mes lèvres glissent le long de cou fin, se promènent sur sa poitrine musclée et ma langue s'en va agacer, l'un après l'autre, ses petits mamelons dressés comme des ergots. Cung gémit. Il a posé ses deux mains sur ma tête, mais ne me force à rien. Il tremble légèrement.
Ma bouche poursuit la découverte de son corps en descendant lentement sur son ventre plat, en direction de son nombril. La cavité est profonde. Je lèche ce creux comme un affamé, avant de continuer vers son sexe raide et frémissant, qui se tend face à mon visage. Cung serre les fesses. Son bassin se soulève dans l'attente de la caresse ultime. Il se saisit quand j'effleure ses couilles serrées dans leur sac, avant d'empoigner sa queue à pleine main. Elle est de taille plus que raisonnable, puisque son noeud dépasse largement de ma paume. Bien au-dessus de la moyenne nationale. Sa queue est chaude. Elle frémit d'impatience. Je la redresse pour l'écarter de ses abdos saillants. Une grosse perle de précum suinte hors de son méat. Le coup de langue que je donne pour la récupérer, fait pousser un petit cri aigu à Cung. Je garde quelques instants son gland enfermé entre mes lèvres, puis, d'une seule bouchée, j'avale sa pine dans son entièreté. Elle est bonne sa bite. Ferme et douce à la fois, puissante et vigoureuse. Il bute contre le fond de ma gorge. Je me retrouve avec le nez enfoncé dans sa toison délicatement parfumée au musc naturel d'homme en chaleur, mélange de sueur légère et de testostérone. J'adore. Ses " cheveux " pubien titillent mes narines.
Cung gigote sur le lit. Il ne sait pas quelle attitude adopter.

- Cool... ! Laisse-toi faire... !

Son membre est aussi dur que de l'acier. Il tressaute dès que je le touche. Je le suce lentement, avec une infinie douceur. Ma langue tourne autour de son gland et mes lèvres enrobent la totalité de sa colonne, glissant centimètre après centimètre sur sa chair brûlante. Je veux le faire grimper au sommet du plaisir qu'il recherche. Je veux le faire gueuler de bonheur.
Pour sa première expérience avec un étranger, il faut que ce soit parfait.

Sa queue est prise de tremblements saccadés. Cung écrabouille les draps entre ses doigts. Il ne faut pas qu'il jouisse maintenant. C'est trop tôt. Alors, sans lui laisser le temps de réfléchir, je soulève les jambes de mon collaborateur et je vais directement poser ma langue sur sa rosette palpitante. La rondelle se contracte comme dans une ultime tentative de résistance, mais finit aussi vite par se détendre. Peu à peu, la petite fleur s'ouvre sous mes caresses précises. D'un ton brunâtre mais clair, l'oeillet tout plissé est brillant de salive et accueille ma langue de plus en plus profondément. Cung ne peut retenir ses râles de plaisirs. Il mouille carrément du cul. La saveur intime de son trou de balle est exquise. Il pousse son popotin à la rencontre de ma bouche. Il est chaud comme la braise, prêt à exploser. Il me faut passer à la vitesse supérieure, maintenant.
Sa rondelle, soigneusement épilée car il a bien préparé son coup, me fait de l'oeil. Elle tressaille. Cung retient de lui-même ses jambes par les creux de ses genoux. Le garçon m'est totalement offert.

Je mouille un doigt de ma salive et je le pointe sur le centre de la cible. La première phalange rentre toute seule et sans arrêter ma progression, je fais suivre tout le restant de mon index. Tel un étau, le muscle profané se resserre autour de l'intrus et tente de me garder coincé à l'intérieur de son fourreau. Lentement, je fais tourner mon doigt sur lui-même, avant de le ressortir pour mieux le réhumidifier dans ma bouche. Ce gars a un goût exquis. Une véritable friandise exotique. Toute la saveur de l'Asie.
Je remouille mes doigts et cette fois-ci, je rajoute le majeur. Cung couine sous la pression. Mes doigts sont larges. Je les fais pivoter d'abord, puis je joue du piston. J'y vais de plus en plus vite. Au moment où je veux introduire un doigt supplémentaire, tout le corps de Cung se tend. Il n'est pas habitué à une telle grosseur. Il respire fort. Il souffle comme un buffle. Ses yeux sont dilatés par la surprise et sa bouche est grande ouverte à la recherche de l'air dont il a été privé pendant une fraction de seconde. Mais petit à petit, il se relâche. Il m'adresse un large sourire d'encouragement. J'ai le feu vert. Je peux y aller...

Je me redresse légèrement. Machinalement, Cung pose ses jambes sur mes épaules. Un p'tit coup de gel. Je pointe mon gland sur son trou. Il me suffit de pousser un tout petit peu et mon large gland pénètre d'un bloc dans son petit cul tout chaud. Cung pousse un cri strident. Des deux mains, il tente de retenir mes cuisses pour que je n'aille pas plus loin.

- Waoooh... ! C'est gros... !

Mon noeud distend terriblement son petit anneau intime. Je reste un moment immobile, pour lui donner le temps de s'adapter. Qu'est-ce qu'il est serré. Je sens les parois de son fourreau masser instinctivement la tête de ma grosse queue. C'est délicieusement bon.
Cung écarte ses fesses étroites à l'aide de ses deux mains. Ma pine continue de progresser dans son étui d'amour. Quelques contractions me font redoubler de tendresse. Lentement, je fais un léger mouvement de recul. J'ai les bras tendus. Je n'ose pas relâcher une main, de peur de faire un geste trop brusque. Je m'enfonce millimètre par millimètre. Les contractions s'amplifient. Je suis prêt à abandonner son enculage. Je ne veux pas le forcer, pas le blesser.

- Vas-y... ! Rentre... !

Miraculeusement, tous les muscles de son cul se relâchent d'un seul coup. Cung se donne totalement à moi. Son cul s'ouvre. Je m'enfonce en lui d'un seul trait, jusqu'à la garde, très profondément. Il a fermé les yeux et il pousse une longue plainte de satisfaction. Il est chaud. L'étroitesse et la douceur de sa gaine moulent parfaitement toute l'épaisseur et toute la longueur de mon membre durci à l'extrême. Les muscles de sa gaine massent ma queue de l'intérieur. Tendrement, je me mets à lui pomper le trou. A chaque mouvement, le jeune Viêt lâche un petit cri. Sa voix a changé. Elle est devenue beaucoup plus stridence, aigue, comme celle d'une femelle.
Je me redresse de tout mon corps. Maintenant je peux m'accrocher à ses hanches et à ses cuisses. Je peux caresser sa poitrine, son ventre et sa belle bite. Enfin je réalise mon rêve de baiser un jeune asiatique. Mon premier. Cung soulève sa tête pour mieux voir mon gourdin entrer dans son cul. Son anneau est terriblement distendu et se referme autour de ma grosse hampe, en me serrant très fort. Mes mouvements de bassin sont réguliers. A chaque fois, je le pénètre de toute la longueur de mon chibre.

- Vas-y... ! Bouge bien dans mon cul... ! Il est pour toi... !

Je n'en peux plus. Je sens la sève monter depuis mes couilles. Je l'encule de plus en plus vite et de plus en plus fort. A chaque coup de reins, Cung est secoué comme un prunier. Tout à mon plaisir, j'halète comme une bête en rut. Je grogne, je souffle. J'essaye de m'enfoncer encore plus loin dans le ventre de mon beau collègue. Je me cramponne à ses flans pour avoir plus de force. Puis tout à coup, je m'immobilise, figé dans le fond de ses entrailles, la tête basculée en arrière et je beugle mon orgasme, en crachant toute ma semence dans son fondement. Une marée de foutre chaud se répand en lui. Un tsunami. Je me vide complètement dans son joli petit cul de garçon. Puis je me laisse aller et je m'étends de tout mon long sur lui.
Nos corps sont ruisselants de sueur. Nous nous enlaçons passionnément, le temps que notre respiration retourne peu à peu à la normale. Ma bite est très sensible après cette puissante jouissance.

- J'aime tes poils partout sur ta poitrine... ! C'est doux... ! C'est beau... !
- Et moi j'aime beaucoup ton corps..., mais il serait encore plus beau si tu n'avais pas de poils du tout... ! Epilé partout, comme ton cul... ! Tout nu et tout doux à caresser..., comme la peau d'un bébé... !

Dans un mouvement souple, tel un félin de la jungle, Cung vient s'asseoir au dessus de moi, à califourchon sur ma poitrine. Ses mains agiles glissent sur mes poils et taquinent tendrement mes tétons durcis et gonflés. Il me sourit. Il bande bien raide juste sous mes yeux. Tellement, que sa bite reste collée à son ventre. Du bout des doigts, il pousse sur sa tige frémissante et la pointe vers mon visage. Je redresse la tête. Je mouille mes lèvres avec ma langue et je les écarte. Le jeune asiate fait coulisser son gland baveux tout autour de ma bouche. Je trouve ça très agréable et super excitant. Je m'applique, car l'idée de lui faire plaisir me plait. Je ne veux pas seulement lui tailler une pipe parce qu'il en a envie, je veux qu'il prenne son pied parce que c'est de moi qu'il a envie.
Sa queue glisse entre mes lèvres et envahi parfaitement l'espace entre ma langue et mon palais. Je salive beaucoup et lui, il mouille comme une fontaine. Ma langue entre en action, mes joues se creusent. Je le suce comme une gourmandise aigre-douce, typique de ce pays si accueillant. Il sourit en me regardant. Son visage est beau et détendu. Il pose ses mains de chaque côté de ma tête et se redresse un peu. Du coup, il rentre plus profondément dans ma bouche et passe même à l'arrière de ma luette. Il fait doucement aller et venir son bassin, puis au fur et à mesure que monte son excitation, il m'impose un rythme de plus en plus soutenu. Je ne détourne pas mon regard, acceptant ainsi de lui laisser gérer la situation. Son sourire et ses yeux dévoilent alors un garçon plus vicieux que celui qu'il a été jusque là. Et ça me plait.

- Tu suces bien... ! Huuhuuummm... !

Il se laisse basculer vers l'avant et prend appui sur ses bras, plaquant ma tête sur l'oreiller défoncé.
Cung recommence alors ses vas et vient dans ma bouche. Chaque fois qu'il en ressort, je me gargarise la gorge avec sa mouille. Je grogne de plaisir dès qu'il reprend ses pompages. Je le laisse faire à sa guise, pour qu'il retire un maximum de plaisir de ses actes d'amour. Je prends vraiment mon pied à me faire baiser la bouche par mon collègue.
Je ne reste pas inactif plus longtemps. Je caresse ses cuisses et ses fesses, avant de remonter sur son dos et sur ses épaules. J'aime sentir ses muscles saillir, alors que tout son corps bouge sur moi. J'enserre sa taille dans mes bras et je pousse quelques petits râles de plaisir pour l'encourager. Cung accélère et moi j'encaisse bien ses coups de reins. Je bande de nouveau.

