ob.ob5.ru20 ans
site gay gratuit

PUBLIER

HISTOIRE

La consultation médicale du serveur de la café

Je voulais vous raconter la rencontre que j'ai faite à la cafétéria de mon hôpital pas plus tard qu'aujourd'hui.

Je suis interne et travaille dans un hôpital de province. Habituellement je mange à l'internat avec tous mes collègues. Ce midi, par manque de temps, je descends à la cafétéria ouverte à tous afin de m'acheter un sandwich. La file d'attente était très longue ce qui me permit de prendre mon temps pour choisir ce que je voulais. Entre les différentes piles de sandwiches, je vis passer le serveur que je n'avais pas remarqué jusque là. Ce fut un choc. Il n'était pas très grand, environ 1m75, mais il était fin, les cheveux courts et surtout un sourire ravageur accentué par une petite touffe de poils sous sa lèvre inférieure. Il portait une chemise à carreaux bleue largement ouverte sur un torse imberbe laissant deviner ses pectoraux légèrement dessinés. Je le regarde fixement servir les petites mamies et les quelques infirmières qui se trouvaient devant moi. Au fur et à mesure que j'avançais dans la file, je distinguais de nouveaux détails. Ses mains aux doigts fins, terminées par des ongles soignés. Sa chemise rentrée dans son jean laissa voir sa chute de rein lorsqu'il s'est retourné pour faire un café à l'ambulancier devant moi. En voyant ça je faillis lâcher un petit cri de surprise. J'étais complètement hypnotisé par ce garçon. Tout en lui était raffiné, soigné, propre et parfait. J'avais envie de caresser sa joue pour entrer en contact avec sa peau.

Mon tour arrive, je bafouille, oublie complètement le sandwich que j'avais choisi, demande un jambon/fromage, je recompte la monnaie que j'avais préparée et lui tend les pièces. Il tend sa main. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris mais plutôt que de lâcher les pièces, je les ai posées dans sa main pour entrer en contact avec lui. J'ai été tellement surpris par ce geste inconscient, que je suis devenu tout rouge de honte, de gêne. J'ai toujours été attiré par les hommes mais je suis en couple avec une fille et je n'avais encore rien tenté avec les hommes. Je crois qu'il devina ce qu'il se passait dans ma tête. Il me sourit, je devins encore plus rouge même si le fait de le voir me sourire me rendait béat. Je le remercie et lui souhaite une bonne journée. Etant encore tout déstabilisé, je me mets devant le présentoir de magasines qui se trouve en face du comptoir afin de me calmer. Je ne peux le quitter des yeux. Je vois que de temps en temps, il me jette un coup d'oeil. Je me dis qu'il pense peut être que je veux voler des journaux vu que je suis déjà passé en caisse. Tant pis, il faut que je reste.

Il regarde la longueur de la file, prend le téléphone et passe un coup de fil. Dix secondes après, deux de ses collègues arrivent derrière le comptoir et il s'écarte pour leur laisser la place. Il quitte donc sa caisse et se dirige vers moi. Je baisse vivement les yeux et me demande vraiment si il ne va pas penser que je suis soit taré soit en train d'essayer de voler le Marie Claire qui est en face de moi. Il s'approche. Je tremble. Il se poste à côté de moi et arrange le présentoir.
- " Je ne sais pas ce qu'il se passe, mais il y a encore plus de monde que d'habitude. " Il regarde mon sandwich, lève les yeux et ajoute : " Vous n'avez pas pris de dessert, laissez moi vous offrir un café au moins, ma pause vient de commencer et je déteste manger seul. "
- " Ah ben... euh... oui euh... pourquoi pas, mais... merci. "
J'étais écarlate. Il me montre une table et repasse derrière le comptoir pour se prendre un sandwich et faire les cafés. Il revient une minute après avec les cafés et s'assoit en face de moi. Je regarde ma tasse, il me fixe droit dans les yeux. Il commence à manger, on n'a toujours pas échangé un seul mot.
- " Tu fais quoi dans cet hôpital ? "
- " Je suis interne, en fin d'internat. "
Soulagé d'avoir un sujet auquel me raccrochait, je lui explique ce que je fais et lui retourne la question. Il me répond que c'est un job d'été, qu'il est en école d'ingé... Puis à la fin de sa dernière phrase, il ajoute
- " Et du coup tu descends à la cafet' pour draguer les serveurs ? "
- " Euh mais non, pourquoi tu dis ça ? Euh, je suis en couple et heureux... "
- " Ah oui ? Et tu regardes tous les gens comme tu m'as regardé et tu t'arranges pour leur caresser la main ??? Et tu acceptes leur invitation sans les connaître ? "
- " ... Ben euh (toujours aussi loquace)... "
- " T'inquiète pas, je ne suis pas choqué et même un peu flatté. Je suis ici depuis plus d'un mois et je ne m'étais toujours pas fait draguer par un médecin. "
- " Ah, mais je ne te draguais pas. "
Là il se gratte le torse en prenant soin d'écarter sa chemise déjà bien ouverte. Je ne peux m'empêcher de jeter un oeil. Bien évidemment ce geste était prémédité et je ne le comprends qu'après.
- " Pure conscience professionnelle, dis-je pour me justifier. Je regarde que tu n'aies pas de problème dermato. C'est bon je suis rassuré. "
- " Ah merci pour la consultation mais ce n'est pas là que se situe le problème. Il y a quelque chose qu'il faut que je montre à un médecin mais tu vas croire que je te drague. "
- " Non, non, je t'ai dit, de toute façon je ne suis pas intéressé. " Je n'y croyais même pas moi même. " C'est quoi problème ? C'est génital ? "
- " Non mais ce n'est pas loin, c'est au niveau de l'aine. "
- " Ok, tu veux que je regarde ? Tu veux monter dans le service ? "
- " Ben je n'ai pas trop le temps. On peut aller dans les vestiaires, si ça ne te dérange pas ? "
- " Ok je te suis ".

