C'est une histoire purement imaginaire
Bonjour, je suis un mec de 28 ans marié, j'ai toujours eu le fantasme bi mais jamais eu le courage d'aller jusqu' au bout, mais l'année dernière j ai sauté le pas.
C'était en avril et ma femme était partie chez ses parents pour une semaine, alors je me suis mis sur des blogs mais rien ne m'attirait quand un soir je me suis fait accoster par Jean, un mec 45 ans qui voulait juste discuter et faire un virtuel alors on commença par faire connaissance puis après plusieurs heures de tchat me dit qu'il faut que l'on se voit. Un peu retissant au début je lui demande s'il serait seul et la il m'annonce que non, il serait avec son copain Hervé. Je refuse bien sur sa proposition et quitte le blog.
Le lendemain après une nuit très agitée, car j'avais repensé a cette éventuel rencontre je reconnecte sur ce blog pour voir si Jean était encore là. Aussitôt connecté Jean m'envoya un message pour me redemander si j'avais change d'avis, et là, sans savoir pourquoi je lui répondu oui, il me demanda mon adresse et je lui donnai. 30 minutes plus tard ca sonna a ma porte, n'ayant pas de judas a ma porte j'ouvris, la surprise fut de taille en voyant 6 types devant chez moi, je leur demanda ce qu'ils voulaient, le premier celui qui était le plus près de la porte me dit qu'il s appelait Jean et qu'ils venaient tous pour moi. Honteux et panique par cette situation je me poussa de la porte et les laissa rentrer.
Ils étaient tous grands d'âge moyen, le dernier rentré ferma la porte, aussitôt la porte fermée Jean me prit par la main et m'emmena dans le salon, puis me lança d'une voix rauque de me déshabiller, ce que je fis sans discuter, partagé entre la peur et l'excitation de la situation. Quand je fus nu devant eux je m'aperçus que je bandais. Ils se sont rapprochés de moi puis ont commencé à me caresser les fesses puis la verge. Je me sentais de plus en plus excité. Jean me fit comprendre en appuyant sur les épaules de me mettre à genoux, ce que je fis immédiatement. Dans cette position, je me trouvais au niveau de sa braguette de pantalon, je vis la bosse de son sexe, puis il lâchât un "suce moi".
Je sortis sa bite et l'enfourna dans ma bouche, je sentis d'autres sexes autour de moi, dans mon cou sur mes joues, je me suis mis a sucer et a branler tout ce qui était a ma portée. Je ne savais plus ou j'en étais, pour moi le temps s'était arrêté et je voulais que ça dure le plus longtemps possible.
Puis j'entendis une autre voix me dire de me mettre à 4 pattes, j ai eu un temps de réaction car la peur revenait. Ils ont du le voir car, ils m'ont aidé à m'y mettre. Je sentis une langue me lécher le trou, quel bonheur j'ai crié de plaisir, puis un doigt s'est glissé en moi, puis deux, puis trois j'avais l'impression de mourir de honte et de plaisir en même temps, une troisième voix m'arriva aux oreilles "tu aimes ça , tu va être notre salope toute la nuit". Après ces paroles qui me firent peur, j ai senti une chaleur intense appuyer sur mon anus, puis une douleur fulgurante qui se transforma vite en plaisir, je compris vite que je venais de me faire sodomiser.
Je suçais les bites qui se présentaient devant moi et qui attendaient leur tour pour m'ouvrir en deux. J'étais en sueur, je sentais les aller et venu entre mes fesses et mon plaisir monter encore un peu plus à chaque nouvelle pénétration. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, mais je sais une chose c'est que je ne voulais pas que ça s'arrête, j'en voulais toujours plus. Puis ils m'ont fait changer de position, je me suis retrouvé sur le dos empalé par un des six lascars, la tête rejetée en arrière ma bouche servait comme orifice à queues, les jambes bien écartées en l'air offrant mon anus a qui le voulait. entre leurs soupirs de plaisir et mes cris de jouissance , Jean me dit que j'allais hurler de plaisir, j'étais toujours pilonné par le type qui était sous moi, quand je sentis des jambes se placer entre les miennes et je sentis mon anus s'ouvrir encore plus.
J'étais en double pénétration, les deux mecs qui étaient en moi me défonçaient de plus en plus vite. Puis de soupir ça c'est transformé en râle. La je compris qu'ils étaient tous sur le point de juter. La première giclée je l'ai pris sur la joue, puis celui que j'étais en train de sucer m'a envoyé toute sa semence au fond la gorge. Je ne pus qu'avaler cette substance chaude et salée, j ai trouvé ça bon. Je me suis mis a la recherche d autre bites en ouvrant grand la bouche, quel bonheur ! Enfin, les deux mecs qui étaient en train de me défoncer crièrent plus fort et je sentis au fond de moi leurs jets chauds.
Je me suis entendu hurler de plaisir mon coeur battait la chamade, j'avais les jambes coupées. Ils sont partis comme ils sont venus, me laissant gisant à moitié mort de plaisir par terre.
Fabien
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