- Je peux éjaculer sur toi... ?

Ma bouche est pleine. Je ne peux faire qu'un léger mouvement affirmatif de la tête. Un premier jet puissant m'atteint dans le fond de la gorge. Je m'empresse de tout avaler. Dieu que c'est doux ! Cung se retire en triple vitesse. Il se branle à toute allure. Tout son corps tremble de ravissement. Il se laisse aller et il explose en de nombreuses giclées qui se suivent comme les rafales d'une mitraillette. Il lâche toute sa purée. Une quantité de foutre incroyable. Le sperme m'inonde le torse. Deux gerbes m'atteignent en pleine gueule. Je sens son jus couler depuis mon menton jusque dans mon cou. Je n'ose pas ouvrir les yeux, j'en suis tout barbouillé. Le reste de sa lave brulante inonde les poils de mon torse. Ca colle de partout.
Cung est fier et heureux de m'avoir souillé de son sperme.
Je pue le foutre et toute la chambre empeste le sexe.
( à suivre... )

C?ng hoà Xã h?i Ch? ngh?a Vi?t Nam
Deuxième partie

(par facilité, les dialogues sont en français plutôt qu'en anglais)

Le week-end a été calme. Je me suis baladé dans la ville pour trouver de nouveaux repères et j'ai testé quelques " restaurants " locaux assez spéciaux. Je commence à bien m'habituer à leur style de vie, mais le lundi matin me rappelle à la dure réalité du boulot.
Le personnel est content. Il est rare pour eux d'avoir deux jours de liberté par semaine. La règle chez eux est de travailler même le samedi et dans certaines entreprises, ils ne regardent pas à leur sucrer le dimanche aussi...
Pas étonnant que je reçoive encore chaque jour, une masse de candidatures très motivées. Malheureusement, les effectifs sont au complet.

Ce matin je suis un peu en retard. Une panne de réveil ça arrive même au Vietnam. Comme tous les jours, je passe dire personnellement bonjour à chacun des employés. Quand j'arrive à hauteur de Bâo (précieux), il veut se lever pour me saluer, mais je l'en empêche rapidement en posant mes deux mains sur ses épaules. Je sens sa chaleur sortir de son corps et irradier complètement le mien.
Bâo à dix-huit ans. Il fait partie des plus jeunes de l'équipe. Il est mignon comme tout et il a toujours le sourire aux lèvres. C'est un petit gabarit très fragile. Il a des allures un peu efféminées, mais il tient son rang. Ce n'est pas une folle comme souvent les gays dans la Thaïlande voisine, non, lui il a des manières délicates. Sa beauté rayonne dans le bureau. Rien que de le voir ainsi à ma portée, vulnérable à cause de sa timidité, ça me fait bander comme un taureau. Il me donne vraiment envie.
Je me penche par-dessus son épaule pour mieux suivre sur son écran, l'évolution du programme qu'il est en train de créer pour une grosse boîte américaine. Mon bassin se colle à son dos. Il doit bien sentir le volume et la rudesse de mon cylindre en érection au travers du mince tissu de sa chemise. Un léger frisson le secoue. Il n'ose plus bouger. Aussi, je ne vais le laisser plus longtemps mal à l'aise de ma présence et je le quitte, non sans lui faire une tendre caresse dans le cou et à la base de ses cheveux noir geai. Je sens sur moi son regard, jusqu'à ce que je passe la porte vitrée de mon bureau.
Plusieurs fois au cours de la matinée, Cung à essayé de capter mon attention au travers des vitres de mon bureau cage et quand enfin mon regard croise le sien, il parvient, en relevant la manche courte de son t-shirt, à me montrer son aisselle nue. Il s'est rasé pour me faire plaisir. Il n'a plus de poils sous les bras. Super. Par gestes, j'essaye discrètement de lui demander s'il l'a fait partout. Son sourire banane et le dodelinement surexcité de sa tête me le confirment. Je lui fais alors signe de venir me rejoindre dans mon appartement pendant la pause déjeuner. Ca me permettra de vérifier, de plus près, la nouvelle douceur érotique de la peau de mon jeune collègue-amant.

On frappe à la porte. Surprise, c'est Cung accompagné de Bâo. Ce dernier est rouge comme une pivoine et baisse les yeux et la tête, tellement il est gêné de se retrouver devant moi, en privé.

- Il ne voulait pas venir... ! C'est moi qui l'ai forcé... ! dit Cung en rigolant.

Et il rajoute aussitôt :

- Tu sais, boss..., Bâo est encore vierge... et il est amoureux de toi... ! Il me l'a déjà dit la semaine dernière... ! Et je sais aussi qu'il aime la force et même une légère brutalité... ! Il aime être soumis, voire dominé..., pour autant que cela reste dans le respect de l'autre... ! C'est sa première expérience de sexe... et il aimerait que ce soit avec toi... ! Je lui ai dit que tu avais un très gros pénis et que ça risquait de lui faire mal..., mais il veut quand même essayer... !
- C'est très bien, Cung... ! Mais on a peu de temps le midi... ! Alors juste une pipe... ! Déshabille-le... !

Le jeune garçon n'a rien compris de notre dialogue en français, mais après un petit sursaut qui le sort de sa torpeur, il accepte sans rechigner de se laisser faire par son compatriote.
Je pousse sur ses épaules pour qu'il se mette à genoux devant moi. Ma queue et les poils de mon pubis doivent puer le bouc en rut. J'ai bandé plus d'une fois ce matin, j'ai beaucoup mouillé, j'ai dû pisser à deux reprises et je n'ai pas eu le temps de me rafraîchir. Pourtant, Bâo a l'air d'apprécier mes senteurs intimes quand il ouvre mon pantalon, que celui-ci glisse en accordéon sur mes pieds et que son visage se retrouve seulement à quelques centimètres de la grosse bosse qui déforme le tissu de mon shorty trop serré. Je me frotte sur sa figure et sa bouche entre en contact direct avec l'épaisseur de mon gourdin. Il mouille le tissu du bout de sa langue, s'attarde sur mon gland. Je sens la chaleur de son haleine qui enveloppe ma bite déjà prête à exploser. Je prends ses mains et les pose sur l'élastique de mon slip. Il libère mon sexe, dont le gland saute contre le tranchant de son nez. Bâo me regarde avec des grands yeux surpris, un peu inquiet de la taille de mon engin. Il prend ma queue dans sa main chaude. Il la tâte, la regarde sous toutes les coutures et avance son visage pour s'en caresser avec. Il fait passer mon gland sur son front, ses joues, son nez et ses lèvres. Ma queue grossit encore à vue d'oeil. Je n'en peux plus d'attendre.

- Maintenant, suce... !

Sa bouche s'ouvre très largement. Mon gland envahit tout. Il ne peut pas prendre plus. Mon gros champignon est démesuré comparé à son tendre visage de jeune adulte à peine formé. Pas besoin de resserrer les lèvres, elles m'enveloppent déjà complètement. Machinalement, il se met à faire des allers-retours avec sa tête. Très lentement. Il s'applique à exercer une certaine pression avec ses lèvres pour me donner un maximum de plaisir.

- Regarde-moi... !

Cung est à côté de nous. Il n'intervient pas. Dans son froc, je peux facilement deviner qu'il y a une fameuse trique qui le démange.
J'insiste un peu. Je pose résolument mes mains sur le sommet du crâne de Bâo et je l'attire encore plus vers mon bas-ventre. Je suis contre le fond de son palais et il y a encore un grand bout de mon manche qui reste en dehors de sa bouche. Ses joues se gonflent. Il réprime très difficilement quelques haut-le-coeur. Ses yeux sont remplis de larmes, mais il ne régurgite pas le gros bout trop épais de ma queue. Il s'accroche à mes cuisses pour que je continue mes manoeuvres. Il en veut vraiment.
Je suis dos contre le mur. Je pousse de plus en plus mon bassin vers l'avant. Je le force à garder sa bouche empalée à fond sur mon braquemart qui est dans une forme pétante, dressé dans toute sa splendeur, frémissant d'autorité. Ma main glisse sur ma nuque, imprimant une pression assez vigoureuse qui a pour effet d'enfoncer ma queue encore un peu plus profond dans sa gorge. Bâo manque de s'étouffer. Il suffoque. Il tousse comme il peut. De la bave ressort à gros bouillons par les trous de son nez, mais il tient bon. Je sens bien que mon gland est passé au-delà de sa luette et qu'il s'est solidement engagé dans son gosier.

- C'est bien... ! Tu l'as presque toute avalée... !

Je ressors très lentement de sa bouche écumante et je le laisse respirer un peu.
Son visage est trempé de larmes. Il halète. Son cou, son menton et un bonne partie de son buste, sont recouverts du trop plein de sa salive écumante.

- Tu veux qu'on continue... ?

Il opine d'un léger mouvement de la tête.

- Tu vas tout avaler... ?

Un nouveau hochement me donne son accord. Dès cet instant, il ne gère plus rien. Il ne sera plus qu'un trou dans lequel je vais pouvoir prendre mon pied. A fond. Je glisse sur sa langue et je baise sa bouche directement en gorge profonde. Le rythme de mon va-et-vient devient au fil de l'enchaînement de mes coups de reins, de plus en plus appuyé. Serrant mes doigts dans ses cheveux, je lui impose le tempo infernal d'une pipe sauvage. Mes mains attirent sa tête et sa bouche sur toute la longueur de mon sexe, le tout agrémenté de solides coups de reins. Le coté super excitant que je ressens dans cette baise, c'est la difficulté que le garçon éprouve à reprendre son souffle et le choix de l'instant le plus tardif possible, où je vais lui laisser retrouver ses esprits.
Mais à un moment, Bâo n'en peut plus. Il manque d'air. Instinct de survie, il me repousse violemment par les cuisses. Il baisse la tête. Il a le souffle court. Mais très vite, il a envie de m'avoir à nouveau dans sa bouche. Il n'a qu'à me regarder pour se remettre à ma disposition. Il entrouvre à peine les lèvres. Illico, je m'engouffre dans sa bouche, recommençant sans pitié mes puissants et violents coups de queue. Sadisme ?
Je suis surexcité. J'ai rarement été dans cet état là.
Au bout d'un long moment de fellation de plus en plus sauvage et brutale, je me retire soudainement d'entre les lèvres du boy, mais je reste accroché juste sur le bord de ses dents. Un jet épais jaillit de mon méat. Mon jus remplit toute sa bouche. Bâo avale aussi vite qu'il le peut. Il reprend mon gland, serre les lèvres et ingurgite tout le foutre que je n'arrête pas de gicler sur sa langue. Il déglutit plusieurs fois de suite, tellement la quantité de semence que je lui donne à boire est impressionnante. Seul un petit filet coule sur son menton, vite rattrapé par le bout de son doigt et léché avec gourmandise.
Malheureusement pour nous, le boulot nous attend. Je leur demande de venir me rejoindre le soir même, après de départ des autres collègues.