On arrive dans l'arrière boutique, dans une pièce contenant quelques casiers, 3 chaises, un lavabo et une douche. Je lui demande d'enlever sa chemise et de baisser son pantalon. J'étais en position médecin et ne voyais plus ce corps que comme celui d'un patient. Je lui demande de me détailler sa douleur et de me montrer l'endroit de la douleur. Il me montre une zone, juste à la lisière de ses poils pubiens. Je palpe, je lui demande de tousser. Je palpe l'autre côté. Je réfléchis. Le diagnostic était posé. Mon beau serveur avait une hernie inguinale. Je lui dis et lui donne la conduite à tenir pour soigner ça. En disant ça, je vois que son sexe prenait plus de place qu'au début dans son boxer. Il avait le pantalon sur ses pieds, il était torse nu et son boxer se remplissait de plus en plus. J'ai réalisé ce que j'avais en face de moi et je fus tout d'un coup très excité. Il fallait que je prenne l'initiative.
- "  C'est bon ? Tant qu'on y est, il n'y a rien d'autre que tu voudrais me montrer ? "
- " Ben si, mais tu m'as dit tout à l'heure que tu n'étais pas intéressé.
- " Si c'est médical, ce n'est pas pareil. "

Et là, il baisse son boxer qui vient rejoindre son pantalon au sol. Je regarde son sexe qui à l'instar du reste de son corps était parfait. Poilu juste ce qu'il fallait, peu de veines apparentes, ni trop petit, ni trop gros. Je sentais que lui aussi était excité par la situation et je ne me départis pas de mon rôle de médecin. Il voulait jouer au docteur, nous allions jouer.

Je m'accroupis et lui palpe les couilles (pas une palpation érotique, mais une palpation médicale, pour ceux qui se sont déjà fait palper par un médecin, ça fait une grande différence !!!). L'une puis l'autre. Je soulève sa queue, la décalotte. Sa queue gonfle par à coup et atteint sa pleine taille. Je me relève et lui dis qu'il n'a pas à s'inquiéter, tout va bien. Il se jette sur moi et m'embrasse. Je le sens bouger contre moi. Je suis surpris, j'aime ça, je veux qu'il continue. Je l'embrasse goulument. Je sens sa touffe de poil sub-labiale frotter mon menton. Je commence à bander moi aussi. Notre proximité fait qu'il le sent tout de suite. Il se recule et défait le lacet de mon pantalon de bloc qui tombe au sol. Il m'enlève également le haut. Je suis moi aussi en boxer. Ma queue qui était vers le bas commence à me faire souffrir car elle ne peut prendre toute sa place. Il commence à me caresser à travers, la douleur augmente avec l'érection. Alors, il décide d'échanger nos places et vient se mettre à genou face à mon paquet. Doucement, il fait glisser le boxer le long de ma queue. Quand il arrive au bout ma queue jaillit et vient le taper sur le bout du nez. En retombant, elle arriva directement dans sa bouche. Il avait été très rapide ou alors c'était dû à une très grande expérience.

