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HISTOIRE

Le stagiaire

Mon boss

Dans ma seconde année d'université il me fallait trouver un stage de 6 mois afin de valider mon année. Par chance j'en trouvai un bien en avance, dans une boîte d'import-export, le boulot me plaisait bien.

A l'époque j'avais 20 ans, 1m80, 75kg, tout en muscle après de nombreuses années de rugby et de natation, poilu et monté 21x6. Bi.

Bref je me présentais pour mon premier jour, chemise bleu foncé, costard noir bien cintré et mocassins. Ce n'est pas pour me vanter mais là-dedans j'avais la classe! C'est le chef du service qui m'accueillit, c'est qui serais mon responsable pendant toute la durée de mon stage. La journée se passa très bien, je découvrais mon nouveau job et me sentais assez à l'aise dans l'équipe.

Environ 3 semaines après mon arrivée le chef du service vint me voir et me dit

_" j'aurais besoin de toi sur un dossier ce soir

_ce soir?

_ oui repasse au bureau vers 21h on pourra travailler tranquille".

J'acceptais un peu surpris.

La journée passa vite et était assez habituelle.

A 18h je rentrais chez moi, pris une douche et prépara mes affaires: une chemise blanche assez près du corps et un costard noir un peu satiné (oui je m'éclate avec les costards XD). A 21h j'étais dans son bureau, en effet son dossier méritait qu'on y bosse le soir, mais l'ambiance était assez décontractée, on avait retiré nos vestes et ouvert les cols de chemise (autant vous dire que ça représente un gros progrès vu l'entreprise).

Alors que j'étais en train de lire un graphique je sentis un baiser dans mon coup et deux mains passer autour de ma taille.

_" Qu'est c'que vous foutez?? M'écriais-je en me retournant, très surpris

_ Excusez-moi mais depuis votre arrivée j'ai envie de sentir votre corps contre le mien, vous m'obsédez presque, je voulais savoir s'il y avait une possibilité, veuillez m'excusez et oublions cet incident.

_Je n'ai jamais dit non..."

Là il se tourna vers moi et me regarda fixement, dans son regard un mélange de surprise, de satisfaction et d'excitation.

A vrai dire mon patron est plutôt pas mal; la quarantaine, blond avec un regard acier, environ 1m80 comme moi, il avait une carrure plutôt honorable.

Là il passa une main derrière ma tête et vint m'embrasser. Je plaçais mes mains autour de sa taille sentant la chaleur de son corps irradier à travers sa chemise. Sa barbe de 3 jours caressait mon visage, cette pelle était délicieuse, virile mais tendre. Il se retira et passa le dos de sa main le long de mon torse, il déboutonna prudemment ma chemise découvrant mon torse qu'il dévora du regard lorsque ma chemise eut atteint le sol. De ses mains chaudes il palpa, soupesa chacun des muscles de mon torse, glissa ses doigts dans les poils fins recouvrant ma peau brûlante, pinça mes tétons déjà dréssés. Il posa ses lèvres sur mon corps, de ma nuque à mes épaules puis aux flans, il descendit ainsi jusqu'à l'élastique mon boxer dépassant de mon pantalon, puis il remonta suivant la ligne de poils rejoignant mon nombril et se détachant du reste de ma toison par son épaisseur. Il remonta comme ça entre mes abdos, puis entre mes pecs, où il mordilla chacun de mes tétons et m'embrassa de nouveau. A mon tour j'ouvris sa chemise, blanche lui aussi, laissant apparaitre un torse bien découpé, où chaque muscle était bien visible, le tout orné d'une épaisse toison blonde. Je m'empressais de découvrir le corps de ce mâle, de mes mains et de ma langue, m'occupant avec plaisir de ses tétons bien durs. Une fois cela fini on se regarda l'un l'autre, pendant environ 3 secondes peut-être et il se colla à moi, nos torses l'un contre l'autre, ce contact bien viril entre deux mâles ne fit que renforçait la gaule qui déformait mon pantalon et sur laquelle je sentis la main de mon boss. Il palpait à pleine main mon entrejambe et ouvrit tranquillement ma braguette et fit descendre mon pantalon. Me retrouvant en boxer, un CK rouge, déformé par ma trique enserrée dans sa main brûlante. Je fis de même. A ma grande surprise il ne portait un calbut comme beaucoup de mec mais un jockstrap, blanc avec un élastique doré, Andrew Christian. Pas tellement surprenant de sa part. Il laissait voir un paquet bien lourd et son cul musclé avec une rai!