Bâo est rayonnant pendant tout le restant de la journée. Il virevolte d'un bureau à l'autre, joyeux comme un pinson. Ca discute ferme sur le plateau. Les autres se demandent ce qui lui arrive.

Bâo est couché sur le lit, nu comme un ver. Il a les bras repliés et les mains sous sa tête. Son corps est très mince, mais svelte et gracieux, bien dessiné et délicatement musclé. Cung le caresse distraitement, le temps que je finisse de prendre ma douche. Eux y sont passés dès leur arrivée chez moi.
Ses boules sont bien serrées dans leur sac de peau marron foncé. Son raphé est vraiment très saillant. Ca m'excite de penser à la sensation que pourrait en ressentir ma langue. Bien entendu, cette vue enchanteresse ne me laisse pas de marbre. Ma queue se redresse toute seule et entraine dans son mouvement, la toile de la serviette qui ceint ma taille. Je contemple le visage épanoui de Bâo, détendu et heureux. Il est tout à fait à son aise, pourtant il sait très bien que dans pas longtemps, il va devoir passer à la casserole et par la même occasion, perdre définitivement sa précieuse virginité. Moi, quand ça m'est arrivé, j'étais assez stressé et je ne tenais pas en place.
J'ai l'insigne honneur de pouvoir lui prendre sa virginité. Je vais le déflorer. Je vais être son premier homme. Pour moi aussi c'est nouveau d'ouvrir un jeune mec à la vie passionnante du sexe entre hommes. C'est la première fois de ma vie que ça m'arrive.

- Tu es prêt... ? On va y aller tout doucement la première fois... ! Après on verra pour y mettre un peu de brutalité comme tu aime... ! Une chose à la fois... !

Il se jette littéralement sur moi et il m'embrasse à pleine bouche. Je lui rends son baiser avec plaisir. J'effleure sa poitrine de ma main droite et je joue du bout de mon doigt avec son téton tout dur. J'approche ma tête de son buste et je prends son doux mamelon entre mes lèvres. Je le suce, je le mordille tendrement. Il pousse un petit gémissement d'aise. Je caresse son ventre, tourne autour de son nombril. Tout en continuant à téter son sein, je m'enhardis à faire descendre ma main vers son entrejambe. Bâo me laissait faire, m'aidant même dans ma manoeuvre en écartant plus largement ses jambes. Mes doigts courent sur son périnée. Je constate seulement maintenant, que le garçon est totalement épilé. Mon rêve, mon fantasme. Un bel asiatique et en plus, tout nu comme un bébé. Serait-ce une des petites idées vicieuses de Cung ? Je le regarde. Son sourire me confirme. Je ne peux pas m'empêcher de caresser son tendre pubis du plat de la main. Rien que ça me ferait juter de bonheur.
Mon index explore le bas de la raie de ses fesses. Sa fente est vaguement ouverte. Je sens une légère humidité qui n'a rien à voir avec la transpiration. Les lèvres de son cul sont déjà glissantes. Je pousse tout doucement mon majeur vers l'intérieur de son petit trou à plaisir. Il se laisse pénétrer sans protester, bien au contraire. C'est comme s'il n'attendait que cela. Je peux introduire mon doigt complètement dans ses entrailles, sans rencontrer la moindre résistance.
Je reprends ma caresse buccale sur son sein et je tente d'introduire deux doigts dans sa fente. Cung lui a bien léché la rondelle. Il y a mit beaucoup de salive et grâce à son travail précis et minutieux, il n'y a pas d'avantage de résistance qu'avec un seul doigt. Bâo gémit de plaisir :

- Oh... ! C'est bon... !

Il parait apprécier plus encore l'intrusion de mes doigts, quand je commence un lent mouvement de masturbation, d'avant en arrière. Il accompagne mon intrusion avec son bassin, venant à la rencontre de ma main. Je lui masturbe le cul et il vient à ma rencontre comme par réflexe. Il fait le geste de tendre sa main vers sa bite tendue. Il a envie de se branler pendant que je m'occupe de lui, mais je l'empêche de se toucher. Je veux qu'il se concentre uniquement sur son troufignon. C'est là que tout va se passer. Il a les yeux fermés et il se passe la langue sur les lèvres dans une attitude très érotique, comme s'il était dans un rêve. Visiblement ma caresse lui plait. Je continue à fouiller son intimité jusqu'à ce qu'il se mette à gémir encore plus fort, presque inconsciemment. Son bassin remue de plus en plus vite, avec des mouvements de plus en plus rapides et plus courts. Soudain, il pousse un petit cri très aigu et tout son corps se met à trembler. Je comprends vite qu'il vient de jouir du cul. Son tout premier orgasme anal. J'arrête de faire bouger mes doigts, mais je les laisse plantés bien au chaud dans son anneau, pour que boutonnière ne se referme pas. Bâo reste un long moment inerte, les yeux fermés, la bouche entrouverte. Il m'attire contre lui et m'embrasse avec passion. Il se love d'avantage contre moi. Amoureusement.
Ma serviette s'est écartée. Elle est étendue sur le lit. Bâo réalise seulement l'état de ma bandaison. Ma queue est dure, longue, développée à son maximum. Elle est impressionnante à ses yeux de puceau. Il se rend compte que c'est cet énorme bout de chair qu'il va devoir se prendre dans le cul. Il me jette un regard quelque peu angoissé, comme s'il redoutait ce qui allait lui arriver.

- Rassure-toi... ! Aujourd'hui, je ne vais pas te violer... ! Je vais juste te faire mien... ! En douceur... ! Je vais prendre ta pureté... ! Elle est pour moi... ! Si ça ne va pas, tu me le dit... ! D'accord... ? On arrête tout et on recommencera plus tard... ! OK... ?

Le jeune garçon sourit faiblement et se détend instantanément. Il passe le dos de sa main sur ma grosse queue tendue contre son flan, comme pour tester l'effet que me fait sa caresse. Il la prend à pleine main. Son câlin n'est pas très expérimenté, mais il est volontaire.

- Prends-moi... !

Pendant tout ce temps, Cung s'est consciencieusement appliqué à enduire mon zob de graisse. De manière très généreuse. Je suis prêt.

Bâo se couche sur le dos et pose les plantes de ses pieds bien à plat sur ma poitrine, ses jambes repliées sur son ventre, m'offrant ainsi de lui-même son ultime rempart en sacrifice. Cung dépose en vitesse une grosse noisette de lubrifiant en plein centre de la rosette de son ami. Quand je sens frémir le garçon en chaleur, je place mes mains sous les vigoureuses petites fesses, afin de le soulever davantage. Elles s'écartent toutes seules. C'est Cung qui dirige mon membre tendu à l'extrême vers le petit trou palpitant. Je commence alors à pousser avec une vigueur maîtrisée, tout doucement. Je sens le passage s'ouvrir progressivement pour faire place à mon énorme gland épaté. La bouche de Bâo s'ouvre au fur et à mesure que la rondelle de son cul se dilate sous la pression continue de ma grosse queue, mais aucun son n'en sort. Ca y est. L'élastique de sa rondelle vient de se resserrer avec force derrière la couronne boursoufflée de mon gros noeud. Le plus dur est passé pour lui. Je peux maintenant faire glisser le restant de mon manche dans son étroit fourreau. Très lentement, mais irrémédiablement, je poursuis mon avancée. Millimètre par millimètre. Rien de mieux qu'un bon petit cul serré, chaud et humide, pour prendre soin de mon sexe, du gland jusqu'aux couilles. Bien profondément.
Je me retiens de céder à la tentation de plonger d'une seule poussée à l'intérieur de son ventre. Je poursuis ma lente invasion, la pénétration tant désirée par ce garçon, en épiant dans les traits de son visage, les émotions qu'il peut ressentir. Sa frimousse est radieuse, comme illuminée par la béatitude. Son regard est fixé dans le mien, me communiquant tout le plaisir et toute la joie qu'il ressent à être pris de la sorte.

- Ca te plait... ?
- Oh oui, boss... ! A en mourir... !

Ses mains caressent ma large poitrine velue, glissent sur mes hanches, puis viennent s'agripper à mes cuisses dures et nerveuses. Il m'attire à lui.

- J'aime ça... ! murmure-t-il.

Je continue de m'enfoncer dans les chairs chaudes et douces de son cul magnifique, petit à petit, jusqu'à ce que ma lance dévastatrice soit complètement et solidement ancrée en lui. Alors Bâo contracte plusieurs fois de suite les muscles de sa rondelle. Ca provoque chez moi un effet de secousse sismique, qui fait que je m'enfonce encore plus profondément dans ses boyaux. Je suis coincé à mort. Le garçon m'attire vers lui, jusqu'à pouvoir toucher mes seins avec ses lèvres. Il les lèche, les suce et les mordille avec maîtrise.
D'une main, j'attrape son sexe brûlant. Je le branle en un massage érotique, parfois doux, parfois presque brutal, tout en commençant à faire bouger mon bassin d'avant en arrière, en de lentes mais vigoureuses poussées, m'enfonçant dans son cul avec force et m'en retirant très lentement. Puis j'arrête tout. Je me sépare de lui et je sors de ses entrailles avec douceur. De mes mains puissantes, je le fais mettre à quatre pattes. Il écarte largement ses jambons pour que je puisse facilement venir m'agenouiller derrière lui. Je me couche sur son dos pour pouvoir le caresser par en-dessous et je repositionne mon pieu érigé entre ses petites fesses dures. C'est à nouveau Cung qui me guide de ses mains. Bâo tend son postérieur pour rejoindre ma queue, jusqu'à ce que je le pénètre de nouveau et que je le remplisse bien profondément.
Je l'encule un peu plus vivement, maintenant. Mes poussées sont plus fortes et plus rapides. Plusieurs fois d'affilée, je ressors complètement de son cul pour pouvoir mieux m'y replanter, d'un seul coup de reins, directement jusqu'à la garde. Dedans, dehors, dedans, dehors. Je le pompe. Bâo gémit à n'en plus finir. Et ce n'est pas de douleur. Oh que non...
Je l'embrasse dans le cou et sur les épaules. Je lui mordille le lobe de l'oreille. Bâo s'accroche à mes cuisses en mouvement, comme pour me garder contre lui. Le rythme de la pénétration se fait de plus en plus rapide, presque affolé. Je tremble de la tête aux pieds. Je donne quelques poussées plus désordonnées et plus fortes encore, et je finis par me vider dans les chaudes profondeurs de ce cul qui n'est plus vierge désormais. Je suis secoué d'intenses soubresauts de plaisir, accompagnés de sourds grognements de passion. J'inonde les entrailles du garçon dans une frénésie de jets vigoureux. Je me purge les couilles dans son cul et après avoir lâché un dernier jet de foutre dans son fourreau, je me sépare de lui définitivement. Nous nous effondrons l'un à côté de l'autre, en nage, haletants après ce tendre effort. Nos corps sont moites de transpiration. Ils brillent de notre sueur animale. On se colle l'un contre l'autre, enlacés comme des amoureux, à nous rouler de bonnes pelles de mecs.

