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HISTOIRE

Un puceau en skets dans le train

Vive les toilettes handicapées des trains

Jeudi soir, voici 3 semaines, je suis dans le train Clermont-Paris.

Je suis dans la voiture 4, tout seul, dans un " club 4 " composé de 2 rangs de 2 sièges qui se font face.

Il y a vraiment peu de monde dans la voiture, peut-être 4 ou 5 personnes placées loin de moi.

Pris par une envie pressante, je décide d'aller aux toilettes mais je me trompe de côté et me retrouve vers celui de la voiture qui n'en a pas. Je décide donc de passer dans la voiture suivante.

C'est la voiture 3, celle qui a le compartiment enfant et 2 compartiments avec des sièges alignés et le local technique du service de bar.
Il n'y a pas un seul voyageur et là je trouve des toilettes immenses, conçues pour handicapés.

Je reviens à ma place comme nous arrivons à Vichy.

Peu de passagers montent dans le train, juste 3 dans ma voiture. Un couple âgé qui se place loin de moi et un " jeun's ".

Un jeune mec très maigre, mais très grand, au moins 1m90, 20-22 ans. Il a un joli sourire, il regarde son billet et s'arrête au niveau du groupe de sièges où je suis installé.

Il me dit : je suis à côté de vous, mais je vais me mettre sur les sièges en face pour avoir plus de place.

Moi je suis assis du côté couloir et lui s'assoit sur celui des 2 sièges en face côté fenêtre.

Je prends mes aises, enlève mes skets et pose mes pieds sur le fauteuil d'en face placé à côté de lui.

Lui : je ferais bien comme vous mais j'ai mis mes baskets ce matin, donc...

A vrai dire, je n'avais vraiment prêté attention à ce mec, trop jeune pour moi, mais là je le détaille de la tête aux pieds...

Visage fin, sourire d'enfer, belle carrure mais maigre, pas sportif, des jambes immenses et des pieds... du 45 au jugé, ornés de magnifiques pumas rétro rouges avec une semelle remontante noire sur leur pointe.

Moi : vous savez ça ne me dérangera pas beaucoup, mettez-vous à l'aise.

Il se déchausse et place ses pieds en cho7 de sport blanches sur le siège voisin du mien. Au bout de 2 minutes, je commence à sentir une odeur de transpiration, une bonne odeur de pieds qui ont passé une longue journée dans leurs skets.

Très vite, je deviens obsédé par ces pieds qui en plus bougent au rythme de la musique qu'écoute mon vis à vis.

Se rendant compte que je n'arrête pas de fixer ses pieds, il enlève ses écouteurs.

Lui : ça vous dérange peut-être, ils doivent sentir, je vais remettre mes chaussures.

Moi : pas du tout, et je décide de passer au tutoiement ; tu peux les laisser, ça ne me dérange pas du tout.

Lui : comme vous les regardiez bien... j'ai cru

Moi : non, je me demandais quelle pointure tu fais ? 45 ?
Lui : non, plutôt un 47, voire 48 en skets mais comme j'ai un pied très fin le 48 est un peu large.

Moi : impressionnant !

Là nos regards se croisent. J'ose l'inconcevable, j'approche sans le quitter des yeux une main de son pied le plus proche et j'en palpe la plante des pieds.

Il ne dit rien.

Je quitte son regard et me penche vers ses pieds pour les sniffer. Il ne dit toujours rien et quand je relève les yeux, je vois qu'il a fermé les siens.

Je jette un regard autour, personne ne peut me voir, les autres passagers sont trop loin. Alors je continue à sniffer ses pieds en cho7 puantes. Je lui lèche les orteils à travers la chaussette, je lui lèche la plante des pieds, lui mordille les orteils.
Sa grande main a bougé et s'est portée sur sa braguette qu'il caresse doucement.

Voyant que je lui fais de l'effet, je continue mon travail de ses pieds en chaussettes daubantes.

J'entends le mécanisme de la porte du compartiment et me redresse brusquement. Lui aussi. Le contrôleur arrive pour le contrôle des billets.
Il commence directement par nous et s'excuse de nous avoir réveillés. En fait, mon jeune en chaussettes et moi étions plongés dans notre extase réciproque et nous avons l'air d'être sortis d'un sommeil réparateur.
Le contrôle dure quelques secondes et au départ du contrôleur, mon oeil tombe sur la braguette du jeune : je vois une bosse longiligne qui va jusqu'à sa poche.

Lui : oui, je sais... elle est longue, à la mesure de mes pieds... Je t'aurais montré si on avait été ailleurs. En tout cas merci pour tout à l'heure, tu sniffes et lèches divinement.