Il commença à me faire la fellation de ma vie. Je tremblais de tout mon corps. C'était extrêmement agréable. Il se branlait avec une main et me caressait avec l'autre. Je voulais qu'il continue mais en même temps je voulais aussi goûter à sa queue. Je le poussais en arrière et le forçait à se coucher au sol. Je me mis en 69. Il reprit aussitôt son affaire. J'étais face à sa queue bien bandée. Son gland très lisse et très rouge laissait goutter une perle de liquide. Je sentais son odeur, c'était une odeur de sexe différente de la mienne mais bizarrement je trouvais ça agréable. Je mis un petit coup de langue sur son gland, il sursauta. Toujours avec ma langue, je récupérai la goutte au sommet de son sexe. C'était assez suc ré. J'étais en transe, je n'avais plus aucune volonté, je n'étais plus du tout responsable de mes actes. Je pris son gland en entier dans ma bouche. Le mien était sans la sienne. Je ne savais pas trop quoi faire alors j'essayais de reproduire ce qu'il me faisait. Visiblement ça lui plaisait et il comprit vite mon petit jeu. Il me faisait ce qu'il voulait que je lui fasse. Je lui léchait les couilles et m'ingéniait à passer ma langue sur son frein. Il tremblait et moi aussi. Je sentais la jouissance monter. Je m'arrêtai pour lui dire que ça n'allait pas tarder.

- " Tu ne crois quand même pas que je vais te laisser partir comme ça ? me dit-il. Tu m'as trop excité, maintenant tu assumes et tu termines ton examen clinique. "
Là, il se lève, met une chaise au milieu de la pièce et se penche sur le dossier, m'exposant ainsi son cul. Médecine oblige, je lui dis que je tiens à nous protéger. Il ouvre un casier et attrape une capote dans son sac. Il avait tout prévu de longue date le coquin. Je m'équipe et me présente devant sa rondelle.
- " Ca ne va pas passer tout seul, ça demande un peu de préparation..., me dit il. Laisse moi faire. "

Il se met un doigt dans la bouche et commence à se caresser et se doigter. J'assistais à ce spectacle et je me branlais. Après 3 ou 4 minutes, il me dit que si j'y allais doucement, ça devrait aller. Je suivais ses conseils et le laissais me guider à l'intérieur de lui. C'était bon, il était serré, il faisait attention à ne pas faire de bruit, ce qui rendait la chose encore plus excitante. J'étais penché sur lui et le branlais. Je crois qu'il aimait ça. Quant à moi, c'était encore plus fort que ça. J'avais l'impression de jouir en permanence depuis plusieurs minutes déjà. Je me mis à accélérer. Il comprit que je voulais terminer et me dit qu'il voulait que je me finisse dans sa bouche. Je sortis de lui, enlevai la capote et me mis face à sa bouche. Je voulais me branler mais il me l'interdit et me prit en bouche tout doucement. J'étais tellement chaud que je pouvais exploser à n'importe quel moment ce qui ne tarda pas à arriver. Il me garda longtemps en bouche. J'avais bien débandé quand il me relâcha. Là je vis que lui n'avait pas terminé et qu'il se branlait toujours.
- " Tu veux me goûter en guise de dessert ? me demanda t'il. "
- " Euh... Vu où j'en suis, autant aller au bout de l'expérience. "

Je me mis à genou et pris sa bite en bouche. Elle était pleine de mouille. C'était agréable. Il ne fallut pas longtemps avant qu'il relâche sa jouissance. Mon incertitude sur le fait de devoir boire son sperme fut balayée lorsque ce dernier fut dans ma bouche. C'était visqueux, épais, chaud, doux. J'adorais ça. Il le vit et il vit aussi que je rebandais. Malheureusement sa pause était terminée et la mienne aurait dû l'être depuis longtemps. Je me relevai et l'embrassai en caressant son corps.
Nous nous rhabillâmes. Je dus attendre quelques minutes avant de pouvoir sortir du vestiaire que mon érection se calme. J'en profitai pour lui dire :
- " Je vois que tu es toujours prêt !!! Des capotes dans le sac pour ne jamais être pris de cours. "
- " En fait j'attendais ce moment depuis que je travaille ici. J'ai toujours voulu jouer au docteur. Et si tu veux savoir, je t'avais déjà repéré. Pendant mes pauses j'arpente les couloirs à la recherche d'une victime. Je t'avais vu mais toi, pas du tout... "
- " Ah ouais ??? tu as raison, je n'avais rien vu. "

Il retourna à son poste et moi au mien. J'étais ravi du plaisir que ça m'avait prodigué, perturbé d'ainsi remettre en question ma vie de couple bien rangée. Je décidai de mettre les questions entre parenthèses et de me consacrer au bonheur. Je le revis plusieurs fois durant l'été et une autre fois lors de son séjour à l'hôpital pour traiter son hernie. Mais c'est une autre histoire...