e très poilue comme je les aime. Il me prit par les épaules et me guida sur le canapé de l'autre côté de son bureau. Il vint se coucher sur moi, torse contre torse, pacson contre pacson, il m'embrassa de nouveau pendant que mes mains palpaient ses fesses offertes, osant passer un doigt dans sa raie et au milieu des poils je trouvais sa rondelle déjà humide, à ce contact je sentis mon boss frémir et cambra son cul que je présumais affamée. Lui glissa ses mains le long de mon corps et vint saisir ma queue bien raide à travers le tissu. Sacrée poigne! Il me branlait doucement et se leva, s'agenouille et colla sa langue sur le tissu tendu par mon membre. Il me mordillait, me léchais à travers, il passa un main sur ma cuisse et glissa sous la jambe de mon calbut. Il prit mes burnes en main et me fit gémir, il alla un plus loin, attrapa ma bite et la fit sortir par la jambe, et après un coup de langue sur mes couilles et s'attaqua à mon vier branlé jusque-là par ses soins. Il me lécha de haut en bas, téta goulument mon gland décalotté et finalement prit ma queue en bouche, jusqu'au bout, avec une facilité déconcertante. Il me regardait droit dans les yeux. Il me fit lever, vira mon calbut. Et à 4 pattes il me pompa bien. Je pris sa tête entre mes mains et imprima un va et vient profond dans sa bouche très accueillante!

Je le fais remonter, assis sur la canapé, les jambes bien écartées, je travaille un peu ses pecs avant de descendre coller mon pif sur son pacson bien lourd. Le tissu est super doux, chaud, l'odeur de sueur, de queue et de mâle en rut me remplis les narines. Je commence à m'occuper de sa bonne queue à moitié tendue à travers son jock quand il me dit:

_" Non occupe-toi de mon fion plutôt

_Pas de problème!"

Il se mit en levrette, moi à genoux au pied du canapé, agrippant ses fesses, effleurant sa raie de ma langue avant de m'enfoncer plus profondément à travers ses poils, sa rondelle palpitante, bien ouverte, Je savourais son fion bien cambré, musclé, poilu, ouvert. Vu les ondulations de son bassin il prenait son pied avec ma langue. Je me relevais, fessant un coup son cul, j'allais chercher la capote dans mon portefeuille, il me regardait un regard interrogateur mais sourit quand il vit l'emballage métallisé. Une fois emballé je présentais ma queue contre son cul et l'enfila d'un coup sec lui arrachant un râle entre la douleur et le soulagement. Mes hanches imprimaient un mouvement de va et vient entre ses fesses, mes burnes tapant contre son cul au rythme de mes assauts et lui râlait à chaque fois que je m'enfonçais, sa tête enfouie dans les coussins. Je sortis ma queue toujours raide pour voir sa rondelle béante, bien ouverte, un trou ne demandant qu'à être rempli. Je fis claquer les deux élastiques du jock strap contre sa peau.

Changement de position! Un missionnaire sur le tapis épais au pied du canapé. J'avais une vue superbe sur ton torse viril, son visage grimaçant de plaisir et sur sa queue bandée tendant le tissu du jock. J'avais changé de rythme, plus lent mais plus profond; je ressortais presque totalement avant de m'enfoncer sèchement jusqu'à la garde. Je penchais en avant pour ramener ses jambes vers lui et ainsi le prendre plus au fond, par de petits coups de rein rapides. La sueur ruisselait le long de mes muscles quant à lui, ses poils collaient à sa peau. Je sentais que je ne tiendrais plus très longtemps. Je saisi son chibre imposant à travers le tissu et l'astiqua énergiquement tout en pilonnant son cul, il ne fallut pas longtemps pour que je sente sa queue tressauter et le tissu s'assombrir. Je déculais, virais la capote et vins répandre mon foutre sur ses pecs, non sans encouragements de sa part, ses poils effleurant mon gland.