- Oh c'est bon... ! J'ai bien senti quand tu me mouillais à l'intérieur... ! C'est agréable... ! J'aime ton pieu brûlant quand il palpite au fond de moi... ! J'aime le sentir vivre dans mon corps... ! J'aime quand tu le pousse en moi pour me remplir... ! J'aime le sentir danser pour moi tout seul... ! Tu m'as fait découvrir quelque chose que je veux encore... ! Merci de m'avoir donné ce bonheur... !

Je repousse Bâo sur le dos. Il comprend immédiatement ce que je veux et pousse ses hanches étroites vers ma bouche entrouverte. Son splendide dard de chair palpitant glisse entre mes lèvres et envahi ma bouche brûlante. Sa queue est douce et vigoureuse. Elle est ligneuse comme un cep de vigne, parcourue tout du long d'une épaisse veine bleutée. Il n'est pas circoncis, mais son gland juteux est parfaitement décalotté. Sa fraise bien dessinée dégorge d'une délicieuse liqueur de mâle. Mes papilles s'en régalent. Bâo pose ses mains sur ma tête et se met à balancer les hanches, d'avant en arrière, dans un rythme endiablé. Ses mouvements sont désordonnés. Il vient régulièrement buter contre les parois de mes joues. Il bute contre mon palais. Il est trop excité et il ne tarde pas à atteindre le point de non retour. Aussi, dés que je sens jaillir les premiers jets de sa douce semence, je pousse ma tête en avant, j'enfonce le bout de sa bite dans ma gorge et je retiens ma respiration jusqu'à ce qu'il se soit vidé de tout son élixir de vie, directement dans mon estomac. J'avale goulûment sa lave spermatique, en poussant un grand soupir de satisfaction.

D'après ce que je peux comprendre en me dirigeant vers la salle de bain, c'est que Cung a dû jouir plusieurs fois, en regardant de très près le spectacle que nous lui avons offert sans tenir compte de sa présence.

- Désolé Cung..., mais je n'ai plus assez de force pour toi... ! Une autre fois... !

Pendant que je prends ma douche, je les entends discuter de manière très enflammée.
( à suivre... )

C?ng hoà Xã h?i Ch? ngh?a Vi?t Nam
Troisième partie

Anh Tù (élégant) frappe à la porte vitrée de mon bureau. D'un geste de la main, je le fais entrer. Cung nous observe de loin. Son regard est embarrassé. Serait-il jaloux ? Je devrai faire attention.
Anh Tù est une très bonne recrue pour le bureau. Doué, sérieux et travailleur, il a déjà résolu pas mal de problèmes dans les programmes informatiques que nous créons. Il est assez grand, élancé, c'est le modèle type du beau vietnamien tel qu'on se l'imagine. Un visage ovale, bronzé. Une belle tignasse de cheveux bien entretenus. Une fine moustache clairsemée orne sa lèvre supérieure et encore et toujours, ce merveilleux sourire...

- Boss... ? Je peux te parler d'un motif privé... ?
- Bien sûr... ! Assieds-toi... !
- Pas trop longtemps... ! Les autres font attention à tout ce que tu fais... !
- Alors, pour être certain..., viens me retrouver ce midi au bar français de la plage... ! On déjeunera ensemble... ! Aux autres..., tu diras que tu es venu me demander l'autorisation de prolonger ta pause..., pour des raisons familiales et privées... !

Anh Tù est parti du bureau avant tout le monde. De loin, il me fait un signe amical, au vu de toute l'équipe. Il se rend immédiatement au restaurant pour m'attendre.

- Boss... ! Sans vouloir te vexer et sans vouloir me mêler de ta vie privée..., tu dois faire attention à ce que tu fais... ! Au bureau..., Bâo ne sait pas se taire... et il raconte à tout le monde que..., heu..., que c'est toi qui..., heu..., qui l'a dépucelé... ! Il raconte aussi que tu es membré comme un cheval... ! Une queue énorme et qu'il l'a bien senti passer quand tu l'as transpercé agressivement... ! C'est vrai... ? Tu l'as violé... ?

Je lui narre alors dans le détail, tout ce qui s'est passé durant notre soirée. Que tout s'est déroulé dans le calme pour sa première initiation et surtout que c'est Bâo lui-même qui a voulu en arriver là. Je lui fais même part de la présence tout passive d'un autre collègue à lui. Cung. Anh Tù est tellement estomaqué de ce qu'il vient d'entendre, qu'il en oublie de porter ses baguettes à sa bouche.

- Boss... ! Moi aussi je voudrais bien voir le gros sexe d'un étranger... ! Ici ce n'est pas facile, tu sais... ! Da Nang n'est qu'un gros village, tu sais... ! Tout le monde sait ce que fait l'autre... ! Tu accepterais que je te fasse un bon massage... ? Pas de sexe... ! Uniquement un massage de relaxation pour te détendre... !
- OK... ! OK... ! Comme tu veux... ! C'est toi qui décide... !

Mais dans ma tête, je sais déjà très bien que je vais le mettre dans mon lit. Lui aussi je veux me le faire.
Dorénavant, je me tiens un peu à carreau avec mes deux amants. Je ne veux pas créer la zizanie entre mes collaborateurs. Anh Tù ne viendra me rejoindre que trois jours plus tard dans mon antre de plaisir. Je lui ai indiqué le secret de l'entrée des livreurs, afin qu'il puisse échapper à toute indiscrétion.

Anh Tù est vêtu du traditionnel costume des travailleurs vietnamiens. Un turban sur la tête, une chemise brune très ample, un large pantalon écru et des sandales à semelles de bois. Il tient à la main une petite mallette contenant tous les produits nécessaires à son massage. Huiles essentielles, parfums et poudres aux vertus soit disant aphrodisiaques. Il m'envoie prendre une douche pendant qu'il se prépare dans la chambre. Quand je viens le rejoindre, une serviette autour de la taille, Anh est nu, debout à côté de mon lit. Il a un dragon tatoué sur son pectoral gauche. Un très grand drap de bain recouvre une bonne partie de la couche et ses produits sont étalés, à portée de main, sur la table de nuit. Il a actionné l'interrupteur à variation d'intensité pour tamiser l'éclairage de la cambuse. Je lui fais des compliments sur son corps, son torse et ses jambes.
Il détache lui-même ma serviette et me fait étendre sur le ventre. Il s'assoit sur moi et s'occupe méthodiquement de mon dos, de ma nuque, de mes épaules, de mes bras et de mes mains. Le massage des mains est délicieux et étrangement intime. Puis il se recule et s'occupe de mes fesses, de mes mollets et de mes pieds, dont il masse vraiment chaque orteil séparément. Il prend tout son temps et moi je me sens voyager dans un autre monde. C'est vach'ment bon, dis donc...
Et quand Anh Tù me demande de me tourner, je ne peux rien faire, et ne veux rien faire, pour lui dissimuler mon chibre hyper gonflé de désir. Il a bien réussit à me stimuler et à enflammer le volcan qui sommeille en moi.
Bien sûr il m'observe dans le moindre détail, attardant largement son regard sur la bête qui orne mon bas-ventre. Dans son regard, à lui aussi, je remarque cette lueur d'admiration et d'envie. Mais imperturbablement, il se remet à l'ouvrage.  Maintenant, il masse mon visage. Je ferme les yeux, m'abandonnant entièrement à ses mains expertes. Les rides et les crispations qui traversaient mon front s'effacent peu à peu pour laisser place à une peau plus douce et décontractée. Tout en continuant de me masser le cou et la poitrine, Anh Tù approche imperceptiblement mon visage du mien, pour finalement effleurer mes joues avec ses lèvres. Je frissonne. Il malaxe mon crâne, de sorte à me faire oublier toute pensée désagréable, puis il redescend sur ma poitrine, mon ventre, mes cuisses et mes jambes, en évitant volontairement de me toucher la queue.
Anh Tù s'allonge sur moi en prenant soin de placer mon membre bandé entre ses cuisses. Il effectue un léger mouvement de bas en haut avec ses fesses. Mon sexe coulisse mal, ce n'est pas très agréable.

- Ce n'est pas comme cela qu'il faut faire, Anh... ! Ce serait beaucoup mieux si tu la prenais en toi... !
- Mais... ! Je ne sais pas comment faire... !
- Attends... ! Je vais te montrer... !

Je crache plusieurs fois dans ma main pour lubrifier ma queue du mieux possible, puis j'y pense.

- Tu as de l'huile neutre... ? Masse ma bite et met-en sur ton trou... !

Je dirige ma pine vers son trou. Elle mouille comme pas possible. La pénétration est nettement plus aisée que je ne pensais. J'y vais doucement quand même. Après un court instant de va-et-vient, ma queue entre et sort avec aisance de son cul. Il recommence lui-même le mouvement et finit par se faire plaisir.

- Tu vois... ! Comme ça  c'est toi qui contrôle tout ce qui t'arrive... !

Mon oeil, oui.

- C'est toi qui mène le jeu... ! Tu peux librement accélérer ou ralentir tes mouvements... ! Tu ne subis pas..., tu diriges... !
- Oh que c'est bon comme ça... !

Qu'est-ce qu'il ne faut pas inventer parfois, pour arriver à ses fins.
Anh Tù souffle dans mon cou en activant son bassin sur le mien. Il se sent libre de tous ses mouvements. Il prend l'initiative de s'asseoir sur moi, tout en me demandant s'il ne me faisait mal.

- Ne t'en fais pas... ! Si tu me fais mal, je te viole pour de bon... ! Allez... ! Fais-toi plaisir... ! Profite de mon corps... !

Anh Tù s'agite, à califourchon, bien empalé sur mon mandrin. Il gigote comme une puce. Il saute sur ma bite et chaque fois, je m'enfonce plus loin dans ses entrailles. Ses couilles martèlent la peau de mon ventre comme s'il jouait du tambour et sa tige bien raide balance dans tous les sens. Je prends l'initiative de le branler au même rythme que ses cabrioles.
Il accentue ses mouvements jusqu'à ce qu'un orgasme le submerge. Je sens son corps se contracter. Il se fait lourd sur le mien. Il cherche à ce que je l'entube au maximum. Il est secoué de petites saccades et manque de perdre l'équilibre, quand tel un geyser, il explose en éjaculant plusieurs salves de jus crémeux sur la toison de ma poitrine.

- J'ai joui... ! J'ai joui... !

