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HISTOIRE

Frères de coeur

Cette histoire est issue d'un fantasme. Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existants serait fortuit.

J'imagine qu'il faille commencer par me présenter : mon prénom est Maxime. Je fais environ 1 mètre 75 pour 72 kilos. J'ai les cheveux châtains coupés courts que j'aime bien laissé en bataille : ça me donne un genre cool, très apprécié auprès des filles.
Mon meilleur ami se prénomme Jérémy. Lui, est plutôt grand : 1m92 pour 87 kilos de pur muscle. C'est vraiment un animal, un vrai taureau nourri au stéroïde. Il a les cheveux bruns coupés courts aussi et de grands yeux bleus très intense. En réalité, c'est un peu le bourreau des coeurs du lycée : il a une vraie gueule d'ange pour un corps d'athlète. Un véritable de la mythologie grec, ne manquant pas moins de virilité : si lui et moi avons tous deux 18 ans, lui en paraissait facilement 21.

Nos différences physiques et nos caractères bien distincts auraient dû faire en sorte que jamais nos chemins ne se croisent. Pourtant, la vie n'est jamais telle qu'on l'imagine et le hasard occupe une place prépondérante dans notre rencontre.
C'était dans notre enfance que tout avait commencé : durant les sept premières années de ma vie, j'ai suivis une éducation très stricte, avec un père rigoureux au possible, m'instillant des règles et des notions de vie vraiment démodés. Ma mère ne supportait pas ce traitement pour moi mais elle n'a jamais réussi à lui tenir tête. Donc, par une nuit très noire d'hiver, elle m'a emmenée avec elle. Nous sommes partis en dehors de mon petit village et là, je suis monté dans une voiture avec un inconnu. J'appris peu de temps après qu'il s'agissait de mon grand-père maternel avec qui je m'entends très bien.
Même si ma mère était beaucoup plus souple que mon père, elle avait tout de même un règlement plus strict que la majorité des parents modernes mais elle parvint à m'éduquer jusqu'à mes dix-sept printemps. Mais je m'égare un peu.

Dans la ville où nous nous étions installés, je ne connaissais personne. Mais mon voisin, Jérémy, débarquait également dans la région. Nous étions un peu à l'écart du centre, dans une banlieue fréquenté par des gens aux revenus aisé. Mais les parents de Jérémy étaient réellement pleins aux as : l'argent ne manquait pas et ne manquerait sans doute jamais. Très vite, lui et moi avons sympathisé.

Moi qui étais plutôt calme, réfléchi et réservé, Jérémy lui était têtu, fonceur et bagarreur. On pourrait même dire un peu abruti, tellement il manquait de jugeote. Mais même si je le pensais un peu aussi, je prenais sa défense lorsqu'on se moquait de lui, à l'école et j'ai toujours été là pour le soutenir. Ce qu'il y a surtout à retenir, ce qu'il refusait qu'on lui dise ''Non'' : vivant avec des parents qui le gâtait, la déception et le refus lui étaient des concepts obscurs.
Au fil des années, notre amitié s'est renforcée et même si nous étions relativement différents, nous étions inséparables : je l'aidais pour ses cours et il me traînait de force aux salles de sport pour faire de la musculation. Même si je n'avais pas à me plaindre de mon corps développé, mes muscles faisaient pâle figure face à ceux de Jérémy : depuis le premier jour où nous nous sommes entraînés, j'ai vu ses jambes devenir de véritables piliers de dureté, ses bras devenir tellement large que mes mains ne pouvaient en faire le tour complet et son torse se déployer : ses pecs superbement dessinés étaient garnis de deux tétons noirs, entourés de quelques poils sombres. Et sa pilosité le rendait d'autant plus viril et attirant. D'autant qu'il avait déjà une gueule d'amour, toutes les filles s'amourachaient à essayer de l'entraîner dans leur lit. Il était également champion de lutte et de krav maga, allant de pair avec son tempérament très agressif.

Retour sur les évènements présents : nous étions, lui et moi, dans sa chambre, en train de s'adonner à une partie de jeux vidéo. Tous deux très concentrés sur le match en cours, nous gesticulions sur place, astiquant tous les boutons afin de feinter l'adversaire et d'arracher la victoire. A égalité et bientôt la fin, le dernier point serait décisif. Et comme d'habitude dans ses moments-là, Jérémy n'hésite pas à me donner un grand coup dans le ventre pour que je sois déstabilisé. Plié en deux, le souffle court, je vois finalement le score s'afficher et la victoire est pour mon ami.
-Ah ah, t'as encore perdu ! s'esclaffa-t-il, satisfait de son subterfuge qui fonctionne encore et toujours.
-Et évidemment, le tout dans les règles de l'art ! marmonnai-je en me massant les abdos encore endoloris
-Que veux-tu, c'est ça le talent ! ajouta-t-il à cela en lâchant la manette sur le tapis de sa chambre. Bon alors, que vas-tu me donner cette fois-ci ?

