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HISTOIRE

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L'ami Mathieu -11

Je retourne l'été suivant chez lui. Sophie, sa copine, est très mignonne et sympa. Mathieu se sent obligé, comme dans son dernier mail, de me redire dans un coin de porte qu'il ne se passera plus rien entre nous... Ca va, je suis pas débile ! Ca me pose d'autant moins de problème que j'apprends en arrivant que Yann est célibataire depuis 15 jours...Après le repas du premier soir sur la terrasse, dès que Mathieu et Sophie partent se coucher, Yann sort sa queue bandée et je suis déjà à genoux entre ses cuisses de rêve. Nos regards ne se mentaient pas depuis quelques heures... Quel bonheur de regoûter sa bite ! et peu de temps après son jus ! un sacré flot, qu'il m'a gardé depuis quatre jours, me dit-il en soufflant comme un boeuf. Il m'entraîne ensuite chez lui pour un massage. Je lui avoue qu'il me tarde de le revoir tout nu, et il est bien content de m'en laisser profiter, des yeux, des mains et de la langue. Je le masse, lui lèche le cul, qu'il me donne de lui-même. Comme je le sens diriger ses doigts dans ma raie, je lui propose de remettre ça à demain (le voyage, la sueur, etc.), et voyant la belle érection qu'il a je palpe ses couilles et lui dis de se soulager une seconde fois avant le dodo. Une bonne pipe plus tard, je le laisse au lit et rejoins la maison d'à côté.