Il le crie comme si c'était un miracle. Mais moi, pauvre de moi, j'ai toujours les couilles bien pleines. D'un geste rapide, je tire sur ses genoux pour qu'au lieu de les garder pliés vers l'arrière, il tende les jambes vers mes épaules. Pour ne pas tomber, il doit prendre appuis sur mon torse. Dans la foulée, il trempe ses deux mains dans son propre jus, pris au piège, comme un petit oiseau dans de la glu.
Ma longue queue épaisse n'en est que mieux plantée dans ses entrailles. Dans cette position, Anh Tù ne sait plus bouger. Il est rivé à mon pubis. Ma biroute palpite dans son cul. Je sens bien la vague de petites contractions de sa rondelle. C'est divin. Anh Tù ne réagit pas. Avec un petit effort, il parvient à marmonner :

- Pousse-la bien au fond... ! J'aime me sentir envahi par ton bel instrument... ! C'est dur et c'est chaud... ! Je veux te sentir bouger dans mon cul... !

Je nous fais rouler sur le côté. Maintenant, le garçon est en dessous de moi, couché sur le dos.

- Je vais te baiser jusqu'à te faire hurler de plaisir... ! Je suis bien dur... ! Tu vas avoir le cul en feu..., mais tu vas quand même me supplier de te l'enfoncer encore et encore... ! Je vais te la pousser toute dedans..., et te pistonner jusqu'à ce que tu te tortilles et que tu te cabres comme une jument en chaleur... ! Je vais noyer ton cul de mon bon lait de mâle... ! Je vais remplir tes tripes de mon foutre... !

Mais ce ne sont que des paroles crues prononcées pendant un acte d'amour. Anh est complètement parti. Il plane. Après ce qu'il vient de prendre, je note avec plaisir que son cul est encore ferme, assez étroit et qu'il est vraiment très agréable de l'enculer. Je suis à bout de force. Mes derniers coups de reins sont bestiaux et je finis par lui graisser le boyau, en crachant toute la chantilly qui me restait en réserve dans la fabrique à moutards.
Je décule en faisant un atroce bruit de bouteille qu'on débouche. Anh Tù rigole de bon coeur, trouvant le bruit marrant dans son obscénité. Il me tend plusieurs serviettes en papier pour me nettoyer. Pendant qu'il se rhabille, il me dit :

- C'était super... ! Tu es le meilleur homme dont je pouvais rêver... ! Tu sais... ! Moi aussi j'étais vierge avant de venir ce soir... ! Mais je m'amuse souvent à introduire divers objets dans mon cul... ! C'était pour m'entraîner à recevoir une vraie bite... !
Maintenant c'est fait... !

Tous les asiatiques sont-ils aussi endurants ? Est-ce par fierté qu'ils ne montrent pas quand ils ont mal ? Se faire enculer une première fois, ce pas rien quand même.
( à suivre... )

C?ng hoà Xã h?i Ch? ngh?a Vi?t Nam
Quatrième partie

Aujourd'hui il fait gris, mais Cung tient absolument à m'emmener à la plage, profiter du peu de monde, afin de se baigner tranquillement. En remontant vers nos sacs, un terrible coup de tonnerre retentit dans le ciel. Nous courons dans le sable pour aller nous mettre à l'abri sous une cahute en dur, construite sous deux manguiers, arbres au feuillage particulièrement important. Juste à temps, avant que pluie ne se déclenche. Les gouttes, comme d'habitude, sont tellement grosses et le bruit de leur impact sur les feuilles est tellement fort, qu'il couvre pas mal de bruits environnants. La lumière s'éteint dans les maisons près de la plage. Ca arrive souvent pendant les grosses averses que le courant soit coupé. Je devine plus que je ne l'entends, le bruit de la circulation sur la route du bord de mer. Je n'ai même pas entendu les pas de quelqu'un en train de courir derrière nous.
Un gamin des rues nous a rejoints. Il est sale et ses haillons sont trempés, mais il rit joyeusement de la scène. Immédiatement, même avec la présence de Cung, il essaye de me draguer. Il doit vouloir se faire un peu de fric pour manger ou pour aider les siens. Mais il est vraiment trop jeune. Quoi ? Dix ans, tout au plus douze. Je lui donne un billet de 100.000 dôngs (5€) pour qu'il se paie un coca et je glisse un autre billet de 200.000 dôngs dans sa poche.
Même si l'averse bat encore son plein, je préfère rentrer chez moi.

Cung me pousse sur le lit. Il presse la paume de sa main entre mes jambes, pour caresser ma queue qui gonfle instantanément. Sa main glisse sous mon tee-shirt et effleure sensuellement mon torse couvert de poil. Mes tétons se dressent au passage de ses doigts. Il plante son regard dans le tien, comme dans l'attente de mon approbation pour la suite. Mais moi, je suis déjà prêt. Il baisse son regard vers mon ventre. Sans même qu'une seule parole ne soit prononcée, je devine qu'il a vraiment très envie de m'offrir une belle fellation.
Cung s'accroupit entre mes jambes écartées, tandis que je dépose une main à la fois ferme et caressante sur sa tête. Cung détache la ceinture de mon short de toile, détache le bouton et découvre, en ouvrant la fermeture-éclair, une queue déjà dressée dans toute sa splendeur, très dure, palpitante et dégoulinante de précum, en même temps qu'une sublime odeur de mâle en chaleur qui vient lui chatouiller les narines.
Je soulève les fesses pour qu'il puisse facilement abaisser mon short et me le retirer complètement. Il l'envoie valser de l'autre côté de la chambre. Il saisit mon manche aux belles dimensions et le happe de ses lèvres, avant de l'engloutir tout entier dans sa bouche. Je pousse un long et bruyant soupir de satisfaction et j'accentue la pression de mes mains sur sa tête, afin de l'encourager dans son entreprise. Sa langue fait rapidement le tour de mon gros gland charnu qu'il détrempe littéralement de salive, puis il oscille la tête de bas en haut, faisant coulisser toute ma hampe bien raide entre ses lèvres douces et humides. Il alterne entre les gorges profondes et les petits mouvements obscènes sur le bout de mon gland. Mon gourdin doit encore goûter le sel de la mer.
Cung me suce comme si sa vie en dépendait. Il est en chaleur. J'imagine qu'il a besoin de sa dose sexe. Il lèche et pompe mon dard avec beaucoup de voracité. Après quelques minutes de ce délicieux traitement, il grimpe sur moi et me chevauche comme si j'étais sa monture. Il pousse ses magnifiques petites fesses à la rencontre de mon membre frémissant, se laisse glisser et s'enfourche dessus, jusqu'à la prendre entièrement dans son cul. Il est couché de tout son long sur ma poitrine, alangui. J'enserre sa taille dans mes bras et je me redresse d'un seul coup, pour m'asseoir sur le bord de mon lit. Pour ne pas tomber à la renverse, Cung s'accroche à mon cou.

- Oh oui... ! Je la sens bien qui rentre, comme ça... ! Oh que c'est bon... !
- Fais attention de ne pas jouir trop vite... ! Retiens-toi... ! Comme ça tu vas pouvoir te lâcher dans ma bouche après... ! D'accord... ?
- Ahhhh... ! crie-t-il quand je me lève et que je fais les premiers pas autour du lit.

Il ceinture mes hanche de ses jambes. Sa tête vient se lover dans le creux de mon cou. A chaque pas, je sens ma queue bouger dans son cul. Il est captif de ma bite. Il pèse de tout son poids sur mon pal vivant.

- Oh oui... ! Elle est bien dedans, comme ça... ! dit-il dans une expression béate.

Mais au bout de quelques instants, il rajoute :

- Tu vas fatiguer... ! Ce n'est pas facile... !
- Oui... ! Mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit... ! Nous serons tous les deux plus confortables... !
- Reste en moi... !

Je dépose Cung en travers du matelas, couché sur le dos. Il est souple et agile comme une anguille. Par un jeu de jambes incroyable, il parvient à se faire pivoter sur mon membre fermement enfiché dans son orifice et tourne sur lui-même jusqu'à me présenter son dos. Moi je n'ai eu qu'à suivre le mouvement, en pliant de temps en temps les genoux, afin de toujours rester emboité dans son cul.

- Et maintenant..., tu peux m'enculer avec toute ta force... ! Rentre-la bien à fond... ! J'aime tellement ça... !

Il n'a pas besoin de me le dire deux fois. Ce mec excite tous mes sens. Je vais lui en donner pour son argent. Illico, je donne mes premiers coups de reins. De fortes et de profondes poussées. Ma grosse bite lui rentre dedans comme un poignard. A chaque tamponnement de mon bassin contre ses cuisses, Cung répond par un interminable gémissement de plaisir et son corps tout entier est secoué de longs frissons. Je le besogne avec toute ma puissance. Il doit bien me sentir passer. Ce petit vicieux baise comme un cochon. C'est vraiment extra de pouvoir l'enculer. Plus je lui en mets, plus il en veut. Je commence à avoir difficile à me passer de ses " services ".
Je me tends comme un arc. Mon orgasme me prend par surprise et je décharge comme un fou dans son cul. Mes puissants jets de foutre fusent contre les parois surchauffées de son canal et déclenchent un spasme foudroyant dans le corps de mon amant. Il pousse un hurlement de plaisir.

- ah... !

Puis il se laisse tomber lourdement sur la couche, m'entraînant dans sa chute. J'ai beaucoup apprécié sa prestation.

Après quelques minutes de récupération bienfaisante, c'est à mon tour de faire plaisir à Cung. Son ventre se soulève au rythme lent de sa respiration. Sa queue est à l'apogée de son épanouissement, légèrement écartée de ses abdos, tellement elle est tendue. Elle vibre toute seule, signe d'excitation intense et de soif de libérer son bon jus.
Des deux mains, je caresse son ventre et son soyeux pubis épilé. J'enferme en même temps ses boules et sa queue dans l'espace entre mes index et mes pouces regroupés. Sa tige palpite nerveusement. Je l'engouffre d'une seule pièce. Le glissement de mes lèvres le long de sa colonne de chair l'enivre. Comme il est beau dans ses moments d'extase. J'effectue de grands mouvements de va-et-vient. Plus mes lèvres se rapprochent de la base de son chibre, plus je sens sa main imprimer machinalement un mouvement de pression derrière ma tête, afin que j'en prenne davantage. Ses fesses se contractent par intermittence et se soulèvent régulièrement. Il s'abandonne à ma fellation. Il respire de plus en plus fort et profondément. Impossible pour lui de dissimuler le plaisir qu'il éprouve à se faire dévorer ainsi. Son pieu semble encore grossir sous les assauts répétés de ma bouche. Il n'a aucun mal à s'enfoncer jusque dans ma gorge. J'adore le sentir viril comme ça. Laisse-toi emporter, mon beau. Vas-y. Pénètre bien ma bouche. Ne te retiens pas. Je veux tout de toi, prends aussi tout de moi.
Mon nez est écrasé contre son pubis et mon menton contre ses couilles, tellement il est enfoncé dans mon gosier. Nous ne faisons plus qu'un. J'avale comme je peux ma salive et les contractions de ma trachée massent délicieusement son gland. A chaque fois, Cung sursaute. Soudain, après l''avoir fait grimper à de multiples reprises jusqu'au sixième ciel pour ensuite te laisser se calmer à nouveau, j'entame l'assaut ultime vers le septième ciel. L'étape qui le videra enfin de tout son foutre accumulé. Son corps se raidit, ses jambes s'étirent, son souffle se fait plus court. Par moments, il retient même sa respiration. Il braille des petits gémissements de satisfaction et je le sens sur le point de laisser éclater la tempête.
Je le pompe vigoureusement. Je colle ma bouche à son gland. Mes lèvres font ventouses. J'hume son odeur tout en faisant aller et venir ma main le long de ta tige durcie. J'applique quelques pressions vigoureuses sur sa hampe et je sens le sperme monter son tuyau. Ma bouche se remplit de son breuvage d'amour. Ma langue et mon palais en sont bien tapissés. Les décharges se suivent, d'abord très puissantes, puis de plus en plus raisonnables.
Que c'est beau. Cung grognes de plaisir, de contentement. Il redresse la tête pour regarder mon visage radieux. Je lui montre ma bouche remplie de son foutre chaud et j'avale le tout d'une seule gorgée. Ses yeux sont ronds de stupeur. Il lui faut du temps pour que sa trique perde de sa superbe. Quel goût excellent il a. J'en prendrais bien encore une pleine tasse.
Le regard rempli d'étincelles qu'il me lance après s'être soulagé de la sorte, témoigne de toute l'affection qu'il me porte.