Oui car il faut savoir que, dans notre enfance, lui et moi avions un jeu : nous devions participer à un genre de tournoi, que ça soit une lutte de force, un défi à relever ou autre. Le gagner avait le droit de demander ce qu'il voulait à l'autre. Généralement, c'était lui qui gagnait et au début, ça restait sympathique : je lui donnais une carte d'un joueur de Football ou bien un gage tel que porter ses affaires durant une journée. Mais au fil des années, cela devenait de plus en plus des vices : une fois, je dû masser et lécher ses pieds jusqu'à ce qu'il n'en ait plus envie.
-Je ne sais pas, pourquoi pas me faire courir tout nu dans ta cour, comme la dernière fois ?
-Non, ce n'était pas aussi drôle que ce que je croyais, même si cela restait jouissif de te voir m'obéir au doigt et l'oeil, ma nargua-t-il une fois de plus
-Comme si j'avais eu le choix...
-Non, en effet, tu ne l'as pas eu

En disant cela, il passa sa main sur son short bleu très moulant, laissant apparaître une bosse très visible au travers du tissu qui grossit au simple contact de ses doigts. Il adorait porter des vêtements quelques tailles en dessous de celles qu'il devrait mettre : ça permettait à ses muscles de pointer plus facilement au travers des matières et en faisaient fantasmer plus d'un. Là encore, on devinait facilement les formes de ses muscles puissants mais en l'occurrence, celle de son membre qui ne cessait encore de gonfler
-Putain, j'ai une furieuse envie de me branler, c'est dingue !
-Tu n'as pas baisé Sarah, ces derniers jours ?
-Non, elle refuse catégoriquement de me sucer. Alors je l'ai quittée
-Encore ? Mais ça fait la quatrième fois et pour la même raison, de nouveau
-Je sais, mais j'adorerai vraiment pouvoir avoir ses lèvres autour de ma queue, sentir sa langue s'agiter sur mon gland. Dans les pornos, quand je vois une meuf sucer son mec, ça a l'air tellement bon ! J'en ai vu une avaler une queue aussi grosse que mon bras, me dit-il avec le plus grand sérieux. Je n'en revenais pas ! Et ici, aucune des salopes avec qui j'ai baisé n'a accepté de me sucer
-Tu ne crois pas que l'avoir baisé avant l'âge minimum est déjà quelque chose de bien ? Après tout, peut-être que ça ne l'intéresse pas.
-Et alors ? Il doit bien y avoir ne fusse qu'une fille qui accepterai de me sucer, non ? s'énerva-t-il en massant ouvertement son membre, presque sous mon nez. Mais maintenant, je suis en ruth et personne pour me combler...

Il continua de caresser la bosse au travers le tissu et son regard s'attarda sur moi et un sourire se dessina sur son visage.
-Et mais voilà ce que tu vas m'offrir !
-De quoi est-ce que tu me parles ?
-Je veux que ma première pipe me soit offerte par mon meilleur ami ! déclara-t-il haut et fort en se rapprochant de moi. D'autant que tu me dois encore un gage.
-Mmmmmmh... Je ne crois pas non. Tu peux aller te faire voir
-Allez quoi, c'est pas bien sorcier !
-Non mais mec, je vais pas te sucer, rêve pas !
-Pourquoi tu dis ça ?
-Parce que je ne suis pas gay, fis-je remarquer en m'écartant de mon meilleur ami
-Ouais mais je suis ton meilleur ami et tu me dois un gage
-Je t'offre ce que tu veux, sauf une pipe ou quelque chose qui s'y rapporte
-Je te jure que tu me la feras en premier cette pipe, se promit-il dans un chuchotement
-Qu'est-ce que tu dis ?
-Non-non, rien. Bon, alors, on a qu'à faire comme au bon vieux temps
-C'est-à-dire ?
-Tu vas faire ça avec ta main, expliqua-t-il avec un léger sourire
-J'ai pas spécialement envie d'être un succédané parce que tu n'as plus de copine.
-Je parlerai plutôt de pis-aller, mais c'est toi qui voit, renchérit-il. Allé quoi, tu ne te plaignais pas qu'on nous étions plus jeune. Et puis tu me dois encore un gage, je te rappelle.