Moi : tu as des pieds extra et des chaussettes à tomber !

Lui : je les porte depuis ce matin 5h30 quand j'ai pris le train et j'ai marché toute la journée avec...

Moi : j'adore tes skets aussi.

Il en attrape une et me la tend.

Lui : fais-toi plaisir.

Je prends sa sket et je la porte l'intérieur à mon nez pour bien la respirer, tandis que de l'autre main je caresse un de ses pieds. Que du bonheur.

J'arrête de sniffer et je commence à donner des coups de langue sur le dessus puis je vais sur la pointe de sa sket que je titille de coups de langue.

Le jeune cette fois a posé sa main sur sa bite et se pelote à travers son jean.

Moi : j'adore cette pointe de sket !

Lui : profite alors, j'adore te voir la nettoyer comme ça.

Moi : j'imagine ce quelle doit faire en plan asskick, elle doit être mémorable !

Lui : en plan quoi ?

Moi : asskick, le soumis est à 4 pattes et tu lui mets des coups de skets direct dans le trou du cul.

Lui : tu veux dire des coups de pied pile dans la rondelle ?

Moi : oui c'est ça et tu peux taper fort.

Lui : mortel ! putain ! Tu le fais toi ? Tu te fais latter ?

Moi : oui, j'adore.

Il regarde autour de lui et lâche : putain, dommage qu'on soit pas seuls, t'imagines je fais du 47 !!!

Moi : j'imagine très bien, et je vois que toi aussi.

Depuis qu'on échangeait sur le asskick, je voyais la bosse longiligne s'affirmer très fortement.

Moi : tu aimerais que je sniffe à nouveau tes pieds en chaussettes, puis que je me mette à 4 pattes pour prendre ton 47 dans le trou du cul.

Lui : putain, arrête je peux pas me branler ici.

Moi : mets tes skets et suis moi.

Il enfile ses skets sans les lacer, et moi je prends au passage mon nécessaire de voyage à la main : assortiment de capotes et gel...

Nous allons dans la voiture 3 déserte et j'ouvre les toilettes handicapés. Nous entrons et condamnons la porte.

Je baisse la lunette des WC et lui dit de s'assoir. Il est un peu perdu et obéit.

Je me mets à 4 pattes et commence à lui lécher ses pumas lentement avec délectation.

Il ouvre sa braguette et attrape sa bite. Je ne la vois pas entière mais ce que je vois m'excite au plus haut point. Une bite hyper raide, avec un gland bien dessiné.

Il se branle doucement pendant que je décrasse ses skets.

Lui : mets-toi à 4 pattes et montre moi ton cul.

Je suis surpris par le ton autoritaire mais je ne demande pas mieux.

Il se lève et se tient à une barre et plaque une pointe de sket sur ma rondelle.

Il la titille doucement puis fortement.

Lui : je peux de te donner des coups, t'es sur ? Je fais du 47 et je peux m'exciter... et te démolir...

Moi : vas-y fais toi plaisir

Un coup, puis 2, puis ... je ne compte plus. Pile dans le trou du cul, de plus en plus fort mais je sens qu'il se contient.

Il s'arrête.

Lui : suce-moi !

Il baisse son pantalon et son slip et laisse apparaître un engin de 22cm, pas épais mais très beau.

Je le suce goulument.

Lui : pas trop vite, je veux pas jouir de suite.

Je reprends plus doucement pendant un moment. Mais j'ai envie de cette bite... dans mon cul.

Moi : tu n'as pas envie de m'enculer ?

Lui : je ne l'ai jamais fait, et puis dans ces chiottes, j'ai pas envie de me mettre à 4 pattes.

Je regarde les barres de chaque côté de la cuvette.

Moi : m'enculer debout, tu aimerais ?

Lui : pourquoi pas

Là je vois son oeil briller.

Je monte sur la cuvette, m'accroupis, me tient aux barres et lui présente mon cul à hauteur de sa bite en lui tendant ma pochette de capotes et de gel.

Il attrape la pochette.

Lui : tu sais, il me faut des XL... c'est bon tu en as.

Il enfile la capote et avant que j'ai le temps de lui dire de mettre du gel, il est derrière moi, son gland contre ma rondelle et d'un coup de rein il me pénètre juste du gland..

Je crie. Ca le stoppe dans son élan.

Lui : tu as mal ?

Moi : oui, tu as oublié le gel. Ca fait mal.

Lui : tu vas crier si tu je continue ?

Moi : ça risque. Je me demande où il veut en venir et je me dis qu'il va débander si on continue à parler.

Lui : j'ai toujours rêvé de faire mal avec ma bite.