Je lui fournis le paquet de mouchoir pour s'essuyer, se rhabilla, gardant sur lui le jock foutreux, on partit ensemble, il me déposa en bas de chez moi. Après tout demain il fallait y retourner...


Le comptable

Il était environ 16h, je m'offrais enfin une pause, j'entrais dans les chiottes, me dirigea vers un urinoir, et je pissais,enfin, non sans un soupir de plaisir. Il n'y avait personne, presque personne, car alors que j'avais presque fini un des comptables se plaça juste à côté de moi. Pourquoi sur les 10 urinoirs il faut qu'il se colle à côté de moi!?

Il devait faire 1m70-75, assez massif, une barbe noire assez épaisse tout comme ses cheveux, il portait une chemise à carreaux, jeans, basket. Privilège des comptables qui ne voient jamais personnes! Il ne s'était pas passé 15 secondes qu'il m'adressa la parole

_" je t'ai vu hier soir avec le chef du service logistique

_comment ça, j'essayais bien sûr de rester impassible,

_ en train de baiser dans son bureau...si tu ne veux pas que la direction le saches il va falloir..., là il avait pris ma queue en main et me branlais presque sans trop de réaction ne sachant plus trop où me mettre, à 20h dans le hall".

Autant dire que les 4h avant le rendez-vous passèrent très lentement. A 20h le hall était désert mais j'étais là même si je me demandais vraiment ce qu'il allait se passer. J'avais passé un jeans, des baskets et un T-shirt col en V, autant dire que j'étais loin du dresscode que l'on m'imposait durant les heures de boulot. Il vint. Ponctuel le connard. On monta à l'étage habituel. Il passa devant pour montrer où on allait. Au lieu de prendre vers les bureaux il m'emmena vers un petit local dont il ferma la porte derrière moi. Il y avait une photocopieuse sur ma gauche, une bibliothèque pleine de dossier au fond et un bureau avec plein de tiroir à côté. Je m'assis sur le bureau, il vint se coller contre moi. Je l'embrassais dans la nuque, sa barbe était douce et lui donnait un côté "sauvage", après tout s'il fallait que je me le fasse autant que je me fasse plaisir au passage, il avait passé une main dans le col large de mon t-shirt, caressant le haut de mon torse. Je déboutonnais cette fameuse chemise à carreaux, laissant apparaître un toison noire assez dense, de même j'étais torse nu, ses mains parcourant mon corps. Il colla son torse contre le mien et me roula une pelle. Je sentais ses poils caresser ma peau, il avait les épaules larges mais n'était pas spécialement musclé, sa barbe caresser mon visage. Il descendit dans nuque puis sur mon torse, travaillant mes gros pecs, joua avec mes tétons, testa la dureté de mon abdos du poing et me mit une main au paquet, prenant bien mon matos en main en me regardant avec un sourire particulièrement vicelard, il ouvrit ma braguette et vira mon fut, je portais un calbut jaune, mettant bien en valeur mon pacson avantageux, sur lequel il mit sa main. Il appuya ma tête vers son torse, m'obligeant à finit dans son épaisse toison, une odeur viril m'envahit et je parti à la recherche de ses deux tétons, roses, durs, dressés, sentir mes doigts les pincer le fit gémir. Je m'attaquais à sa braguette, découvrant calbut blanc tout simple dont je sondais le contenu à la main!

. Bof. 12-13 cm environ, plutôt fine mais bon au moins il bandait bien dur. Il me mit, lui aussi une main au paquet mais ne s'attendait pas vraiment à cette taille, vu sa tête. Il fit descendre mon jean, laissant apparaitre mon calbut. Il prit ma tige en main à travers le tissu tout en mordillant mon téton gauche, je passais ma main dans ses cheveux, une tignasse épaisse et noire, comme sa barbe, comme le reste. Il s'agenouilla, vira mon calbar et me prit en bouche, il essayé de me prendre entier. Peine perdue. Il ne suçait pas spécialement bien mais bon j'avoue qu'avoir ce connard à genoux devant moi me donnait surtout envie de le bifler, de voir la marque rouge de ma queue sur sa gueule de con. Il se releva et me fit comprendre que c'était à mon tour. Hé merde! Il vira lui-même son calbut. Bonne estimation de ma part. Petite bite, ça m'étonne même pas, j'ai au moins droit à une paire de burnes bien pendante, même si à l'échelle du reste. Il mit ses deux mains sur ma tête, je le pris en bouche, et il imprima lui-même le mouvement. Il pouvait y aller avec ce qu'il a dans le froc je risque pas de m'étouffer. Deux minutes, c la pipe la plus chiante, et certainement la plus rapide de vie. Je me relevais et je sentis ses doigts glisser entre mes fesses et venir forcer mon cul.