Je restai assis sur le sol de sa chambre, le fixant dans les yeux et pensant à ce qu'il disait puis je fis la moue en poussant un soupir et je lâchai à contrecoeur :
-Bon, si ça peut me débarrasser de cette corvée.

Content que j'accepte, Jérémy m'indiqua son lit sur lequel je m'assis. D'un geste vif, il ôta son t-shirt qu'il jeta en boule dans un coin de la pièce et son short ne tarda pas à le rejoindre. Je voyais mon ami torse nu pour la première fois sous un angle et une situation différente : si je l'avais déjà vu en maillot, il était perturbant de savoir qu'il se mettait en boxer, se préparant à recevoir une masturbation de ma part.

Il avait vraiment un corps magnifiquement sculpté : ses deux mecs gonflés ressortaient presque de sa poitrine, tant ils étaient développés. Ses six abdos parfaitement dessinés, semblaient inébranlables et il les faisait onduler gracieusement. Ses mains épaisses, des mains d'hommes, tenaient son fermement son paquet. Insatisfait de la position que j'avais prise, il me poussa à m'allonger sur le dos, dans son lit et s'installa sur moi, s'asseyant sur mon torse, son paquet surgonflé à une trentaine de centimètre de mon visage.
-Que fais-tu ? demandai-je, perplexe et surpris
-Eh bien je prends la position que tu préférais quand nous étions petits et que tu me masturbais
-Je ne me rappelle pas que tu prenais cette position
-Si-si, je te promets, assura-t-il. Je dirai même que (il avança un peu plus sur mon torse, faisant glissé ses fesses sur mes abdos et remontant petit à petit vers mes pectoraux. Son paquet suivait le mouvement inéluctable de son corps, se rapprochant subrepticement de mon visage avant de s'arrêter à un peu moins de dix centimètres) c'est plus ainsi que tu me masturbais.

Dans la situation actuelle, je sentais tout son corps vibrer au rythme de ses pulsations et l'intense chaleur qui se dégageait de son bas-ventre et de son paquet.
-Je ne crois pas, tu sais
-Mais si, je t'assure. Allez, va-y : il faut te mettre au boulot autrement on en sortira jamais
-Tu as l'art de présenter les choses
-Alors, sors-là de sa prison

Ayant malgré tout les deux mains libres, je les dirigeai lentement vers le mince morceau de tissu qui me séparait de son membre. Je passai d'abord un doigt et même avec la présence de son boxer, je sentais son pénis pulser et continuer à gonfler. Souhaitant en fini au plus vite, je finis par l'empoigner fermement et le dégageai du vêtement blanc qui devenait visiblement trop petit.
Son membre sembla jaillir comme un monstre : il était vraiment long. Horriblement long. Et assez large aussi : un peu plus petit que la circonférence d'une canette mais pas loin. Je commençai à faire coulisser ma main le long de son membre et le résultat ne se fit pas attendre : Jérémy rejeta sa tête en arrière, commençant à souffler comme un boeuf. Il était toujours assoiffé de sexe et le fait qu'il ne se soit pas masturbé depuis plusieurs jours devaient se faire ressentir : je voyais ses testicules, grosses et remplies de spermes, ballotter contre le bord de son boxer au rythme de mes va et vient. Je sentais sous mes doigts les pulsions sanguines traverser le membre de part en part et le faire s'agiter par de petits soubresauts. Ma paume allait et venait sur la peau de son membre, décalottant son gland et énorme et rouge. J'accélérais le rythme afin d'écourter au mieux le temps de cette corvée. Plus j'allais vite et plus je sentais que sa queue entre mes doigts dégageait de la chaleur : l'air devenait moite et irrespirable. J'avais dans les narines les fragrances de la journée de son boxer : un mélange de transpiration acide et d'un reste d'urine qui me donnait un léger tournis.

Alors que je croyais mon calvaire bientôt finis, je me suis rappelé d'un dicton qui disait : méfiez-vous de ce que vous souhaitez. Une dernière grande pulsation précéda son éjaculation et la proximité de mon visage de son membre ainsi que son incapacité à pouvoir éviter le projectile en fit une cible adéquate : le sperme fusa et termina sa course une première fois au-dessus de ma tête. Le deuxième fit de même mais je n'eus pas autant de chance pour la suite : le troisième s'écrasa sur ma joue et mon oeil et les suivants s'étalèrent sur le côté droit de mon visage, atteignant la commissure de mes lèvres et dégoulina le long de mon cou.
Jérémy ne semblait pas encore avoir remarqué, la tête encore rejeté en arrière et, dans un vieux réflexe sans doute, essuya sa queue sur mon nez pour faire disparaître les dernières gouttes

Valtaria

Suite de l'histoire

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