Belle continuité : je suis réveillé par lui, au bord de mon lit (c'est vrai qu'entre voisins et amis qui ont la même terrasse quasiment ils ne ferment pas les portes). Il est prêt à partir bosser, et voudrait bien renouveler les pipes de réveil (mes préférées) : je le pompe et branle efficacement, puis me mets à 4 pattes pour qu'il se fasse du bien tout seul en me tenant la tête, et il y déverse une belle quantité de lait chaud ! Ma position sans doute lui fait me demander confirmation : oui, on baisera à son retour à 15h. Il prend quand même le temps de descendre et boire un café avec moi. Mathieu a laissé un mot pour que je le rejoigne au resto habituel le midi. J'ai su la veille que Sophie bosse en journée pleine. Yann me donne un long baiser puis file, et je finis le déj. Je fais le tour de la maison pour voir ce qui a changé, bronze en terrasse, me fait une toilette approfondie, et je suis ravi de retrouver le sentier pour monter au vieux village. Là aussi je refais un tour, et j'arrive à l'heure au resto, où se trouve déjà Mathieu. Mais le repas n'est guère plaisant : je le sens de très mauvaise foi ! il n'arrête pas de faire l'éloge de Sophie, que c'est bon de dormir avec une femme, que c'est bien au lit avec elle, etc. Il devient lourd. C'est tout ce qu'il attendait, et bla bla bla... c'est tout juste s'il prend de mes nouvelles à moi, voulant peut-être éviter d'en apprendre plus sur les plans cul entre mecs. Après 10mn sur les seins merveilleux de Sophie, j'en ai un peu marre, je dis que le resto est resté exactement comme dans mon souvenir, y compris les desserts, " enfin, presque pareil... ". Il rougit de l'allusion aux pipes que je lui taillais dans son bureau... et passe à autre chose, les jours à venir : il bosse encore demain (jeudi) et vendredi, mais pourra allonger son weekend en prenant le lundi. Bref, l'heure tourne, et le poids des souvenirs de pipe digestive se fait sentir, et le voilà qui dit brutalement qu'il repart bosser... Je redescends énervé et il me tarde de baiser avec Yann. Je me reprépare le cul en constatant que je mouille vite, et bronze en terrasse. Lorsqu'il arrive, il m'embrasse de la terrasse jusqu'à chez lui, me portant presque dans ses bras. On a le temps de se dire que je suis toujours clean, que je ne veux pas qu'il se douche tout de suite, qu'on refait comme l'année dernière un premier assaut de pure vidange. Je me retrouve vite à poil en bord de canapé, cul offert, un genou sur l'accoudoir et il me lèche vigoureusement, avant de s'enfoncer lentement en appréciant chaque millimètre de retrouvailles. Je suis moi-même aux anges, et dès lors je ne sais pas qui se donne le plus : un concert de râles, puis de cris en ce qui me concerne car la machine s'est mise en route et pistonne dur pour se vider les burnes ! 5mn plus tard c'est la grosse insémination, à gros coups de reins et grand renfort de cris mutuels. Il me relève le torse, toujours enfoncé en moi, et me roule une pelle très tendre ; il me caresse partout tout en poussant encore sa bite... en fait il ne débande ! il exprime tout son plaisir, ne tarit pas d'éloge sur mon cul, bref il se sent prêt pour " un autre petit coup " ; ce que j'en pense ? eh bien je recambre bien mon cul et m'installe bien contre le canapé. Et c'est reparti, aussi énergique et efficace, et j'en réclame et j'en ai pour mon compte. Bref, quelques minutes plus tard dans un rugissement je reçois la deuxième dose, ses secousses de plaisir, ses tremblements, son rire d'être à ce point secoué par son propre plaisir... Puis il m'emmène à la salle de bain, mais toujours enfoncé dans mon cul : il me porte à moitié, j'ai les pieds sur ses chaussures de sécurité ! Il me dit de me branler au bord de la baignoire, et avec sa queue en moi, sa langue dans mon oreille et ses doigts sur mes tétons, je décharge une bonne dose assez vite. Il dit que mes contractions lui ont tiré les dernières gouttes. Il finit par libérer mon cul en me demandant de bien serrer pour tout garder, et enlève ses chaussures le temps que je grimpe. A genoux, il veut voir de près ce qu'il m'a mis : je me tourne face, cambre et ouvre à deux mains, et son jus sort, en grosses coulées, en jets bruyants, sous ses " oh ! ", ses " ouais ! putain... ". Une fois qu'il a grimpé dans la baignoire, je m'agenouille pour lui téter le gland (et je me sens me vider encore !), puis il lance la douche. Très longs baisers, pendant que chacun vide sa vessie, et je lave ce bel homme tout bronzé avec un grand plaisir. Ensuite courte sieste dans son lit (l'ancien lit conjugal !) et long missionnaire très tendre, avant de devenir un vrai charcutage... Je suis tellement plié, et lui tellement cambré, qu'en sortant de mon cul, il n'a qu'un mouvement à faire pour m'arroser la face en beuglant de bonheur, puis me limer la bouche pour finir. Il m'essuie gentiment avec un teeshirt qui traîne (hmmm son odeur !), et on s'allonge pour se remettre, puis on discute un peu, de Sylvie, de Mathieu, de Sophie, etc. Il adore Sophie, mais trouve Mathieu un peu con ces temps-ci... Quant à Sylvie, elle l'a quitté pour un autre, et j'hallucine ! Elle voulait un bébé, et lui pas tout de suite... Bref. Une voiture nous interrompt, et c'est Sophie. Vingt minutes après je la rejoins dans sa (nouvelle) cuisine ; on boit un thé et on discute aussi. Entre autres futilités, je comprends quand même qu'elle sait très bien d'où je viens et qu'il y a aucun problème : Mathieu lui a dit que j'étais homo, etc. Et quand on parle du loup... voilà son homme. Ils s'embrassent, et on lance le repas ; Yann mange presque tous les soirs avec eux depuis son célibat : Mathieu va l'inviter. Apéro, repas, dijo, joint pour Yann, Mathieu ne tire que peu de lattes. Finalement Yann propose que je dorme chez lui " pour laisser les amoureux tranquilles ". Sophie et Mat' approuvent mais lui a le visage assez fermé... Affaire conclue, et sitôt rentrés Yann et moi fêtons ça comme il faut, avec un long bouffage de cul réciproque et une longue baise au pieu. Après m'avoir tiré dans toutes les positions, il me laisse le finir empalé sur lui, et je me branle en même temps ; je me répands sur son torse, lui enchaîne dans mon cul. Il se fume un joint pendant que je nettoie tout avec la langue en me regardant, se réjouissant que j'aime autant le sperme, " c'est quand même génial ! ". Ben oui.