Il est presque quatorze heures. La sonnette retentit. Un mec assez baraqué, style motard teddy bear, crâne rasé et bracelets de cuir autour des poignets, se présente en disant qu'il est nouveau dans l'immeuble et qu'il a entendu parler qu'un étranger francophone habitait ici.
Il veut faire connaissance. Par politesse je lui cède le passage et l'invite à entrer, juste au moment où Cung sort à poil de la chambre pour aller prendre sa douche.

- C'est ton petit ami ? Il est très beau... ! Il a un cul superbe... !

Il pose une main sur sa poitrine. Cung a un léger moment de recul, mais il se reprend. Le gars empoigne sa pine d'un geste brusque, mais tendre. Il passe sa main entre les cuisses du garçon. Sa raie est humide et ruisselle encore de mon foutre.

- Ouaiiiiiiis... ! Tu viens de le baiser... ? J'ai envie de planter ma teub dans le restant de ton jus... ! Je peux... ?

Très curieux comme situation. Cung se laisse manipuler par l'inconnu. Son coeur doit battre la chamade, mais il est soumis. Il lève les bras au dessus de sa tête pour lui laisser le champ libre.

- Il est excité, le salaud... ! T'as vu comme il bande... ?

Il tire sur ses tétons, malaxe les globes de ses fesses et soupèse son petit sac à couilles tout recroquevillé. Il tète les bouts pointus de ses mamelons. Cung grogne de plaisir, mais sur son visage apparaissent parfois quelques rictus de douleur ou de désapprobation. Ca lui plait pourtant d'être là comme une marchandise, comme un esclave mis en vente par son maquignon.
Notre visiteur inattendu est impressionné par la peau si douce du jeune homme et par le manque total de poils sur son corps. Il n'en finit pas de lui caresser les fesses et le pubis.

- Tourne-toi et penche-toi en avant... ! Ecarte tes fesses... ! Plus que ça... !

Et en s'adressant à moi :

- Regarde comme il est trempé du cul... !

Le mec se dépoile en trente seconde. Il est sérieusement bien monté. Un peu dans mon gabarit, mais plus large encore. Il enfonce un doigt dans l'oeillet inondé, le ressors plein de mon sperme et le porte à sa bouche pour en apprécier la saveur. Il ferme les yeux et s'en régale sans pudeur.
L'importun attrape Cung par les hanches et le pénètre d'un coup de bite, debout au milieu du salon, avec une force peu fréquente. Tout de suite, il le laboure avec une fréquence très soutenue, ne cherchant de toute évidence que son propre plaisir. Ses grands coups de boutoir font claquer ses cuisses contre les fesses du jeune Viêt. Cung feule, sans se plaindre de cette brutalité à aucun moment. Son cul écume à gros bouillons. Le trop plein de ma semence ressort de tous les côtés. Les bruits humides de clapotis que provoque la queue du gars qui le pistonne m'embrase à nouveau. Je suis raide, plus qu'il y a une demi-heure.
Avec ce traitement, le mec ne parvient déjà plus à se retenir. Il se lâche et éjacule sans modération dans le cul de Cung. Il reste immobile un moment, puis ressort tout aussi brutalement du fourreau.
La baise n'a pas duré trois minutes.

- Alors... ? Ca t'a plu, ma puce... ?

Cung ne répond pas, mais il me regarde d'un air dépité. Il s'en va vers la salle de bain, mais je le rattrape par le bras. M'adressant alors au fier triomphateur :

- Bon... ! Maintenant que vous en avez bien profité..., vous allez me le nettoyer à fond... ! Son cul ne doit plus ruisseler... ! Je le veux nickel pour le restant de la journée... ! Allez... ! Au boulot... !

Le gus me regarde assez étonné, mais il ne refuse pas. Il sait qu'il a abusé de la situation et qu'il doit réparer un minimum. Cung couine pendant tout le bouffage de cul et quand le macho a terminé son turbin d'assainissement, je prends ses vêtements en tas, ouvre la porte du palier et les jette devant les ascenseurs. Il ne demande pas son reste.
Je ne reverrai plus jamais par la suite.

- C'est un pervers, ce type... ! Mais c'était bien quand même... ! conclut Cung.

( à suivre...)

C?ng hoà Xã h?i Ch? ngh?a Vi?t Nam
Cinquième partie

Bâo exagère maintenant. Ca fait trois semaines qu'il pavoise et qu'il se la joue hautaine. Il croit avoir un statut supérieur aux autres depuis qu'on a couché ensemble et ça crée des remous dans l'ambiance de travail. A plusieurs reprises, j'ai dû le remettre à sa place devant tout le monde, mais dès le lendemain, il remettait ça. Ca ne peut plus durer. Il faut prendre une décision intransigeante.
Surprise générale, Bâo peut prendre ses affaires et passer à la caisse. Il a été prévenu. Un silence pesant plane sur le plateau. Je convoque immédiatement une réunion du personnel dans mon bureau pour remettre les choses au point. J'avoue devant tout le monde la très courte relation que j'ai eue avec Bâo, mais aussi que je regrette son comportement. Je demande encore si mon homosexualité gêne quelqu'un d'autre, mais il n'y a pas de réaction.
Je charge Anh Tù de choisir son remplaçant dans le classeur des candidatures qui se trouve sur mon bureau.

- Tu sais que je te prendrais sur la table..., tout de suite si on avait le temps... ?
- Je pense le savoir, oui... ! dit-il en sentant la raideur de ma queue sur son bras.
- Viens me rejoindre ce soir... ! Cung aussi sera là... !

Ce que j'aime bien dans mes rencontres avec les mecs, c'est que nous pratiquons du sexe brut, uniquement pour le plaisir, pas d'amour passionnel, pas d'obligation. Depuis que je suis arrivé au Vietnam, je suis aux anges. J'ai tout ce qu'il me faut sous la main. Il y a plein de très beaux spécimens qui courent à la rue, ici. Il me suffit parfois de regarder un gars un peu plus qu'il ne convient, pour qu'il me suive et qu'il engage la conversation de lui-même. Très souvent, tout ça se termine au lit, pour notre plus grand bonheur à tous les deux. Cela correspond à mes désirs et eux m'en offrent la possibilité.

Dès que la porte s'est refermée sur nous, mes deux compagnons de jeu s'y mettent ensemble pour complètement me déshabiller. Leurs doigts agiles me pelotant de concert. Quatre mains caressantes, qui parcourent mon corps, quasiment de la tête aux pieds. Ils passent dans les moindres creux et replis de ma poitrine et de mon bas-ventre. Ils semblent beaucoup apprécier la fine toison qui recouvre mon torse. Ce soir, je serai leur objet, je serai leur jouet. Ils me palpent délicatement, et entre eux, vantent et commentent dans leur langue, mes généreux attributs. Ils m'excitent. Je bande dur comme fer.

Je me laisse tomber à leurs pieds. Mes deux amants sortent leurs virilités de leurs frocs et les présentent devant ma bouche. Je les saisis d'abord à pleines mains, avant de les emboucher l'un après l'autre. Mes narines frémissantes s'imprègnent de leurs douces odeurs de mâles.
Anh Tù a taillé sa toison au plus court. La chair de son beau gland est plus ferme que celle de Cung, moins lisse, mais son méat est beaucoup plus marqué et plus ouvert. J'aime jouer avec son prépuce, passer ma langue sous sa peau épaisse et l'enrouler autour de son noeud, avant de faire glisser mes lèvres tout au long de sa hampe très dure. Bien sûr, je fais pareil avec Cung. Je change de queue, de texture, de volume. Je glousse de plaisir. J'accélère mes succions. Je varie les rythmes et je passe de l'une à l'autre avec avidité. Ils bandent à fond. Ils ont de sacrées gaules, mes minets. Je les pompe et je les branle en même temps, sans répit. Leurs bites s'allongent encore. Les veines sont bien dessinées sur leurs colonnes de chair. Leurs glands épatés ont prit la forme de champignons écarlates et gargouillent de mouille et de salive. Je les suce bruyamment. Ils ne se retiennent pas de venir à la rencontre de ma bouche quand je les enfourne jusqu'au fond de ma gorge. Leurs diamètres asiatiques " plus conventionnels ", me donnent la possibilité de m'exprimer pleinement avec ma langue et avec mes lèvres.

- Vous me chauffez trop, les mecs... ! Va falloir plus d'action... !
- On est là pour ça... ! répond Cung. On va te sauter aussi... ! Chacun à notre tour... ! Promis..., tu ne vas pas le regretter... ! rigole-t-il.
- Donnez-moi d'abord un apéritif, les garçons... ! Donnez-moi votre jus... ! Vous tiendrez plus longtemps après... ! Vous pourrez mieux profiter de moi... !

Je m'évertue à leur donner le meilleur de moi-même. Je veux leur donner la meilleure prestation possible. Je les attrape par les couilles. Ils tremblent sur leurs jambes. Ils m'encouragent. C'est Anh Tù qui craque le premier.

- 'tention boss..., je vais cracher... ! Prépare-toi à boire la tasse... !

Je me déchaîne sur son vit. Il émet un son rauque et décharge d'interminables jets de sirop, qui n'en finissent pas. Je m'empresse de déglutir son nectar, tandis que Cung me dit de le branler plus fort. Je termine avec tendresse la queue de Anh Tù. Quelques spasmes le font encore tressauter. Il déverse ses dernières gouttes sur ma langue.