_"hmmm t'es bien serrer, je vais bien prendre mon pied dans ton cul, je vais te faire gémir, tu vas voir tu vas en redemander!

_Ça j'en doute!"

Il me regarda avec interrogation mais il n'eut pas le temps de réagir que je l'avais plaqué sur le bureau, lui coinçant les bras dans le dos, les attachant grâce au rouleau de scotch gris qui était sur une étagère à coté

"Alors bâtard tu fais moins le fier là!", (oui je profitais de la situation). "T'es serré mon salaud mais t'inquiètes je sais y faire avec les puceaux comme toi!" Oui j'avais testé son trou au doigt et vu comment il été serré il y avait de grandes chances pour qu'il soit inexploré. Je me mis à genoux, écarta ses fesses poilues et dégagea, entourée d'une bonne dose de poils, une rondelle sur laquelle je mis ma langue, lui arrachant une palpitation au passage, j'alternais, rapide ou lent, large ou précis. Je rentrais un doigt dans son trou lubrifié par ma langue, il était bien desserré, je tentais un deuxième qui rentra en force, il gémit (et pas de plaisir). Je sortis mes doigts, me leva, sortis une capote de mon fut. J'enfilais la capote et lui bouffa encore un peu le cul, à vrai dire je kiffais tous ces poils qui caressaient mon visage et son trou qui dilaté peu à peu malgré lui. Je me plaçais derrière lui et l'enfila en force, je voyais les larmes perler, son fion était encore très serré sur ma queue, jamais j'avais été aussi à l'étroit et j'avoue qu'il devait douiller! Je mis mes mains sut sa tête pour appuyer sa gueule d'enculé (dans tous les sens du terme) contre le bureau pendant que je le pilonnant et le traitant de tous les noms. Il gémissait fort, je ne savais pas trop s'il s'agissait de douleur ou de plaisir. Sûrement les deux. Je décula, lui laissant un moment de répit, prit mon calbut et lui enfourna dans la gueule comme bâillon. Je le réembrocha sur mon chibre, il était maintenant largement détendu et les gémissements étouffés ressemblaient bien a du plaisir. Mon bâtard prenait son pied à se faire démonter son cul poilu par le stagiaire bien monté (qu'il avait voulu enculé...). Je lui glissais mon pouce dans le cul en plus de ma queue. Il n'appréciait pas trop cette intrusion qui élargissait son trou déjà endolorie. Je le retirais. Je sentis son cul se serrer, ce qui lui arracha un cri étouffé car moi je le baisais toujours, mais en plus cette rondelle se serrant sur ma queue déjà à bout me !

fit gicler comme un ouf, quel pied sérieux, un cul bien serré c'est quand même super. Je déculas, le prit par les cheveux et le fit mettre à genoux devant moi, je lui vira mon calbut, vira la capote bien rempli de mon foutre encore chaud en prenant soin de ne pas la retourner, le tenant toujours par les cheveux, la tête en arrière, gueule bien ouverte et langue sortie je retourna la capote et mon jus tomba lentement sur sa langue et sa barbe. J'appuyais bien dessus pour tout faire descendre. Pas de gaspillage avec mon foutre! Quand cela fut fini il eut droit à une petite baffe, "toi mon gars je t'es pas loupé, t'es prêt à encaisser après un dépucelage comme ça! Bon faut dire que tu l'as cherché connard". Il ne répondit rien. Je remarquais qu'il y a avait une bonne quantité de foutre sur le bureau. Ce con avait le juté sur les tiroirs, ça dégoulinait le long des trois tiroirs et gouttais sur la moquette.

Je me rhabillais, coupa un peu le scotch, mais pas trop, qu'il puisse se libérer mais pas trop facilement, et repartis chez moi tranquille les burnes bien vidées.

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