Je suis réveillé par le poids de Yann, qui m'est monté dessus, et se frotte gentiment entre mes fesses, gentiment, mais avec un gourdin impressionnant ! La tête dans l'oreiller, je l'entends cracher plusieurs fois, me tartiner le trou et se lubrifier la bite. Heureusement qu'il y va lentement car le passage du gland me fait crier, mais l'invasion ne s'arrête pas. Il m'écrase de tout son poids ; je descends mes mains pour écarter mes fesses, et il commence à ramoner lentement et profondément, poussant de longs " hmmm " à chaque plongée (chez moi c'est un peu plus sonore, malgré l'oreiller). Il me tient même sous les épaules pour m'enculer au maximum (veut-il m'éventrer ?). Mais le rythme lent ne dure pas infiniment : le marteau-piqueur se met en route, et le bassin commence son travail comme une machine à coudre je me fais littéralement démonter, et le sommier lui-même rajoute aux mouvements. Il veut m'entendre gueuler et me tourne la tête. Avec une voix rauque, et en soufflant comme une bête, il s'exprime crument : " gueule ! ouais... gueule quand jt'encule ! " et beaucoup de questions fusent, auxquelles je réponds bien sûr, par de petits " ouiii ! " aigus entre mes cris : " t'aimes ? t'aimes ma grosse bite ? t'aimes donner ton cul ? tu la sens là qui te perfore ? hein ? salooooope !!!... " et le plaisir le prend sur ce mot, il s'enfonce jusqu'aux couilles et se vide, longuement, lui-même a de petits cris aigus dans mon oreille, que je trouve aussi excitants qu'émouvants. Mais le râle rauque de l'homme, en un long " h " grave revient vite, tandis qu'il tourne dans mon trou comme pour encore l'élargir. Il redevient lent et tendre, couvre ma nuque de baisers, et se retire doucement, s'agenouille les fesses aux talons, et quand je pivote (ouh purée, il m'a broyé !) je vois sa bite dressée et gonflée, bien luisante et surtout impeccable. Je viens la téter, de côté, sous ses encouragements ; sa cage thoracique est encore bien agitée. Il frémit en me disant " hmmm oui ! tète bien ", et je le vois fermer les yeux en soutenant ma tête pendant que je pompe doucement. Après il s'excuse, mais c'était " trop bon " ; je lui dis qu'il n'y a pas de problème, mais je compte sur une dose en bouche à son retour du boulot. Il se marre et promet. Quand il a filé, je m'abandonne au plaisir, branle et doigtage, en me refaisant la scène et imaginant ce qu'il m'a mis. Enfin peu après c'est très concret aux toilettes... A part ce réveil inédit, la journée est quasiment la même. Je rejoins Mat' (mais sans grande envie) au resto : il est clair qu'il fait la gueule, et j'ai droit à une scène de jalousie parce que je dors chez Yann, et il sait très bien ce qu'on y fait. Le ton monte un peu quand il me reproche presque de pas savoir me contrôler : je lui rétorque qu'il ne se plaignait pas de ça quand je lui vidais les couilles à la demande ! Bon, oui, il faut parler moins fort. Très tendue la conversation... Toujours aussi fermé, il me dit que Christophe a appelé et arrive ce weekend et comme ça, eh bien je pourrai " me faire enfiler tant que je veux ". Je lui dis qu'il est vraiment très con, et que s'il était vraiment satisfait au pieu, il serait plus sympa avec moi. Il le prend très mal, et se barre. Nan mais je rêve ! Je le poursuis au bureau et reprend : s'il veut que je cesse de baiser parce que LUI ne me baise plus, il n'a qu'à le dire carrément. Bougon il bredouille un " c'est bon, fais comme tu veux ". Je le quitte, hyper énervé, et plus