- Oooooohhhhhh oui... ! Je vais juter... ! Viens vite... ! crie Cung.

Le temps de prendre son gros gland violacé entre mes lèvres et le voilà qui se met à mollarder ma gueule de plusieurs giclées de foutre. Son éjaculation est moins abondante, mais plus épaisse que celle de son collègue. Son goût aussi est différent. Plus âcre et plus salé. Je les nettoie soigneusement.
J'aime le sexe. J'aime les hommes et leurs belles queues et je n'ai jamais assez de foutre à avaler. Mes donneurs de ce soir ont de bonnes réserves...

- Et toi... ? Tu es é-nor-me... ! lâche Anh Tù.
- Après... ! D'abord votre plaisir... ! Vous êtes bien montés, tous les deux... ! J'ai envie de le sentir passer aussi... ! Vous allez tous les deux me baiser... ! OK... ?

Je suis impatient de me faire prendre. J'ai envie de me faire enculer comme une chienne. Je suis en chaleur aujourd'hui. Eux sont quelques peu perplexes, quant à l'idée de devoir niquer leur patron. Ils n'en reviennent pas de mon invitation et de mon rôle soudain passif.

- Non, boss... ! C'est toi le leader... ! Nous on obéit... !
- Au lit, il n'y a pas de boss... ! Chacun prend son plaisir... ! Libérez-vous... et profitez-en... ! Demain au bureau, ce sera autre chose... !

Je leur propose de ne pas me faire attendre trop longtemps. Je les emmène dans la chambre, nous allons continuer sur le lit. Mon cul " a faim ". Ce soir, c'est MA soirée. Je serai leur boy-toy.

Je me couche entre eux. Sur le ventre. Anh Tù laisse glisser ses doigts entre mes fesses. Je n'en attendais pas moins et je m'installe directement à quatre pattes, le cul offert, bien cambré, les jambes largement écartées. Je me trémousse sans aucune pudeur pour leur faire savoir que j'en veux vraiment.
Cung accompagne les doigts de son ami avec sa langue. Il parcourt toute ma raie avant de bien insister sur mon petit oeillet palpitant. Je me cambre davantage pour mieux m'offrir. Sa langue lape, lèche et pénètre mon petit trou avec voracité. Pendant ce temps, Anh Tù aspire mes couilles. D'abord une à la fois, puis, avec un peu de dextérité, il parvient à les gober toutes les deux en même temps et à les faire rouler sur sa langue.
Dans mon dos, les deux garçons se caressent, s'embrassent et communiquent entre eux sans la moindre parole prononcée. Ils doivent mettre un plan au point. Je sens une queue rouler dans le sillon humide de mes fesses. Elle y rampe lentement de haut en bas, compressée par le ventre de l'un de mes compagnons. Le gland passe régulièrement sur mon anneau. Il insiste.

- Oh ouiiii... ! Làààà... ! Vas-y... ! Entre... ! J'ai trop envie... !

On m'applique du gel. Le moment tant attendu arrive enfin. La grosseur arrondie d'un gland pointe mon petit trou. C'est Anh Tù. Je le reconnais. Cung a le bout plus pointu. D'ailleurs, c'est lui qui s'installe devant moi pour à nouveau envahir ma bouche. Il s'enfonce directement jusque dans le fond de ma gorge, faisant bâillon avec son pubis tout doux, pour m'empêcher de crier, alors que Anh Tù ne fais pas dans la dentelle et me plante d'un seul trait. Sa bite est bien raide et il sait merveilleusement bien s'en servir. Très vite, il se met à fouiller mes entrailles. Ses coups de reins sont précis, rapides et violents. Ses coups de bite font rapidement monter mon propre plaisir. J'aime sa fougue. Il ahane et il souffle comme un bûcheron.  Il s'emballe. Il prend son pied.
Cung est tout aussi téméraire. Il se faufile entre mes bras et mes genoux tendus, mais pas dans la position érotique du 69. Ses pieds passent aussi entre les jambes de Anh Tù. Cung me fait face. Il me serre dans ses bras. Douce étreinte, mais grande déception quand je sens que mon enculeur se retire de mon cul. Je m'affale sur le ventre de Cung. Je suis à califourchon sur lui. Ma rondelle est toute ouverte et toute frémissante à cause du manque de saillie. J'admire ce corps vigoureux sur lequel je m'assois. C'est lui qui impose la place de mes fesses sur son nombril. Il m'embrasse à pleine bouche. Nos langues se bataillent et nos salives se mélangent dans un tendre duel. Cung ronronne comme un chaton. Il redresse son majestueux sceptre, l'oriente vers mon trou béant et me fait comprendre de laisser couler mon bassin vers son pal turgescent. Au moment ou ma rosette entre en contact avec le bout de son gland, Anh Tù tire sur mes épaules afin que je m'empale sur son copain et Cung donne un sérieux coup de reins, afin de se caler bien au fond de mon fourreau. Il s'agrippe à ma taille et me pilonne furieusement de toute la longueur de la colonne. Je ne sais pas si mes amants ont déjà connu une telle expérience, mais leur niveau de baise est très largement au-dessus de la moyenne que j'ai connue auparavant. Je suis aux anges. Cung en profite pour me mordiller les tétons. J'apprécie ce traitement. Je gémis sans retenue.
Anh Tù caresse mon dos et mes fesses. Il s'est redressé et présente de nouveau son barreau devant ma boutonnière déjà occupée. Cung ralenti le rythme de ses coups de bélier. Maintenant il ne bouge plus. Il est bien calé tout au fond de mon cul. Anh Tù se couche sur mon dos et presse son bassin vers l'avant pour forcer la rondelle de mon cul à s'ouvrir davantage. Je suis tendu comme un arc. Il faut que je me détende pour lui faciliter la tâche. Je pousse pour ouvrir mon anus alors que le gland force ma porte arrière. Il se cale un petit moment, tenant mes fesses largement ouvertes, puis il pousse encore. Ca y est. Le gland est passé. Sa queue progresse le long de celle de son comparse et pénètre mon boyau d'une seule poussée, lente et continue. Il y va très doucement. On dirait qu'il a peur de me faire souffrir. Le chaud mandrin trouve son chemin.

- Oh oui... ! C'est bon... ! Vas-y... ! Glisse en moi... !

On n'entend plus que souffles et râles dans la chambre. Anh Tù me rentre complètement dedans. Ses couilles sont en contact avec celles de Cung. Je n'en reviens pas. Ils sont tous les deux en moi. Et le ballet des va-et-vient reprend de plus belle. Anh Tù commence à onduler. Il me lime d'abord très doucement, puis de plus en plus énergiquement, tandis que Cung ne donne que de petits coups de bassin qui font à peine sortir son gourdin de mon oeillet dilaté. Les deux engins se frottent de façon charnelle dans mon trou. Cung est un peu plus long, mais Anh Tù a le gland plus large. Ca remue pas mal dans mon fondement. Je n'ai jamais été dans cet état-là. Je suis en transe. Tout à coup, Anh Tù s'effondre. Son orgasme a dû être violent. Je sens son jus se répandre dans mes tripes. La chaleur de son foutre sur le chibre de Cung provoque ses ultimes contractions avant son puissant orgasme. C'est un véritable feu d'artifice quand il décharge en moi.
Ca n'a pas duré très longtemps, mais quel moment intense de plaisir. Mon anus met un peu de temps à se refermer. Il déborde de sperme. Chacun de mes partenaires s'empressent le lécher et de gober le nectar qui ressort de mon cul.

Malgré la forte excitation qui m'a fait bander pendant toute cette baise, je n'ai pas encore éjaculé et mon désir est toujours là, bien en évidence. C'est à eux de s'occuper de ma grosse bite au garde à vous. Deux paires de mains aux fins doigts flatteurs me caressent. Une pour le haut de ma hampe et mon gland, l'autre pour la base du fût et mes couilles engorgées. Leurs visages tout proche me fait agréablement sentir leurs souffles chauds. Leurs bouches convergent et se colle ensemble autour de mon manche. De part et d'autre, elles coulissent tout le long de mon pilastre et se rejoignent dans un baiser langoureux autour de l'excroissance de mon gland. Ensemble, ils se disputent le nectar de ma mouille de mâle. Mais déjà mon membre tremble. La lave en fusion monte à toute vitesse dans ma colonne. Un premier jet jaillit dans les airs. Ils orientent mon gros noeud vers l'une ou l'autre bouche, au fur et à mesure que je crache mon lait de mec.
( à suivre... )

C?ng hoà Xã h?i Ch? ngh?a Vi?t Nam
Sixième partie

Cung et Anh Tu font maintenant partie de mon ordinaire. On se retrouve très régulièrement. Cela ne m'empêche pas d'encore ramasser l'un ou l'autre gars à la rue. Je les trouve partout. Dans les parcs, dans les bars, au centre de fitness, dans les salles de jeux électroniques et même une fois dans un temple bouddhiste. Du bureau, deux autres collaborateurs nous ont rejoints dans nos parties de jambes en l'air. Duc et Phong. Duc a vingt ans. Il est uniquement passif. Comme il le dit lui-même, ça ne l'intéresse pas de planter son roseau dans la vase, il préfère que l'on s'occupe de sa rizière. Ce ne sont pas les derniers à participer et ils ont souvent de bonnes idées innovatrices et très cochonnes.
Lors de notre dernière partouze à cinq (c'est le maximum pour mon lit...), Duc à émit le souhait de se retrouver au centre d'un super " bukkake ". Tous les autres sont enthousiastes. Qu'il en soit donc ainsi...

C'est bientôt la période du Têt vietnamien. Le Nouvel An est la fête la plus importante de l'année. Haute en couleurs, en explosions de pétards très bruyants et en danses traditionnelles, je ne sais plus où donner de la tête. Les festivités durent plus d'une semaine, jusqu'à ce que le dragon d'or vienne chasser les derniers mauvais esprits qui hantent les lieux. Les familles en profitent pour aller à la pagode et aussi pour rendre visite à leurs parents et à leurs amis.
Pour l'occasion, le personnel de la boîte a droit à toute une semaine de congé. Du jamais vu de la part d'un patron occidental. D'habitude, ils prennent quelques jours sur leur quota annuel. Ici non. C'est en plus. Du coup, je suis invité presque chez chacun d'eux, à manger et à boire jusqu'à en être bourré.
Je me réserve néanmoins le vendredi. Ce jour là, j'invite mes quatre collègues chauds du cul, à passer la journée en ma compagnie. Bien sûr, ils savent très bien quel sera le sujet de cette " réunion de travail extraordinaire ". A cet effet, j'ai réservé un salon privé dans l'un des grands hôtels de la ville et en fait, c'est tout un bungalow isolé qu'ils ont mit à ma disposition, y compris les facilités que cela nous offre. C'est très confortable et au moins, on ne dérangera pas les voisins. Un généreux buffet asiatique et plus qu'il n'en faut de boissons sont à l'abri dans des présentoirs réfrigérés. C'est l'idéal, vu la chaleur lourde et moite qui règne ici en cette saison. Pour les plats chauds, il y a le micro-onde.