Legolas

DROIT D'AUTEUR, TEXTES INSCITANT A LA HAINE, IMPLIQUANT DES MINEURS...
MERCI DE ME LE SIGNALER :

ob.ob5.ru ne revendique aucun droit sur les textes publiés.
Les textes publiés ont tous été envoyés directement à ob.ob5.ru
Les auteurs sont libres de retirer leurs textes sur simple demande à

💦 26 Décembre | 58 pages

Les nouvelles | 16

Gage à la piscine Meetmemz
Apéro nu Oakspirit
Run&fuck Ludotrique
Parking Steeve
Mon mec et son ami hétéro lebgmignonblack
Baise avec mon prof Meetmemz
Le plaisir Zouan
Promenade chaude Bihot
Apprentissage Garbxc
Daddy Jimichaud
UVraie salope Jimichaud
Intrusion Jill38
Bites américaines Vktrlmbrt
Vive les mariés Benishere4sex
Un uber driver Theo
Première fois Esmeraldo

Les séries | 42

Tel Père Tel Fils | 3 Ceven-X
1 | 2 | 3
Une vie | 7 Fabrice
1 | 2 | 34567
Adrien | 14 Sylvainerotic
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14
Agriculteur | Saison 8 | 12 Amical72
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12
3 janvier, + 61 pages en Avant-première

RETOUR AUX HISTOIRES

21 ans d'histoire :
2021 | 2020 | 2019 | 2018 | 2017 | 2016 | 2015 | 2014 | 2013 | 2012 | 2011 | 2010 | 2009 | 2008 | 2007 | 2006 | 2005 | 2004 | 2003 | 2002 | 2001

IMPORTANT
Rêve ou réalité, ces histoires ne sont pas un art de vivre
N’oublie pas les dangers d'une relation sexuelle sans protection,
que tu sois sous Prep ou pas.
PROTEGE-TOI ET METS DES CAPOTES !

Chercher sur le site

Plan du site


Merci !

J'aime ce site et je souhaite faire un don,
du montant que je veux, juste pour aider


Simple, en CB ou Paypal, Discret.

Inscris-toi



Nov. 21 : 1  873 331 pages vues

À jour : samedi 11 janvier 2020 à 12:21 , ©2000 ob.ob5.ru

Retourner en haut


"tournante gay""petit cul serre""baise dans un sauna""premiere sodomie gay""gay soumis""cyrillo dial""histoire gay amateur"cyrillobiz"histoires gay eros"cyrillogay"histoire gay inceste""ma premiere sodomie gay""l'impact bar""sauna gay lille""histoire gay porno""cyrillo histoires gay""recit depucelage""jeux de la biscotte""histoire gay vestiaire""travesti enculé""ejac facial gay""histoire gay scato""histoires cyrillo""histoire gays gratuites""cyrillo gay"cyrilli"je suis une vraie salope""histoire gay vestiaire""histoire gay piscine""histoire fetichiste pieds""gay dominateur""histoires cyrillo""histoire anal""plan cave gay""histoire gay erotique""histoire de grosse bite""korosko lorient""cyrillo histoire gay""histoire cyrillo""gloryhole gay""histoire erotique gay"cyrillobizcyrillo.biz"histoire cyrillo""porno gay histoire""pute a jus""histoire erotique gay""cyrillo rebeu""depucelage gay""porno pd""recit bdsm""cyrillo photo""recit cyrillo""histoires cyrillo""cyrillo biz""l'atlantide sauna""homme pied gay""cyrillo dial""gay zoophil"cyrillogay"histoire gay papa""cyrillo histoires gay""recit gay sm"cyrilo"histoire gay pompier""histoire gay frere""photos gay gratuite""photo de cul de mec""histoire et recit gay""recit sm gay""histoire gay sm""histoire de soumission gay""histoire gay lycée""recit sodomie""histoire gay internat""pute a rebeu""recit sex""histoires hds""cinema porno""histoires gay eros""gay gratos""la bite a papa""mec dial""histoire gay jeune""histoire gay sexe""histoire mature"cyrilli"cyrillo dial"cyrillo.com