le temps passe plus je le suis. J'attends Yann dans son canapé, et quand il arrive en sortant sa bite déjà bandée en me disant " ton quatre heures... ", je lui présente mon cul et lui dis que j'ai envie de me faire bien baiser. Je suis une vraie chienne pendant qu'il me la met, et il devient aussi bestial que moi, à qui réclame le plus en étant le plus grossier. Comme ça, il jute en 3mn, moi aussitôt après, par terre, et j'ai le cul bouillant et explosé. Je me retourne, m'agenouille, me vide en lui chopant la bite comme un affamé. C'est lui qui doit repousser ma tête parce que je lui fais presque mal. Explication ensuite : ma dispute avec Mat', qui énerve à son tour Yann : " vraiment trop con, putain ! ". Yann propose la douche, mais je l'attire à moi dans le canapé et lui dis que je veux le sentir. Je le déshabille pendant qu'il vire ses pompes et il s'allonge sur moi, et on se câline pendant que je hume son odeur de mec qui a bien sué ; il est d'ailleurs presque trempé. Je relève les cuisses tout en massant son dos, palpant son cul divin, lui suce la langue en bredouillant qu'il me baise encore. Après quelques frottements, il retrouve le chemin de mon trou et me ramone en missionnaire en prenant son temps ; je lèche pour ma part tout ce que je peux atteindre de la tête aux tétons quand il se dresse. Il n'arrête pas de gémir en me voyant m'activer, demande si je suis toujours comme ça quand je suis énervé : je lui chope la langue et lui dit de bourrer. Là je prends cher... Il prend appui sur l'accoudoir, comme s'il faisait des pompes, et me pine avec une force ! Je suis encastré entre le siège et l'accoudoir, la nuque cassée, et je me branle en le fixant : il a l'air d'un fou furieux. Je me jute dessus, torse et visage, ce qui le fait venir assez rapidement, et il se sort de mon cul et vient m'enfoncer sa queue illico en fond de gorge. Cambré comme un arc, il pulse son foutre brûlant en me remettant deux doigts. Il se vide, se vide, halète et gémit, tantôt levant la tête en extase, tantôt ne perdant aucune miette du spectacle. Il finit d'ailleurs pas me dire " ben t'es beau comme ça ! ". Oui, j'imagine le tableau. Après une douche commune, discussion au pieu, sur Mathieu bien sûr. Puis sieste. Puis 69, bouffage de cul réciproque, et scoop ! il me suce ! et il fait des merveilles... on alterne entre cul et bite, un pur délice. Je voudrais lui donner encore plus de plaisir, tandis que nos glands chatouillent les amygdales de l'autre (pour être précis, le sien a dépassé les miennes, vu la taille bien supérieure de son chibre) ; je me décide à le doigter doucement. Il réagit très bien ! il me fait pareil (mais avec deux, et on a pas vraiment les mêmes doigts !...) et chacun y va de plus en plus fort : il va me faire juter dans sa bouche, le con ! je me retiens tout ce que je peux, mais pas lui : son trou pulse sur mon index, sa queue pulse dans ma bouche, son gland pulse contre mon palais et il m'inonde la gorge. J'ai tellement de plaisir à le déguster que je jouis moi-même, et sous les spasmes mutuels chacun se fait une involontaire profonde... Bon en fait je constate ensuite qu'il n'a pas avalé, il se vide la bouche sur ma queue. Debriefing : il n'a pas trop aimé quand même... On se marre, je lui dis que je ne suis pas du tout fâché. Il me dit qu'il n'est pas sûr de me resucer, mais qu'il voudra profiter de mon doigt à l'occaz. No problem !

mike

Suite de l'histoire

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