Une bière (la Saigon et la Ba-ba-ba sont délicieuses), puis deux, puis du Ruou trang (alcool blanc) dans lequel trempe un serpent venimeux, et l'ambiance s'échauffe très vite. Le cercle se referme très vite autour de Duc. Il est chaud comme la braise et il se trémousse à la moindre allusion sexuelle un peu salée.
Des mains le frôlent avec de plus en plus d'insistance. Un baiser fougueux dans son cou et il chavire. Un sexe dur, encore protégé par des vêtements, se presse contre la raie de ses fesses. Un autre lui caresse la poitrine et moi qui l'embrasse à pleine bouche. Ses lèvres s'ouvrent. J'enfonce ma langue et je prends possession de la grotte. Il s'offre entièrement à nous. Les corps se frottent. Huit mains sur lui, quatre bouches pour souffler le chaud et le froid sur toutes les parties de sa chair nue, car en un rien de temps et sans qu'il ne s'en aperçoive vraiment, Duc se retrouve à poil au milieu de nous.
Lui n'a que deux mains pour déboutonner nos pantalons bien déformés par nos puissantes érections, une seule bouche pour satisfaire nos membres durcis et un seul cul pour sentir nos quatre pieux battre entre ses fesses. D'ailleurs, il s'emmêle très vite les pinceaux et se laisse dominer par les autres.
Putain de mec. Il ferait bander tout un régiment d'eunuques. Ce corps divinement beau semble créé uniquement dans le but de faire l'amour, de prendre et de donner du plaisir. Ce corps frêle, mais à l'allure virile et débordant d'érotisme, tout en lui pue le sexe. J'adore sa délicate odeur corporelle. C'est un truc à me faire craquer sur le champ, dès le premier contact avec sa peau si douce.

Nous sommes tous debout au milieu du living-room. Le mobilier a été repoussé contre les murs et le sol a été recouvert d'épais tapis et de quelques nattes. Duc a les yeux fermés. Je les embrasse tour à tour, avant de le faire pivoter sur lui-même, afin qu'il me présente ses jolies petites fesses rondes et fermes. Ses mains le long de son corps passent d'une bite à l'autre, sans faire de jaloux. Je caresse sa poitrine. C'est Cung qui reprend le contrôle de sa bouche, mais chacun veut sa part. Mes mains se faufilent le long de ses fesses, dans la raie de son cul. Les rôles changent vite. Tous tournent autour de Duc, au gré des bouches, des mains et des sexes qui s'affolent. Ils sont forts à ce jeu.
Preuve du plaisir intense qu'il prend à être l'objet de plusieurs hommes en même temps, Duc pensait s'agenouiller pour nous sucer tous, les uns après les autres, mais je le retiens coincé entre mes bras. J'ai trop envie de le baiser là, debout, devant tout le monde, à cru, comme des bêtes en rut. Ma grosse queue ankylosée glisse entre ses cuisses. Duc est tellement mince, qu'il n'est pas nécessaire de pousser beaucoup pour sentir ses couilles se soulever sur le bout de mon gland. Un de mes hommes en profite même pour donner quelques coups de langue baveux sur mon méat qui dégouline de mouille, en même temps que sur les boules de son compatriote. Anh Tù le suce et Phong vient me bouffer le cul. C'est divin.
Il suffit d'un petit mouvement de jambes, pour que mon noeud se présente tout seul devant la petite entrée de son trou et que je m'enfonce en lui d'un seul coup de reins, bien profond, jusqu'à la garde. Je n'ai pas eu besoin d'utiliser mes mains.
Duc hurle, mais ça ressemble plus à une longue plainte de plaisir fulgurant, plutôt qu'à de la douleur physique. Dès les premiers coups de butoirs, je me déchaine dans ses entrailles. Mes coups de pilon ramonent sa cheminée. Je sens bien la couronne de mon gland qui racle les parois internes de sa tuyauterie. Mon ventre claque contre ses fesses. A chaque cognée, Duc est soulevé de terre et se retrouve sur la pointe des pieds. C'est dommage, mais je ne veux pas jouir trop vite. La journée est encore longue. Je décule et je laisse ma place à quelqu'un d'autre. C'est Phong qui s'y colle, puis Cung, puis Anh Tù. Il nous prend tous, les uns après les autres. Comme dans une tournante.
Après cette première ronde de queues assez frénétique, tout le monde s'effondre sur les tapis, enchevêtrés. Dans cet amas de chair humaine mélangée à même le sol, je reconnais juste Phong grâce au fin collier de petits coquillages qu'il porte autour du cou. Pas encore une seule goutte de foutre n'a été déversée. Je vous laisse imaginer les sourires de mes hommes. Le plaisir se lit sur leurs visages.

Petite pause. Rafraîchissements, collation, douche pour quelques-uns, nous sommes prêts à recommencer une nouvelle bagarre amicale.
C'est le moment précis qu'on choisit mes amis, quatre européens et un black, rencontrés au bar français ou dans divers établissements tout aussi sélect, pour faire leur entrée fracassante. Ce n'est pas parce qu'ils fréquentent des endroits élégants que ce sont des anges. Tous plus vicieux les uns que les autres. Et je peux vous garantir qu'eux aussi ils aiment la chair mâle très fraîche et docile. Tous pédés jusqu'au bout des orteils. Il m'a fallu plus d'une semaine pour les approcher d'abord chacun individuellement, puis tous ensemble et leur expliquer le projet de bukkake que j'avais l'intention d'organiser au profit d'un de mes employés très zélé et volontaire.
Les présentations sont vite bâclées et les nouveaux arrivants se retrouvent rapidement à poil eux aussi. Ils sont vach'ment bien montés, dis donc. Je ne les avais jamais vraiment vus déployant leur panache, je me contentais de leurs paroles. Surtout le black. Il affiche facilement du 24 ou du 25 de pointure. Une trompe très généreuse. Il est énorme. C'est une véritable bête de concours. Raide comme un manche de pelle. Et la couleur chocolat donne encore plus d'effet à la dimension. Les viêts n'en reviennent pas. Ils n'ont pas assez de leurs deux yeux pour contempler un tel spectacle.

C'est Duc qui relance la fiesta. Il fonce entre les jambes du black et engouffre le gigantesque popol dans sa bouche, aussi loin et profond qu'il peut le prendre. Il a beau être très doué pour les gorges profondes, ce coup-ci, il n'en avale que les trois-quarts et sa mâchoire est à la limite du déboitement. Il entreprend de gober ses couilles, mais ça n'est pas facile de mettre en bouche des boules de la taille d'un kiwi. La pipe plait au black, mais déjà il en veut plus. Il demande aux autres de remettre la table basse au milieu du baisodrome. Il soulève le suceur comme un fétu de paille et l'installe à quatre pattes sur la table, genoux écartés, bien offert. Sans faire de compliment, il agrippe Duc par les hanches. En s'aidant de ses pouces, il dirige l'extrémité de son zob vers le centre de la rondelle, pousse et pénètre Duc d'un seul coup de reins puissant, jusqu'à la butée. Duc se prend un fameux morceau de bidoche dans le cul. Il s'en souviendra longtemps de son Nouvel-An. Il n'a pas le temps de pousser le moindre cri, ni de douleur, ni d'étonnement, car sa bouche est déjà occupée par un autre gros calibre, qui lui baise la gueule sans délicatesse. Il se fait défoncer des deux côtés à la fois avec la puissance de marteaux-piqueurs. Son corps est agité dans tous les sens. Il attend avec impatience de se faire remplir le ventre par le négro, mais juste avant l'explosion finale, les deux mecs se retirent et cèdent leurs places toutes chaudes à d'autres fornicateurs. Eux vont s'occuper des trois autres viêts qui se branlent entre les colosses. Chacun y trouve son compte. Et aussi étrange que cela paraisse, ils arrivent tous à retenir leur éjaculation. Ils sont endurants, mes bonhommes.
Duc se fait enculer par tout le monde, aussi bien par les locaux que par les étrangers. Il les prend tous aussi entre ses lèvres. Il mouille du cul comme une gonzesse et son menton est plein de bave. Les commentaires salaces viennent de toutes parts. Ca m'excite. Je sens une boule de chaleur grossir en moi, si bien qu'un gémissement sort malgré moi de ma bouche. Duc s'empresse de me sucer en avalant mon braquemart au maximum. Je lui baise la bouche. Des mains se posent sur nos deux corps et probablement aussi sur celui qui le tringle. Une tête passe entre mes jambes. Le gars lèche mes couilles et aussi le menton et les lèvres de Duc. L'empaffeur se retire et est aussitôt remplacé par un autre. Les bites s'enchaînent à une vitesse folle dans le cul soumis. Je serais incapable de dire combien d'hommes Duc s'est prit jusqu'à maintenant. Je sens un gland sur ma rondelle. Moi aussi j'ai envie qu'il me pénètre. Je le sens forcer le passage, s'enfoncer en moi, puis s'activer. Je suis queuté comme une chienne et j'adore ça. Un défilé s'organise autour de moi, maintenant. Des bites de toutes les formes, de toutes les grosseurs et de toutes les longueurs me labourent le croupion à tour de rôle. C'est bon. Toutes les deux minutes, les mâles en chaleur tournent. Celui qui vient de me baiser part chez Duc et aussitôt un autre le remplace. Ca me fait bander encore plus fort dans la bouche de mon jeune collègue. On a tous les deux le cul constamment occupé. Les mecs nous baisent à la chaîne, comme des forcenés. Ils tapent au fond de mes entrailles. Je n'en peux plus, je jouis et je remplis copieusement la bouche de Duc. Il avale tout.
Le départ est donné pour le bouquet final.

Duc est retourné comme une crêpe. On le couche sur le dos. Huit gus sont debout autour de lui. Ils s'astiquent le poireau à toute vitesse. Ils sont déchaînés. Le sperme tant attendu ne se fait pas attendre. Les gros bouts se succèdent pour larguer leur avalanche de foutre sur Duc. Un véritable déluge. Ils s'arrangent pour viser son visage, mais surtout sa bouche ouverte par l'émerveillement que lui procure cette douche tiède et grasse. Pour beaucoup, ils jutent deux fois de suite. Duc a laissé sa bouche se remplir et à la surprise générale, il ingurgite le tout sans la moindre grimace. A pleines mains, il joue avec le yaourt qui couvre sa poitrine et son visage. Il en a partout. Il vient de vivre son premier gang bang et son premier bukkake en même temps et il semble avoir adoré ça.

J'ai eu la chance de pouvoir m'amuser avec les asiatiques pendant presque deux ans. Ensuite j'ai été envoyé en mission en Côte d'Ivoire.

FIN

Michel

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