Il me plaque alors une de ses mains immenses sur la bouche et me pénètre d'un coup jusqu'à la garde de ses 22cm.
Là je crie vraiment mais mon cri est étouffé par sa main.

Il continue de me limer brutalement.

Après la douleur intense, viens le plaisir. Je ne veux pas me relâcher car sa bite est longue mais mince.
Alors je contracte au maximum mon cul.

Il le ressent.

Lui : oui ! Serre ton cul et cambre-toi à fond.

Au bout de 10 minutes de limage intensif, il jouit longuement.

Mon cul est en ruine, ma bite au garde à vous, mais je n'ai pas voulu jouir pour profiter jusqu'au bout de cette première fois pour lui.

Il enlève le préservatif.

Moi : tu t'es déjà fait nettoyer la bite après avoir joui ?

Lui : non, c'est dégueulasse.

Moi : laisse-moi faire

J'attrape sa bite qui ramollit et lui nettoie son membre complètement sans laisser une goutte de jus.

Il est aux anges...

Je finis de le nettoyer avec une lingette pris dans ma trousse.

NEVERS est alors annoncé.

Moi : regagnons nos places, c'est mieux.

Nous sortons l'un après l'autre sans croiser personne.

Personne ne monte à Nevers.

Nous nous regardons, il a remis un pied à côté de moi et un autre plaqué sur mon entrejambe.

Après Nevers pas d'arrêt, c'est Paris direct.

Nous restons comme ça un moment, calmes, ma main sur son pied en chaussette et lui son autre pied sur ma bite gonflée à bloc car elle n'a pas crachée. Il la titille à travers mon jean et je mouille comme un malade.

Au bout d'une demi-heure, lui : tu sais que je rebande à fond !

Moi : je vois ...

Lui : j'ai adoré te latter le trou du cul et t'enculer. C'est trop bon.

Moi : j'ai encore mal au cul...

Lu : dommage, je t'aurais bien à niveau botté et enculé.

Moi : au contraire, ce sera meilleur, j'adore avoir mal.

Lui : je pourrai plus me lâcher pour les coups de pieds ?

Moi : sans souci, par contre je me branlerai pendant que tu m'encules

Lui : pas de blem.

Toilettes handicapés, voiture 3. C'est un peu comme chez nous.

Je suis vite à 4 pattes cul offert à son 47.

Il me botte avec beaucoup plus d'assurance que tout à l'heure. Il sait jouer de la douceur et de la brutalité, de plus il varie la forme de ses coups, des fois le coup part bien droit vers mon trou, des fois il me donne des coups en remontant son pied.
Ce bottage dure un bon 1/4 d'heure.
Il m'ordonne de me m'accroupir à nouveau sur la cuvette et met une capote.

Lui : tu veux que je mette du gel

Moi : non, j'aime quand tu m'encules hard.

Il replace sa main sur ma bouche et m'encule d'un coup.

Là-aussi, il est plus hard et cette sodo est terrible mais géniale car je me branle.

J'adore être bâillonné par sa main car comme ça je ne suis pas obligé de retenir mes cris de douleur et de plaisir mêlés.

Je jouis au bout de 5 minutes de ce traitement de marteau-piqueur et lui jouit quelques secondes après moi.

Nous sommes exténués tous les deux.

Il jette sa capote et se cale contre la cloison attendant que je lui nettoie la bite comme tout à l'heure.

Moi : donne-moi une de tes chaussettes.

Il enlève une de ses chaussettes daubantes et me la tend.

Je la prends et lui nettoie lentement la bite avec.

Il est sidéré : et je mets quoi au pied maintenant ?

Moi : cette chaussette qui pue et qui en plus maintenant est couverte de ton sperme.

Lui : c'est dégueu.. Mais ok, mais toi pareil, donne-moi une de tes chaussettes !

J'en enlève une et lui donne. Il me nettoie alors la bite comme je viens de lui faire, puis me tends ma chaussette jutée et je la remets.

Nous rejoignons nos places. L'excitation est retombée.

Nous somnolons tous les deux, chacun dans notre coin, nos chaussettes yopées dans nos skets.

Une annonce de la vente ambulante nous réveille.

Le trajet se finit, plus que 30 minutes avant l'arrivée.

Lui : j'ai adoré...

Moi : moi aussi ; tu bottes bien !

Lui : oui mais là j'ai plus envie, j'ai même pas envie de t'enculer.

Moi : 2 fois en 45 minutes, tu as déjà bien donné !

Lui : tu fais ça souvent ?

Moi : chaque fois que j'ai l'occasion ; j'adore aussi être allongé devant un mec et qu'il pose un pied en chaussette sur ma gueule et qu'il appuie sur ma bite avec sa sket.

Lui : continue, ça me refait bander

Moi : j'aime aussi me faire enfoncer une chaussette dans le cul ou me faire branler par les pieds du mec.

Lui : une chaussette dans le cul... tu fais comment ?

Moi : je la mets sur un gode, je l'enduis de lubrifiant et puis...

Lui : on n'a pas de gode...

Moi : des fois si le mec a une bite très dure...

Lui : on y va...

Moi : attends il reste 25 minutes, c'est trop court...

Lui : on y va !

Toilettes handicapés, voiture 3...

Il bande comme un mulet. Il a déjà enlevée sa chaussette yopée et commence à la mettre sur sa bite.

Moi : là non, tu vas avoir mal en limant.

Lui : non, vas-y fous ton lubrifiant dessus

Il est top excité et sa bite semble en fer.

Je couvre cette chaussette de lubrifiant et m'en mets sur les doigts pour me préparer le cul.

Il est manifestement pressé, il attrape le tube de gel et s'en met sur les doigts et m'enfonce d'un coup 3 de ses longs doigts dans le cul.

Je retiens un cri de douleur !

Moi : t'es dingue, tu vas me déchirer le cul.

Lui : ta gueule, monte sur la cuvette comme tout à l'heure, et pour me faire comprendre qu'il faut que j'obéisse il enfonce brutalement ses trois doigts plus profond et les écarte m'arrachant un vrai cri de douleur.
Je comprends que ça l'excite.

Je suis sur la cuvette, ses doigts dans mon cul, il les remue maladroitement mais m'ouvre brutalement.

Il les retire et je sens de suite son gland en chaussette sur mon trou.

Il donne un coup de rein et le gland franchit mon trou me râpant le cul de l'intérieur malgré le gel.

Il donne un autre coup de rein et gueule.

Lui : putain ça me râpe la bite !

Moi : et moi le cul !

Lui : j'adore !

Et il cherche à enfoncer davantage sa bite en chaussette par des petits coups de rein.

Mais il jouit très vite, sa bite en chaussette enfoncée peut-être de 6-7 cm dans mon cul.

Il se retire mais la chaussette reste dans mon cul car il en a écarté les bords avec ses doigts en se retirant.

Je veux me faire jouir mais j'ai trop mal au cul et je m'enlève de la cuvette.

Il s'assoit à ma place : allonge-toi et fais-toi jouir !

Je me retrouve allongé devant lui, lui assis sur ces chiotes.

Il se penche et attrape les bords de la chaussette qui dépasse de mon cul. Avec ses doigts il écarte les parois de la chaussette qui sont dans mon cul et bourre le creux avec la partie de la chaussette qui dépassait.

J'ai sa chaussette pleine de foutre chaud en boule dans mon cul.

Il place son pied en sket sur ma rondelle bourrée par sa chaussette et frappe doucement.

A chaque coup de sket je sens la chaussette se compresser dans mon cul.

D'un coup, il attrape un de mes pieds, fais gicler ma sket et ma chaussette qu'il me tend.

Lui : crache ton jus dedans.

Il reprend son bottage de ma rondelle, et après chaque coup il laisse sa pointe de sket en place et appuie pour m'enfoncer sa chaussette plus loin.

Avec ce traitement, je jouis très vite dans ma propre chaussette.

Il me l'arrache : souvenir ! Toi tu as la mienne dans le cul.

Paris, Paris, arrivée à Paris Bercy dans 5 minutes.

L'annonce a l'effet d'un coup de fouet. Nous nous rhabillons, chacun ayant un pied nu dans une sket, lui une de mes chaussettes dans son poing fermé, moi une de ses chaussettes bien enfoncée en boule dans mon cul.

Au moment de m'assoir dans mon siège, je sens la chaussette m'appuyer sur les parois de mon cul qui maintenant qu'il n'est plus dilaté par l'excitation me fait comprendre que je vais avoir mal pour l'enlever.

Le train s'arrête. Nous nous laissons les gens partir.

Nous nous levons, prenons nos affaires, il est derrière moi.

Je me prends à nouveau la pointe de son 47 dans le trou du cul, mais avec la chaussette bloquée dedans la je crie vraiment.
Mais un 2ème coup de pied me frappe.
Je ne bouge pas.
Un 3ème, un 4ème, ...
J'ai top mal au cul mais je sais que ce sont les dernières minutes...
Puis il me bouscule, me fait un smack sur la bouche et passe devant moi en agitant ma chaussette yopée.

Je reste comme un con quelques minutes et je descends.

Il est là appuyé sur un pilier du quai...

Lui : file moi ton tel

Je lui donne et depuis j'attends...

Pumasics

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